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Drame: 4 morts dans une violente explosion en zone industrielle à Yopougon

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Dans la nuit de vendredi 01 octobre , la société King Ivoire, située dans la zone industrielle de Yopougon, a été secouée par une violente explosion. Pour l’heure, le bilan s’élève à quatre morts et sept blessés graves.
C’était un vendredi soir ordinaire , autour du four industriel pouvant atteindre des températures de plus de 1600°C, les travailleurs s’activaient pour faire fondre la féraille utile à la fabrication de pièces en métaux.
Au dessus de leur tête, une sorte de tapis roulant fait glisser les objets en métaux recyclés. Seulement ce jour là, ce pont cède et atterrit violemment dans le four qui fait alors éclabousser la lave. L’aimant contenu dans le pont, et la violence du choc provoquent ensuite une violente explosion.
L’équipe présente ce soir là, comptant environ une quarantaine de personnes a été durement touchée.Un employé, indien a perdu la vie sur le coup. Parmi ceux dépêchés trois ont perdu la vie et sept sont toujours à l’hôpital. En tout, deux indiens et deux ivoiriens ont perdu la vie.
Selon une source proche du dossier, la question la prise en charge des soins sera complexe car ces ouvriers ne seraient pas déclarés à la CNPS. Cependant, les soins provisoires de ces victimes sont pris en charge par deux sociétés sous-traitantes de king Ivoire, à savoir l’agence de prestation aux compagnies aériennes et Abdoul Ivoire Service .

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Urgent: Le Chili à feu et à sang

Côte d’Ivoire/Présidentielle de 2020 : Simone Gbogbo, la candidate du Fpi

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L’ex-première Dame Simone Gbagbo est une « candidate potentielle » du Front populaire ivoirien (FPI, opposition) pour la présidentielle d’octobre 2020, a estimé le président d’une frange du parti Pascal Affi N’Guessan.

« Simone Gbagbo fait partie des personnalités qui peuvent légitimement prétendre être candidates du FPI. Elle est une candidate potentielle au sein du FPI (et) une alternative à une candidature » de l’ex-président Laurent Gbagbo, a affirmé M. Affi.

Il a souhaité « un congrès » en vue de désigner le candidat du FPI pour cette élection et promis de faire « en sorte que l’unité soit possible au sein du parti dans les semaines ou mois à venir » car le parti divisé en deux camps doit « aller unis et solidaire » à la présidentielle de 2020.

Pour lui, « le processus » de réconciliation au sein du FPI « est en marche, mais il faut poursuivre la sensibilisation pour rapprocher » les deux camps afin « qu’un congrès soit possible d’ici le 1er trimestre 2020″.

Pascal Affi N’Guessan a réaffirmé sa candidature à la présidentielle de 2020 et son soutien l’ex-chef d’Etat Laurent Gbagbo, fondateur du parti, s’il décidait d’ »être candidat » à l’élection de 2020.

Avec ovajab

Côte d’Ivoire/Tension socio-politique: après une visite chez Bédié à Daoukro, Basile Gouali échappe à un assassinat

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Dans un post sur les réseaux sociaux le 5 novembre 2019, l’honorable Basile Gouali dit avoir « échappé à un assassinat » après une visite à Bédié à Daoukro.

Basile Gouali a-t-il vraiment échappé à un assassinat ce 5 novembre 2019? Et qui a intérêt de la voir disparaître ou taire à jamais ? Ses accusations en pleine pré-campagne présidentielle en Côte d’Ivoire ne doivent pas être prises à la légère. En attendant d’en savoir un peu plus sur cette affaire, YECLO.com prend la liberté de publier ici l’intégralité de ce post.

« Chers (ères) amis (ies) rendons gloire à Dieu car il est bon.
Ce mardi 4 novembre , de retour de Daoukro où j’ai été évidemment reçu par le Président Henri Konan Bédié , j’ai, grâce à Dieu avec ma délégation , échappé à un assassinat aux environs de 15 h à environ 3 km de Kotobi. »

« En attendant de vous relater cette situation rocambolesque où j’ai failli être liquidé par des hommes en tenue et armes dans un pick-up de couleur verte avec la complicité de quatre hommes dans une 406, je vous en dirai plus demain. Pour l’heure disons ensemble merci à l’Éternel et au Seigneur Jésus à qui j’ai demandé de m’accompagner ce matin »

Lire sur Yeclo

Côte d’Ivoire/Politique:Affi et Gbagbo Les deux camps s’affrontent

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Affi N’guessan Pascal veut-il renouer avec ses camarades avec lesquels il s’était brouillé il y a maintenant cinq ans ? Depuis son retour tonitruant de Paris après la rencontre manquée avec Laurent Gbagbo en mars 2019, l’ancien Premier ministre était monté sur ses grands chevaux. Pour lui, la rupture était désormais consommée et Laurent Gbagbo classé dans ses souvenirs.

Ragaillardi et bluffé par le tapis rouge que lui déroulent le régime d’Abidjan et les missions diplomatiques en qualité de président légal du Fpi, ses soucis étaient désormais tournés vers la présidentielle 2020 après celle de 2015 où il n’avait pu franchir la barre des 10% des suffrages. Mais dans sa posture, le président du Fpi avait-il le sommeil tranquille ?
Depuis sa conférence de presse de mars 2019 où il avait vertement tancé Gbagbo, à ce jour, beaucoup d’eau a coulé sous le pont Houphouët-Boigny. Entre les laudateurs et autres troubadours qui le poussaient dans le dos pour accentuer la crise entre les deux camps, Affi N’guessan semble avoir choisi la voie du moindre mal. Lors d’un nouveau déplacement à Paris, il a eu à sa demande, selon ce qui est rapporté, un entretien avec Hanny Tchelley, ancienne animatrice télé, proche de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé. Une rencontre qui aura été un déclic puisqu’après, Affi N’guessan fera évoluer son discours. Du ton acerbe contre Gbagbo, il a embouché des propos plus conciliateurs, présentant même des excuses à ceux de ses camarades qui ‘’se sont sentis vexés’’ par ses propos tenus lors de sa conférence de presse de mars.

« Après ma visite manquée de Bruxelles, certains ont pu se sentir vexés par les propos que j’ai tenus de retour en Côte d’ivoire. Je voudrais dire toutes mes excuses à tous ceux qui se sont sentis vexés par tous ce que j’ai pu dire à cette occasion. Nous sommes tous faillibles nous avons des sentiments. Et dans certaines circonstances surtout comme celles que j’ai vécues iciéchapper. A ceux qui ont été vexés et qui ont éprouvé une frustration ou un sentiment quelconque vis-à-vis de cela, je voudrais leur présenter mes excuses ». Des propos qui ont été tenus le 3 novembre à Paris en présence de ses partisans lors d’une rencontre d’échange. Selon les mêmes sources, au cours de ce déplacement dans la capitale française, Affi a pu rencontrer l’ambassadeur Emmanuel Aka avec qui la rencontre avortée de Bruxelles avait été négociée de bout en bout.

Affi affirme avoir agi sous l’effet de l’émotion, lui qui reprochait à ses camarades leur posture émotionnelle qui les empêchait de faire un pas en avant. Il réalise là, que l’émotion est humaine face à la douleur. Tout peut alors recommencer. Son nouveau discours a suscité bien des réactions dans les deux camps jusque-là antagonistes. Comment les « Gbagbo ou rien », la frange jugée radicale du parti l’ont-ils appréhendé ? Qu’en pensent les proches d’Affi N’guessan ?
Kpéa Ben (SN Fpi Gor) : « Affi cherche une porte de sortie honorable parce qu’il sait que Gbagbo va rentrer »
Je pense bien qu’Affi cherche une porte de sortie honorable parce qu’il sait que Gbagbo va rentrer bientôt. Mais ce qui est déplorable, c’est que son pardon n’est pas directement adressé au chef (Gbagbo, Ndlr)

Blaise Lasm (SN à l’organisation, Jfpi Gor) : « Qu’il se décide à se désapparenter et à s’affranchir de Ouattara »
Je pense que ce sont des propos politiciens qui visent à émouvoir un auditoire qu’il savait hostile et à gagner la sympathie des plus émotifs. Ce qui nous importe avec lui est qu’il se décide à se désapparenter et à s’affranchir de Ouattara en rejetant à l’instar de toute l’opposition cette CEI partiale et inféodée au régime. Sa présence dans cette CEI crédibilise un processus mal ficelé et offre à Ouattara des arguments pour soigner sa communication qui sera axée sur une certaine «opposition» incarnée par Affi qui y siège. Qu’Affi respecte ou pas Gbagbo Laurent ou qu’il ait eu des paroles vexantes ou pas à son endroit, cela n’est pas important pour nous. Mais qu’il se fasse complice de Ouattara alors que les Ivoiriens souffrent tant sous sa gouvernance est ce qui nous dérange. Si Affi veut se repentir et faire amende honorable, qu’il arrête de faire siéger son faux Fpi à la CEI et qu’il reconnaisse le Congrès de Mama et se range derrière Laurent Gbagbo.

C’est si simple Sinon, il n’y a pas de malentendus entre lui et nous. Il y a que quelqu’un s’est donné pour mission de constituer une alternative à un leader qui était dans une situation qui nécessitait autour de sa personne une union sacrée. Gbagbo Laurent aux prises à des puissances impérialistes avait besoin que son injuste situation carcérale soit combattue en faisant de lui le pilier de toutes nos actions politiques afin de le rendre incontournable sur la scène politique et de faciliter sa libération par l’acquisition par tous, de ce postulat. Mais hélas, Affi N’guessan y a vu une occasion de s’affirmer et de reléguer au second plan le martyr que vivait son Chef. Là où on avait besoin de mettre Gbagbo au centre de tout pour forcer sa libération, Affi a préféré démontré qu’on pouvait faire sans Gbagbo. Donc sa libération n’était pas une condition préalable à la paix en Côte d’Ivoire, selon lui. Fort heureusement, les militants ne l’ont pas suivi dans ses errements. La réconciliation au FPI est en marche, elle poursuit son chemin allègrement et la présence d’Agnès Monnet, Amani Michel et de tous ces cadres, hier, proches d’Affi démontre que c’est un processus irréversible qui s’est enclenché. Si Affi le souhaite, il prendra le train en marche et il sait ce qu’il a à faire.

Koné Ladio dit Sankara (Fpi pro Affi, France) : « Je souhaite que tous ceux qui ont été vexés acceptent ses excuses »
J’accueille ce discours avec satisfaction en ce sens que ce discours contribue à apaiser la situation au sein du parti. Il est évident que le discours d’Affi après la rencontre manquée de Bruxelles était la réaction d’une personne profondément blessée qui s’est sentie humiliée. Et l’homme a ceci d’animal. S’il se sent acculé, il réagit. C’est ça, mais il aurait dû garder son calme. Cette déclaration d’excuses me satisfait, et je souhaite que tous ceux qui ont été vexés acceptent ses excuses, et qu’on reparte du bon pied. Tournons la page de cette crise et tournons-nous résolument vers la reconquête du pouvoir en 2020. Il est à portée de main.

Plus qu’un déclic, c’est la confirmation d’une position affirmée dès le début de la crise en 2014. Le rapprochement pour nous est une nécessité. Nous espérons une nouvelle rencontre entre les deux hommes et nous le souhaitons pour renforcer la dynamique unitaire nécessaire à l’alternance politique en 2020.’

connectionivoirienne

15 ans des événements de Novembre 2004: Jean Yves Dibopieu brise le silence

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Dans une contribution dont Abidjan.net a eu copie, l’ex-camarade de lutte de Charles Blé Goudé, ancien leader de jeunesse ivoirienne comparaissant devant la Cour pénale internationale (Cpi), se souvient des événements de Novembre 2004, 15 ans après. Il lance un message aux Ivoiriens. CI-dessous, l’intégralité.

Souvenir de novembre 2004

Chers compatriotes ivoiriens, en ce moment symbolique de l’histoire de notre pays, je voudrais rompre le silence afin de m’adresser à vous. Ce n’est pas assez de vous rappeler ici que la détention au secret dans les conditions humainement intenables aux mains exclusives de la Direction de Surveillance du Territoire (DST), m’a laissé une santé précaire que le Seigneur lui-même a pris le temps de réparer. Aujourd’hui, je puis vous dire que je suis en pleine possession de toutes mes capacités physiques.

Avant d’aborder le vif de mon sujet, je voudrais avoir une pensée pour le Président Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, deux noms que je prononce avec toute l’émotion que vous pouvez imaginer. Nos deux compatriotes pris en otage et enlevés à l’affection de leur peuple, n’ont politiquement rien fait pour être là où ils sont. Nous exigeons que le cynisme et la politique s’inclinent devant le droit et la morale afin de permettre au Président Laurent Gbagbo et à Charles Blé Goudé, de regagner leur pays sans condition.

Autant le droit dit : « La qualité du client, ne doit pas modifier la qualification du crime », autant nous disons, sans être juriste que : « la qualité du client ne doit pas modifier l’application de la sentence. ». En effet, depuis janvier 2019, nous nous souvenons de ces résolutions venant de la Cour Pénale Internationale (CPI) : « L’accusation n’ayant pas prouvée, leur culpabilité, la CPI décide l’acquittement et la libération immédiate du Président Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. » Alors, plutôt que de respecter cette sentence, en leur permettant de regagner les différents endroits d’où ils ont été arrêtés, on a choisi de les garder dans des lieux imaginés afin de les empêcher d’entrer dans leur pays et de jouir de leurs droits de citoyens ivoiriens. C’est un grand discrédit qui est jeté sur cette cour pénale dite internationale.

Cependant, chers Ivoiriens, je voudrais en ce mois, rappeler que l’acte qui a éjecté le Président Laurent Gbagbo du pouvoir en Avril 2011 a eu sa révélation officielle depuis Novembre 2004 devant l’hôtel Ivoire à Abidjan. Ce jour-là, par une volonté obstinée de posséder le pouvoir par la force, l’armée française, dans une action non encore élucidée jusqu’à ce jour, se positionna devant l’hôtel Ivoire à Cocody, après avoir occupé tous les points stratégiques de la capitale économique ivoirienne. Les Ivoiriens, toutes ethnies et toutes religions confondues, se dressèrent tel un seul homme pour faire échec à cette forfaiture avant de se voir massacrer et transformer en chair à canon par les chars de l’armée française.

Cette date, est symbolique et d’une grande importance pour nous. Elle mérite d’être commémorée afin de ne point disparaitre de la mémoire de nos contemporains. Ces évènements de Novembre 2004 devant l’hôtel Ivoire à Abidjan Cocody, doivent aussi et surtout être sus et retenus par la mémoire collective des générations à venir. Non, non, il ne saurait y avoir une omerta sur ce moment douloureux et historique que nous dévons célébrer chaque année pour la mémoire et la dignité des Ivoiriens.

Que ceux qui l’ont poignardée le reconnaissent ou pas, c’est la Côte d’Ivoire qui a subi ce grand drame en plein 21e siècle. Les Ivoiriens ont le devoir moral et historique de se souvenir de ce moment. Chaque année dans le monde, des peuples célèbrent l’occupation ou la libération. Le peuple français n’y fait pas exception, lui au sein duquel il y a eu pourtant plusieurs collabos lors de l’occupation Allemande de la guerre de 1939-1945. Cela, parce que le peuple, ce n’est plus les intérêts et les entités éparses çà et là. Le peuple, c’est un être moral à vocation historique forgé par les épreuves du passée et unis autour des défis à venir.

Nous souhaitons, que chaque Ivoirien là où il se trouve à ce moment puisse avoir une pensée pieuse pour les victimes de ces évènements. L’enjeu de cette contribution, c’est que de tels actes ne se reproduisent plus sur le sol Africain.

N’oublions pas Novembre 2004.

Que la Paix et la Grâce de Dieu, Tout-Puissant, lui qui fait chaque chose bonne en son temps, soient avec nous.

Lire sur abidjan.net

Guinée-Bissau: la crise politique impacte l’économie du pays

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La crise politique a des conséquences économiques pour les fonctionnaires qui craignent de nouveaux retards de salaires et aussi pour les milieux d’affaires.
Dans son hôtel, cet entrepreneur sénégalais est un peu désœuvré. L’homme d’affaires préfère rester anonyme. Sa société vend des armes légères et des tenues militaires. Un contrat devait être finalisé avec le gouvernement d’Aristide Gomes, mais la nomination d’un nouveau gouvernement a créé la confusion.

« J’avais des affaires avec l’État, avec le ministre de l’Intérieur et le Premier ministre, le gouvernement d’Aristides Gomes, explique-t-il. J’attends pour voir comment ça se passe. Ça ira, Dans tout business, il y a des risques. »

Les crises à répétition freinent les investisseurs : manque de confiance, manque d’organisation. La Guinée-Bissau, pays de moins de deux millions d’habitants, regorge pourtant de ressources naturelles.

« Nous disposons de terres arables, nous avons de l’eau, une des côtes les plus poissonneuses de l’Afrique de l’Ouest. Ce pays n’attend que des investissements, de la formation professionnelle, un système bancaire qui fonctionne. Pour ça, il faut stabiliser. Aujourd’hui, aucun investisseur ne peut avoir la visibilité nécessaire, la justice ne fonctionne pas. On ne peut pas offrir une garantie à des investisseurs. Ce qui nous manque, ce sont les capitaux et pour que les capitaux arrivent à Bissau, il faut qu’on règle cette équation compliquée d’instabilité. »

Une instabilité qui est de la responsabilité d’un petit groupe au pouvoir, selon l’entrepreneur et homme politique, qui accuse une « clique » « de confisquer les ressources du pays ».

Un sommet extraordinaire de la Cédéao doit se tenir vendredi à Niamey sur la situation politique de la Guinée-Bissau.

rfiafrique

People: Vetcho Lolas insulte les chinois d’Arafat DJ, Will Tyga sort de son silence

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Je ne vais pas trop écris, pas la peine de faire un long post sur un artiste en voie de disparition, un artiste perdu qui ne trouve plus le chemin de la célébrité, perdu des radars qui n’a que son iPhone 6+ pour être en ligne et nous faire savoir qu’il est encore en vie..

J’aimerais bien rappelez a ce artiste en herbe que le seul prix qu’il a eu dans sa carrière qui est aussi courte comme la vie d’un bébé qu’on avorte a été grâce a nous la Chine Populaire D’Arafat Dj..

Car son single “J’veux Bara” a été produit, financé, cliper par le Président de la Chine Populaire Dj Arafat lui même, et quand il a été nominé aux Awards du Coupé Décalé dans la catégorie Meilleur Featuring, c’est nous les Chinois qui avons voter pour lui car notre Président Arafat Dj était celui qui était en Featuring sur le single, sinon faut pas on va se mentir ce mangeur de riz couché, qui crèche encore dans les jupes de ces grandes sœurs n’a aucun fans pour voter pour lui, il n’avait aucune chance si il avait faire le single avec un autre artiste..

Donc tu devrais juste pour ça fermez ton égout au lieu de proférer des insultes contre ceux même qui ont permis a ce que tu puisses obtenir un trophée dans ta merdique carrière d’artiste..

Tu nous accuse de ne pas jusque là donner le disc d’or a Arafat Dj mais et vous ? Vous n’êtes pas aussi des artistes ? Vous ne désirez pas aussi avoir des certifications ? Pourquoi le disc d’or d’Arafat vous tiens tellement a coeur plus que ces chinois eux-mêmes ? Donc vous vos tristes carrières restera comme ça Quoi ?

Vous faites la sorcellerie au faite,Vous nous avez reprochés de ne pas avoir donner Kundé d’or, afrimma, MTV Awards,Kora et autres a Arafat Dj, maintenant qu’on lui a tout donner et que vous ne savez plus où trouver des arguments c’est sur le disc d’or vous êtes arrivé.

Et n’oublie pas que a chaque fois tu regardera ce trophée que tu tiens dans tes mains, n’oublie jamais que c’est grâce à nous les chinois d’Arafat DJ que tu as ce prix… Gros porc sale

Vetcho Lolas, même Ramba Junior à Spectacle que toi actuellement, va lui demander de te donner un peu de ces gombos pour que tu puisses avoir de quoi manger… Bassalor là.

Boyo Boyo News 24


Côte d’Ivoire: le PDCI demande aux autorités judiciaires d’abandonner les charges contre Gbagbo et Blé Goudé pour la stabilité du pays

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La 142ème session du Secrétariat Exécutif du PDCI-RDA tenue le 5 novembre 2019 a notamment examiné le procès de Blé Goudé et Gbagbo à Abidjan. Déclaration.
-la marche du parti ;
– et à l’actualité socio-politique ivoirienne.

Concernant la marche de notre parti, les points, ci-après, ont été examinés :

•la préparation du bureau politique le 14 Novembre 2019, dédié à la convocation de la convention d’investiture du candidat du PDCI-RDA à l’élection présidentielle du 31 Octobre 2020 ;

•l’adoption du projet du document cadre de collaboration entre le PDCI-RDA et le Front Populaire Ivoirien (FPI).

Concernant l’examen de la situation socio-politique en Côte d’Ivoire,
le Secrétariat Exécutif du PDCI-RDA a appris, avec beaucoup d’indignation et d’amertume :

1-la tenue à Abidjan le 29 Octobre 2019 d’un nouveau procès, condamnant le Président Laurent GBAGBO à 20 ans de prison et à 389 milliards de francs CFA d’amende, pour braquage de l’agence nationale de la BCEAO,

2-l’introduction regrettable d’une requête, le 25 Octobre 2019 par les autorités ivoiriennes, auprès de la Cour Pénale Internationale, pour s’opposer à la demande de libération immédiate adressée à cette même Cour le 07 Octobre 2019 par la défense du Président Laurent GBAGBO et du Président du COJEP, Charles Blé GOUDE ; lesquels ont été régulièrement acquittés depuis le 15 janvier 2019, pour l’accusation de crimes contre l’humanité

3-le nouveau procès, tout aussi inattendu, à Abidjan du Président Charles Blé GOUDE, appelé à comparaître le 06 Novembre 2019, après une première comparution le 30 Octobre 2019, pour crimes contre des populations civiles et crimes contre des prisonniers de guerre.

Au regard de ces faits troublants qui risquent de compromettre, encore une fois, la cohésion nationale et la nécessaire réconciliation entre les filles et fils de la République de Côte d’Ivoire, le PDCI-RDA :

1-condamne ces deux nouveaux procès tenus à Abidjan et l’immixtion des autorités ivoiriennes dans le déroulement du procès de nos deux compatriotes devant une juridiction internationale, indépendante qui ne devrait être soupçonnée de partialité ;

2-exprime ses graves inquiétudes concernant le retour à la stabilité, à une paix définitive et durable en Côte d’Ivoire, en raison de cette immixtion et de ces deux nouveaux procès qui fragilisent davantage la cohésion nationale,

3-exige du pouvoir exécutif et des autorités judiciaires, dans un sursaut national, l’arrêt de ces actions judiciaires en vue de faciliter leur totale libération et retour en terre ivoirienne, seul gage d’une vraie réconciliation entre toutes les ivoiriennes et tous les ivoiriens, épris de paix et de justice sociale.

Lire sur Yeclo

Nigeria: par jalousie une femme asperge l’eau chaude sur le sexe de son mari

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Une femme a aspergé son mari d’eau chaude après qu’il lui ait annoncé son intention d’épouser une deuxième femme.

Selon plusieurs sources concordantes, la femme n’était pas d’accord avec l’intention de l’homme de prendre une autre femme pour épouse, en plus d’elle.L’homme qui a été laissé avec des brûlures au scrotum et ses parties intimes est depuis lors dans un établissement de santé.

La victime, Malam Aliyu Ibrahim, enseignant dans le primaire, a informé son épouse, Lauratu, de son intention de prendre une deuxième femme, ce qui n’est pas contraire à sa conviction musulmane.

« Depuis que je lui ai parlé de mon projet d’épouser une autre femme, je n’ai constaté aucun changement d’attitude de sa part et nous vivions ensemble de manière pacifique”, a-t-il déclaré.

Il a ajouté qu’elle avait promis qu’elle ferait partie des personnes qui iraient acheter les articles de mariage pour la mariée, jusqu’à la nuit où l’incident s’est produit.

« Je l’ai rencontrée en train de faire bouillir l’eau, mais je ne savais pas à quoi elle servirait. Je me détendais quand elle apporta soudain de l’eau chaude et la versa sur ma partie intime », a-t-il déclaré.

afrikmag

Côte d’Ivoire/ Akayaokro : une descente musclée de la gendarmerie déstabilise un site d’orpaillage clandestin

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Le mercredi 6 novembre 2019, la Brigade de Yamoussoukro a détruit un nouveau site d’orpaillage clandestin découvert à Akayaokro (Attiégouakro).
Au cours de cette opération , 03 concasseurs et 100 tuyaux de 5 mètres ont été incinérés. 04 motos-pompes, 11 pelles, 04 pioches, 01 daba, 02 machettes et d’autres matériels divers ont été saisis. C’est le lieu d’encourager la population dénoncer l’installation des orpailleurs clandestins sur leurs terres.

Avec yeclo

Côte d’Ivoire: la mise en garde de Assoa Adou à Affi N’guessan

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Invité sur le plateau de TV5Monde le lundi 4 novembre 2019, Affi N’guessan, président de l’une des franges du FPI (Front populaire ivoirien, opposition), a présenté ses excuses à Laurent Gbagbo pour les “mots inadéquats” adressés à l’ancien chef d’État. Visiblement, ce mea culpa du député de Bongouanou n’a pas achevé de convaincre Assoa Adou, le secrétaire général de l’aile du FPI restée fidèle à Laurent Gbagbo.

“Nous sommes tous faillibles. Nous avons des sentiments. Et dans certaines circonstances, surtout comme celle que j’ai vécue ici à Paris, on peut se sentir excédé et injustement méprisé et des mots inadéquats peuvent vous échapper”, confiait Affi N’guessan sur le plateau de TV5Monde, le lundi 4 novembre 2019. L’ex-Premier ministre sous le règne de Laurent Gbagbo a saisi l’occasion pour demander pardon à “tous ceux qui ont été vexés et qui ont éprouvé une frustration ou un sentiment” face aux propos qu’il a tenus.

Il faut rappeler qu’à la chute du régime des refondateurs, le 11 avril 2011, le FPI est tombé dans une crise sans précédent. Le fondateur du parti transféré à La Haye, ses partisans se sont mis à s’entredéchirer pour la présidence. D’un côté, Affi N’guessan se réclamant le président légal du parti et de l’autre, Assoa Adou, feu Aboudramane Sangaré refusant de tourner la page Gbagbo.

On le voit, à l’approche de la présidentielle de 2020, Affi N’guessan est déterminé à faire la paix avec son mentor, Laurent Gbagbo et d’autres cadres du FPI. Pendant ce temps, Assoa Adou se prépare à le défier dans son fief, Bongouanou. Le secrétaire général du Front populaire ivoirien entame une tournée pour la réconciliation nationale et le retour de Gbagbo, acquitté par la Cour pénale internationale (CPI), le 15 janvier 2019. L’ancien ministre des Eaux et forêts animera un meeting dans la ville natale du “lion du Moronou” le samedi 9 novembre 2019, a-t-on appris auprès du FPI. Il est clair qu’ Assoa Adou ne manquera pas de sonner la mobilisation dans les rangs des militants du parti à la rose.

Côte d’Ivoire: « Pourquoi l’élection de 2020 fait-elle déjà peur ? », Venance Konan

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Pourquoi l’élection de 2020 fait-elle déjà peur ? Venance Konan décrypte ici l’inquiétude des Ivoiriens à l’approche des élections présidentielles de 2020.

L’image circule depuis quelque temps sur les réseaux sociaux. Elle représente un jeune homme, habillé seulement d’un short et de lunettes rouges, arrêté au bord d’une voie. L’on voit en arrière-plan le siège de la Radio Télévision Ivoirienne (RTI). Il tient en main une pancarte sur laquelle il est écrit : « Si on est mouton là, élection 2020 là, prenons les armes pour s’entretuer encore. » Sur une vidéo qui circule aussi sur les réseaux sociaux, un artiste du nom de Seny Krangba déclame un texte. En voici des extraits : « On milite pour quelqu’un qu’on voit seulement à la télé.

On se frappe, on se tue pour quelqu’un qui ne nous connaît même pas… C’est fini ça. Les politiciens ont créé leurs partis politiques pour nous blaguer. C’est nous on est bête on a pris pour charger… Ils font jamais palabre. C’est nous on se frappe, on se tue, et puis on termine avec kalach. Franchement. Le pays est en train de se développer, la guerre ne nous arrange pas. Asseyez-vous, discutez, trouvez un terrain d’entente, pour ne pas verser le sang dans mon pays…Nos dirigeants se sont divisés parce que chacun veut diriger. Pardonnez, c’est nous on vous vote donc on a le droit de vous parler.

Si vous ne savez pas, tout ce qui s’est passé c’est nous on a pris les pots cassés. Ils ont tué, ils ont violé, vous avez entendu qu’ils ont tué enfant d’un candidat ? Non. Vous avez entendu qu’ils ont violé enfant d’un candidat ? Non. Les sacrifiés, c’est nous on donne nos poitrines et puis c’est eux qui bénéficient. » Il s’agit là de deux publications que nous avons remarquées sur internet. Il y en a beaucoup d’autres dans lesquels des simples citoyens, des artistes, connus ou non, essaient, avec plus ou moins de talent, de mettre en garde la population ivoirienne contre les violences que la prochaine élection présidentielle pourrait engendrer.

Ces personnes ont certainement encore en mémoire les terribles atrocités subies par les habitants de ce pays après l’élection de 2010. En dehors du scrutin de 2015, qui s’est passé paisiblement, les trois autres qui l’ont précédé se sont déroulés dans le sang. Il y eut celui de 1995 avec le « boycott actif », parce que Alassane Ouattara avait été écarté et était soutenu par Laurent Gbagbo, celui de 2000 qui opposa Robert Guéï à Laurent Gbagbo, Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié ayant été écartés, et celui de 2010 qui vit la participation de tous les poids lourds de la politique ivoirienne.

Mais elle se termina en tragédie à cause du refus de Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite face à Alassane Ouattara. En 2015, Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara s’entendaient encore, au point que le premier avait renoncé à présenter un candidat de son parti, et décidé de soutenir totalement le second. Laurent Gbagbo pour sa part se trouvait encore en prison à la Haye. L’élection fut juste une petite balade dominicale, comme toute élection devrait être.

Pourquoi l’élection de 2020 fait-elle déjà peur ? Est-ce parce que nous voyons revenir les principaux acteurs de la crise de 2010, certains avec le cœur empli de haine et d’envie de revanche ? Est-ce parce que celui que l’on appelait le Sphinx en raison de ses longs et énigmatiques silences a retrouvé la parole et est devenu aussi virulent qu’un fesciste ? Est-ce parce qu’il rêve, pas seulement en se rasant, de revenir à ce pouvoir qu’il avait perdu il y a vingt ans ?

Ou est-ce parce que le prisonnier de la Haye et son nervi, que l’on appelait « Blé la machette », ont presque retrouvé la liberté et risquent de se retrouver au pays avant la présidentielle qu’ils rêvent l’un et l’autre de briguer, et pas seulement en se rasant le matin ? Est-ce parce que l’occupant actuel du palais tant convoité n’a pas encore clairement dit s’il sera encore de la course et que rien ne nous dit si lui aussi n’y pense pas, et pas seulement en se rasant ?

La perspective de revoir les trois protagonistes de la crise de 2010 revenir ou conserver le pouvoir réjouit leurs partisans, mais l’idée qu’ils croisent à nouveau le fer fait peur aux citoyens lambda. Pourquoi ? A cause des tons qui montent et deviennent de plus en en plus belliqueux, à cause aussi des mots que l’on entend aujourd’hui et qui sont justement ceux que l’on entendait avant la crise de 2010 et qui avaient jeté de l’huile sur le feu.

Les citoyens lambda ont peur parce que nous avons déjà été assez moutons pour prendre les armes contre nous-mêmes et que visiblement nous n’avons tiré aucune leçon de ce qui nous est arrivé.

Les Ivoiriens ont peur parce qu’ils ne croient aucun de leurs chefs capable de faire ce qu’avait fait la reine Abla Pokou, qui avait sacrifié ce qu’elle avait de plus cher, son enfant, pour sauver son peuple. Qui est prêt à sacrifier son égo, qui semble être ce que certains Ivoiriens ont de plus cher, pour sauver ce pays ? De l’autre côté, qui est prêt à être à nouveau mouton en prenant une arme contre son voisin, pour défendre un politicien qu’il ne voit qu’à la télévision ?

Lire sur Yeclo

Côte d’Ivoire: A’Salfo menacé après sa nomination au Conseil économique et social

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Le Président Alassane Ouattara a récemment nommé certaines personnalités ivoiriennes, dont Traoré Salif dit A’Salfo, au sein du Conseil économique, social, environnemental et culturel. Cependant, Ferdinand Bléka, président de l’ONG Afrijapan – AfricAsia, évoque sa propre expérience en indiquant comment et pourquoi il a refusé la Présidence du Conseil économique et social que les autorités japonaises lui offraient sur un plateau d’or.

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL.

COMMENT J’AI ECHAPPE A CE POSTE DE RETRAITE ANTICIPE ET DE REPOS.

« En me sollicitant par ce pays étranger pour m’attribuer sa nationalité et me nommer au poste de la Présidence du Conseil Economique et Social afin de lui faire bénéficier de mon cerveau créateur des méthodologies de développement économiques et de ma théorie du marketing social du développement, ce pays m’a proposé des conditions meilleures. Et comme je dois donner le meilleur de moi-même, j’ai posé mes trois conditions à savoir:

  • Le Chef de l’Etat ne peut nommer que 5% des membres pour ses récompenses politiques. Les 95% je les recrute par compétence et par secteur.
  • Toutes décisions économiques et orientations sociale doivent d’abord être mises aux peignes fins par mes experts pour voir si cela colle aux réalités du terrain avant toute communication en conseil des ministres parce que les discours politiques d’autosatisfaction sont en déphasage dans 75% des cas avec la réalité quotidienne des populations en Afrique.
  • Une évaluation des données économiques et sociales tous les trimestres sur l’ensemble du territoire par des experts indépendants. Vérifications Des faits par nous avant de publier que personne ne souffre dans le pays et que tout le monde est dans de bonnes conditions sociales.

Apres quelques semaines, on me revient dire que mes conditions embarrassent le président et le parti. J’ai dit donc on voulait me mettre au repos??

Quand on lutte pour délivrer l’Afrique de la pauvreté et qu’on sait qu’on y arrivera, Il y a des compromis qu’il ne faut jamais accepter au nom de l’argent et des honneurs. »

Présenté par le gouvernement du Japon et les Nations Unies au sommet des Chefs d’Etat et du Japon et d’Afrique à Yokohama TICAD.

Cérémonie d’ouverture de la première édition du salon des collectivités territoriales

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À l’occasion de l’ouverture officielle de la première édition du salon des collectivités territoriales, la ministre de l’assainissement et de la salubrité a fait un plaidoyer pour l’implication des femmes dans le développement local.

« A l’heure de l’émergence de la Côte d’Ivoire, l’équité entre les hommes et les femmes conformément à leurs droits fondamentaux doit demeurer au cœur des préoccupations de celles et ceux qui aspirent à la transformation de notre pays (…) Je parle au nom des femmes députés, des femmes maires et sénateurs, afin de rappeler à la conscience collective que c’est ensemble, homme et femme, que nous devrons œuvrer à l’accélération du développement local », a conseillé Mme Ouloto, par ailleurs présidente du conseil régional de la région du Cavally.

Saluant une opportunité de concertation et de conjugaison des efforts sur les questions liées à la décentralisation, au développement durable des territoire, la seule femme présidente de conseil régional, a soutenu que « les femmes sont en droit de s’interroger sur la place qui nous leur est réservée au plan local et régional, devons-nous être figurante, ou partie prenante du développement local ?

« Nous sommes capables de gérer l’éducation et l’école, l’économie nationale, de planifier le développement et élaborer un plan de développement. Le femmes ont réussi à fermer la décharge d’Akouédo et à ouvrir un centre de traitement de déchets, elle soutiennent les victimes de la crise post-électorale, elles ont permis de bloquer ébola, grâce à la confiance du président Alassane Ouattara » a-t-elle témoigné, assurant que le défi du développement local passe nécessairement l’implication des femmes.

Au nom du Premier ministre, le Ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation, Sidiki Diakité a déclaré que « le président Ouattara a décidé de faire en sorte que l’offre de développement du gouvernement puisse être en adéquation parfaite avec la demande de développement de nos populations à travers les collectivités territoriales. »

À en croire le ministre Sidiki, ce salon offre également aux collectivités territoriales une occasion de consolider les partenariats existants et de nouer de nouvelles relations d’affaires.

Président de l’Union des Villes et Communes de Côte d’Ivoire (UVICOCI), Danho Paulin Claude, maire d’Attécoubé a soutenu que les élus locaux demeurent les « bras séculiers » du Gouvernement pour mettre en œuvre les politiques de développement.
Le Salon des collectivités territoriales se veut une plateforme d’échanges sur le développement territorial en Côte d’Ivoire. Plusieurs activités dont des panels, des rencontres B to B et des expositions sont au menu de cette première édition qui verra, trois jours durant, la participation des élus locaux, des opérateurs économiques et l’ensemble des acteurs de la décentralisation pour réfléchir sur le développement local.

Lire sur abidjan.net


Professeur Paul Aholi, pédiatre émérite ivoirien

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On parlera longtemps du professeur Paul Aholi. On en parlera longtemps parce qu’il est l’un des premiers pédiatres de notre pays à avoir suivi des milliers de bébés sur plusieurs générations entre 1960 et jusqu’à ceux des années 2000.
Travailleur infatigable et doté d’un sixième sens pour remettre les bébés d’applomb, cet homme a donné le sourire à des milliers de familles. Une dame fait un témoignage sur lui. C’était en 1974.
“Ma fille avait neuf mois et refusait de se nourrir. Tous les petits pots que je donnais, elle les rendait. Ça me rendait malheureuse. Forcément, elle perdait du poids. Alors je suis allé le voir toutes désespérée. Ce jour-là, je suis tombé sur un moment où il était en pause et mangeait tranquillement son placali. Il m’a demandé e qu’avait le bébé. Quand j’ai expliqué, il me l’a prise sur ses genoux et lui a donné le placali. Le bébé a mangé goulument avec lui. Il m’a dit ceci :”Mme, donnez à manger de ce que vous faites à la maison de local à votre bébé. Le foutou, le riz, le Toh… Laissez les petits pots. Ça a marché… L’enfant était sur des rails. À notre grand bonheur.”
Des témoignages comme ça sur lui sont nombreux. Le professeur Aholi est aujourd’hui à la retraite. Mais son cabinet fonctionne toujours. Il est situé sur la rue des jardins non loin de Hollywood Boulevard. Bon sang ne saurait mentir. Son fils a pris les rênes. On parle aussi de lui comme de son père.

First Magasine

Côte d’Ivoire: « Ouattara a bel et bien gagné l’élection en 2010 », Mamadou Traoré

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Mamadou Traoré, l’un des fidèles lieutenants de l’ex-patron du Parlement ivoirien Guillaume Soro s’est résolu à mettre fin à la polémique autour du véritable gagnant de l’élection présidentielle de 2010. S’adressant aux partisans de l’ex-chef d’État ivoirien “déchu” Laurent Gbagbo, Mamadou Traoré n’y est pas allé par 4 chemins. “Celui qui a gagné l’élection présidentielle de 2010 s’appelle Alassane Ouattara”, a fermement déclaré le proche de Guillaume Soro, dans une publication sur sa page Facebook. La semaine dernière, faut-il le rappeler, Pr Gnaoulé Oupoh, un cadre du Front populaire ivoirien (FPI) proche de Laurent Gbagbo invitait vivement Guillaume Soro à dire toute la vérité concernant le véritable vainqueur de la présidentielle de 2010. Une élection qui, l’on le sait, s’est déroulée dans des conditions “calamiteuses” et dont les conséquences furent un désastre. Plus de 3000 personnes avaient perdu la vie selon un bilan officiel. Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara revendiquant chacun la victoire.

Ci-dessus la publication de Mamadou Traoré

À tous nous amis GOR qui nous demandent de dire la vérité sur le nom de celui qui a gagné les élections de 2010 afin de bénéficier de leur pardon, je voudrais leur dire ceci: Celui qui a gagné l’élection en 2010 s’appelle Alassane Ouattara.

Même si nous sommes en palabre avec lui ,nous n’allons pas mentir pour faire plaisir à ceux dont nous convoitons les voix.

Si après cette vérité certains d’entre eux décident de ne pas accepter notre pardon, il faut qu’ils sachent que le pardon divin est pour nous le plus important.

C’est par humilité que nous demandons pardon pour nos erreurs.

Sinon, nous ne sommes pas les seuls coupables des crises politiques que nous avons connues.

À ceux des GOR qui rêvent également de nous voir nous les Soroistes ,en découdre avec le pouvoir par des armes pour leur plus grand bonheur, qu’ils aient le moral.

Nous ne prendrons plus les armes ni pour nous-mêmes ni pour quelqu’un d’autre.

Nous l’avons fait hier et aujourd’hui ceux pour qui nous avons pris ces armes nous traitent de terroristes et de djihadistes.

Ceux qui jouissent aujourd’hui de notre prise des armes nous récompensent aujourd’hui par l’ingratitude.

Et après avoir passé tout le temps à demander pardon aux ivoiriens qui ont souffert de notre action, plus question pour nous de commettre les mêmes erreurs.

Si c’est à ce schéma que ces GOR rêvent, qu’ils déchantent.

Plus question pour nous de régler nos problèmes avec nos adversaires politiques à travers des armes.

Nous allons les chasser du pouvoir de la manière la plus démocratique.

Nous n’allons pas faire comme les GOR qui ont profité de la junte militaire pour s’installer au pouvoir.

Nous n’allons pas faire comme nos amis du Restaurant qui ont profité de la rébellion pour s’installer au pouvoir.

Nous avons décidé de faire la politique autrement.

Et faire la politique autrement depuis ces deux décennies, c’est de battre son adversaire à la loyale aux urnes ,sans effusions de sang, et faire avec lui,pour la première fois de l’histoire de notre pays , une passation de charges en bonne et due forme.

C’est le défi que nous nous sommes lancé.

Et Inch- Allah ,nous y arriverons.

Donc, à tous ceux qui rêvent d’un affrontement armé entre nous et nos gars du Restaurant, qu’ils déchantent.

Nous ,on n’est plus dans ça !

Mais en octobre 2020,on va les terrasser jusqu’à ce qu’ils mordent la poussière.

Est-ce que vous connaissez l’enfant là qu’on appelle Guillaume Soro?

Bénin : Patrice Talon manifeste son désire de voir rentrer au pays l’ancien président Boni Yayi, actuellement en exil

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Le président béninois Patrice Talon a annoncé jeudi soir le “retrait des réserves de change du franc CFA” qui se trouvent en France et son souhait de voir rentrer au pays l’ancien président Boni Yayi, actuellement en exil.

“Nous sommes tous d’accord là-dessus, à l’unanimité, pour mettre fin à ce modèle”, a déclaré le président Talon dans une interview à la radio RFI et à la chaîne France 24, assurant que ce modèle était avant tout un “problème psychologique” et non “technique”.

“La banque centrale des pays d’Afrique de l’UMOA (Union monétaire ouest-africaine) va gérer la totalité de ces réserves de devises et va les répartir auprès des diverses banques centrales partenaires dans le monde”, a assuré le chef de l’Etat béninois, déclarant que cela se ferait “très rapidement”, mais sans donner de calendrier précis.

Début octobre, le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, avait déclaré que la France était ouverte à une “réforme ambitieuse” du franc CFA. Il avait dit attendre que les 15 pays qui partagent cette devise attachée à l’euro “décident ce qu’ils souhaitent”, à un moment où l’Afrique de l’Ouest envisage de créer sa propre monnaie unique.

“Nous sommes disponibles et nous sommes prêts”, avait-il alors assuré, au terme d’une réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des pays de la zone franc.

Etabli en 1945, une quinzaine d’année avant l’indépendance des colonies françaises, la valeur du franc CFA est aujourd’hui indexée sur l’euro (1 euro = 655,96 francs CFA) ce qui maintient les économies africaines dans la dépendance de la politique monétaire européenne, une situation régulièrement taxée de “néo-colonialisme”.

Le ministre béninois des Finances, Romuald Wadagni, avait déjà été le seul représentant africain à prendre la parole lors de la conférence de presse après la réunion au nom des pays de la zone Umoa (Union monétaire ouest-africaine), qui comprend le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo.

“Nous travaillons la main dans la main avec la France”, avait-il affirmé, tout en rappelant que les pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) – dont le Ghana – se sont mis d’accord pour l’adoption à l’horizon 2020 d’une monnaie unique – l’eco – qui sonnerait le glas du franc CFA dans cette région.

  • Crise politique –

Le chef de l’Etat béninois a d’autre part fait un geste d’apaisement de la crise politique qui agite le pays depuis les élections législatives d’avril, auxquelles l’opposition n’avait pas pu présenter de listes de candidats. Patrice Talon a “souhaité” le “retour au Bénin” de l’ancien président Boni Yayi, qui se trouve actuellement en exil après que son domicile de Cotonou eut été encerclé pendant près de deux mois par les forces de l’ordre.

De par la “noblesse de sa fonction” d’ancien chef d’Etat, son adversaire politique doit faire “l’objet de traitement particulier”.

“Le peuple pourrait mal le percevoir”, a souligné Patrice Talon. “Boni Yayi a été impliqué dans ce qui s’est passé” lors des violences post-électorales qui ont débuté le 1er mai à Cotonou et ont fait plusieurs morts par balles, selon le chef de l’Etat, qui a ajouté lui “avoir fait comprendre”.

Plus tôt dans la journée, le président béninois, fortement critiqué pour avoir engagé un tournant autoritaire dans un pays réputé pour être un modèle démocratique en Afrique de l’Ouest, a promulgué la nouvelle Constitution, déjà approuvée à l’unanimité par le Parlement et la Cour constitutionnelle.

Parmi les réformes, on note l’impossibilité de faire “plus de deux mandats présidentiels à vie”, ce qui exclut d’ores et déjà une potentielle candidature de l’ancien président Yayi (2006-2016).

Le Parlement a également validé une procédure d’amnistie, qui permet de ne pas engager de poursuites contre l’ancien chef de l’Etat, ni contre les forces de l’ordre qui ont, selon le président Talon, agit pour se protéger.

Il a expliqué que les violences post-électorales étaient “une responsabilité globale” du peuple béninois, mais qu’il en était de fait “le premier à (en) tenir la responsabilité”.

Le président Talon a assuré que sa propre candidature à la présidentielle de 2021 dépendrait de son “état d’esprit”, de “l’environnement politique” et de la réforme pour “renforcer les partis politiques”.

Interrogé sur le fait que ses deux plus grands adversaires politiques de la précédente présidentielle de 2016 sont tous deux interdits de se présenter par des décisions de justice et vivent actuellement en exil en France, le président Talon a déclaré qu’ils “devaient se tenir responsables de +leurs+ actes”.

tv5

Soutenance de Mémoire : Dr Issa Malick Coulibaly,1er ivoirien expert électoral

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Dr ISSA MALICK COULIBALY est devenu, Jeudi 07 novembre 2019, le premier ivoirien expert électoral après la brillante soutenance de son mémoire de master professionnel en management des élections à la Chaire Unesco des droits de la personne humaine et de la démocratie de l’Université d’Abomey-Calavi.

La cote d’ivoire compte désormais parmi ses citoyens UN EXPERT DES QUESTIONS ÉLECTORALES. Il s’agit du docteur ISSA MALICK COULIBALY. Docteur en médecine avec spécialisation dans plusieurs domaines dont l’épidémiologie, l’ancien ministre de l’agriculture du Président LAURENT GBAGBO a soutenu jeudi 07 novembre 2019 avec brio son mémoire de master en management des questions électorales à la Chaire Unesco des droits de la personne humaine et de la démocratie de l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin.

Les travaux de recherche de Dr ISSA MALICK COULIBALY ont porté sr le thème : » L’élection présidentielle de 2010 en République de Cote d’Ivoire : la certification par les nations unies ». Au terme de ses travaux basés sur la recherche documentaire, Dr ISSA MALICK COULIBALY est parvenu à la conclusion selon laquelle les Nations Unies ont une grande responsabilité dans la crise post-électorale intervenue en cote d’ivoire après l’élection présidentielle de 2010. En cause, son système de certification.

Selon Dr ISSA MALICK COULIBALY, si la certification du premier tour du scrutin présidentiel de 2010 qui s’est déroulé globalement bien a été faite sans anicroche, celle du second tour émaillé par des « irrégularités » a été « désastreuse ». Cela, explique le désormais expert électoral, en raison de la divergence de l’interprétation de la certification par l’Organisation des Nations Unies par les protagonistes.

A travers la certification, l’ONU devrait observer les élections et attester si ce qui s’est passé est conforme aux standards. Mais , relève Dr ISSA MALICK COULIBALY , le Représentant de l’ONU s’est comporté comme l’arbitre du scrutin , rejetant les résultats du Conseil Constitutionnel, institution pourtant chargée de proclamer en dernier ressort les résultats des élections en cote d’ivoire , pour « curieusement » reconnaitre ceux proclamés « hors délai » par la commission électorale indépendante. Ce faisant, « l’ONU, fait savoir Dr ISSA MALICK COULIBALY, a violé la souveraineté de la Cote d’Ivoire ». Une situation qui a conduit à la guerre avec, officiellement, plus de 3000 morts.

A travers son travail, Dr ISSA MALICK COULIBALY entend contribuer à mettre un terme aux crises post-électorales répétitives. » Je ne veux plus qu’il y ait de guerre dans mon pays ni ailleurs après une élection », s’est exprimé Dr ISSA MALICK COULIBALY.

La belle présentation et l’originalité du sujet ainsi que les multiples efforts de Dr ISSA MALICK COULIBALY qui s’est refugié au Benin depuis la crise post-électorale en Cote d’Ivoire ont séduit le jury présidé par Professeur FELIX TANO, agrégé en droit public et sciences politiques de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké en Cote d’Ivoire. « C’est un travail intéressant. C’est un bon témoignage de l’histoire du présent » a jugé Dr ARTHUR VIDO, membre du jury. Le sujet traité par Dr ISSA MALICK COULIBALY, estime Dr GBEWETOUN KOKOU, examinateur, est « audacieux ».

Pour le président du jury, les résultats de recherche assortis de propositions concrètes devraient permettre à l’ONU d’améliorer sa pratique de certification d’élections. C’est donc sans surprise que le travail a été accepté à l’unanimité par le jury avec une note de 17/20.

Source : BANOUTO.INFO

FÉLICITATIONS Dr ISSA MALICK COULIBALY

SERVICE COMMUNICATION FPI

Avec abidjantv

People: interview Maria mobil (AMINA)

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Je dépense en moyenne 3.500.000f cfa par mois (Maison, billet d’avions, la nourriture). J’ai changé mes yeux à 30.000$. Mais j’ai pas payé cette somme cash, j’ai juste fait de la promotion pour cette entreprise et ils l’ont fait.

Hits2Babi.com

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