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Côte d’Ivoire-Exclusif/Adjudant Antoine Beugré et des hommes de Soro reprennent du service

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Adjudant Antoine Beugré et des «Spin Doctors» de Soro reprennent du service (un décryptage de Philippe Kouhon)

Alain Lobognon alias adjudant Antoine Beugré a été le directeur de communication du MPCI (mouvement patriotique de Côte d’Ivoire), l’aile politique de la rébellion armée (Forces Nouvelles) dirigée par Guillaume Soro. Pro Soro non négociable, il fait partie du dernier carré du président de l’Assemblée nationale.

Le 29 mai 2007,  peu avant  la lecture  par Désiré Tagro, porte-parole de la présidence de la République vers 15H30  du décret pris par Laurent Gbagbo , confirmant Guillaume Soro dans les fonctions de nouveau chef du gouvernement ivoirien, comme annoncé depuis Ouagadougou le lundi 26 mars à l’issue du deuxième round du dialogue direct, Alain Lobognon était aux côtés de Soro avec d’autres proches tels que Konaté Sidiki, ex-directeur de cabinet du MPCI, Soul To Soul, chargé de mission de Soro et du commandant Vétcho, chef d’état major particulier de Bogota.
Alain Lobognon a dirigé la cellule de communication du Premier ministre Guillaume Soro d’Avril 2007 jusqu’à sa nomination comme ministre des sports en juin 2011. Poste qu’il occupera jusqu’au 13 mai 2015, date de son limogeage à la suite de l’affaire des primes à la Can 2015. Après avoir gardé le silence sur certaines questions durant toutes ces années (2007-2015) au nom de la discipline que lui impose la fonction ministérielle, l’ex pensionnaire du CEG de Issia et actuel député de Fresco n’entend plus rester muet.
Désormais hors du jeu gouvernemental et vêtu de son manteau de député qui ne lui impose aucun silence, Alain Lobognon qui bénéficie désormais des moyens de communication qu’offrent les réseaux sociaux, reprend sa place auprès de Soro.

Affoussiata Bamba Lamine, fille de l’opposant Bamba Moriféré, offrait ses services en tant qu’avocate au barreau de Paris avant d’être approchée par le trio Soro-Sidiki-Dakouri après les assises de Marcoussis et Kleber en janvier 2003 à Paris. Plus tard, elle rejoindra le groupe à Bouaké où elle sera bombardée porte parole du mouvement rebelle (MPCI).
Devenue conseiller juridique du Premier ministre Guillaume Soro, Affoussy sera élue député de la commune d’Abobo en Décembre 2011. Elle est nommée le 22 novembre 2012 ministre de la communication. Un poste qu’elle gardera jusqu’en Janvier 2017, date de son départ du gouvernement et après sa défaite aux législatives de décembre 2016 face à Yasmina Ouegnin à Cocody. Comme Alain Lobognon, elle avait également observé les consignes d’obligation de réserve liée à la fonction ministérielle. C’est une cadre frustrée au moins deux fois  (perte des législatives et sortie du gouvernement), qui après avoir mesuré le pour et le contre,  a décidé de prendre ses responsabilités. En appelant à une union sacrée autour de Guillaume Soro à l’occasion de la célébration de l’an 10 de attentat contre le Fokker 100 transportant Guillaume Soro , Affoussy Bamba espère faire plaisir à son ancien patron.

Loin d’être des sorties improvisées, les actions des proches de Guillaume Soro à l’instar du professeur Franklin Nyamsi, son conseiller spécial, sont bien dans un plan commun. Lequel plan répond parfaitement à une stratégie de communication éloignée de tout amateurisme : afficher une image d’hommes et de femmes ayant définitivement tourné dos à toute forme de violence pouvant à nouveau endeuiller les ivoiriens en prônant le pardon et la réconciliation, apparaître en acteurs de rassemblement.
Guillaume Soro et ses « spin doctors »  visibles comme non visibles, ou pas cités ici ( Meité Sindou, Touré Moussa….) sont dans un jeu de rôles,  si l’on retient qu’un spin doctor est un conseiller en communication et marketing politique agissant pour le compte d’une personnalité politique, le plus souvent lors de campagnes électorales. En français canadien, on parle parfois de « doreur d’images».

Philippe Kouhon (afrikipresse.fr)


Attention !Voici le Top 5 des quartiers précaires les plus dangereux de babi (Abidjan)

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Hello babi people ! Attention ! Il y a des endroits de la capitale où il ne faut pas s’hasarder ! Lorsque l’on est un peu Gaou !Sachez où mettre les pieds. A bon entendeur…salut !!!

1-  Nous allons dans la commune d’Adjamé non loin de l’institut de la santé et de l’hygiène publique pour découvrir le prestigieux QUARTIER ROUGE et c’est notre tête de liste. Rien qu’à entendre le nom on peut deviner ce qui s’y passe. Si vous passez par là faites attention ! Il paraît qu’ils ne sont pas tendres avec les invités surpris !

2- C’est la commune voisine d’Attécoubé qui nous accueille avec BORI-BANA situé sur le boulevard de la paix, voie de la caréna réputé pour être le nid de certains phénomènes qui ont dérangé la capitale (suivez mon regard). Attention de tombé en panne sur cette à une certaine heure !

3– Mon enquête me mène maintenant plus à l’est où je trouve COLOMBIE 2dans la commune d’Abobo près du quartier de Kénédy Klotcha. Ici les étrangers ne sont pas les biensvenus surtout si vous avez l’air aisé. Je vous en pris n’allez pas faire le malin là-bas !

4- Quand je me dirige dans la commune de Yopougon, je découvre le petit quartier de « YAO SEHI »situé juste après le pont du XVIe arrondissement. Le carrefour juste après le pont a été baptisé « carrefour voleur » pour vous en donner un petit aperçu. Et ce n’est qu’un détail !

5– Enfin la commune de port bouet nous accueille avec JEAN FOLIE un quartier situé dans la périphérie de port bouet juste avant gonzagueville il est réputé pour le fort trafic de marchandises peu recommandables qui y circulent tout le temps. Notre police a du fil à retordre !

Meuhon

buzzyafrica

Côte-d’Ivoire /Bagarre dans un car en partance pour Odienné : Une femme arrache l’oreille de sa voisine

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Un voyage qui tourne au cauchemar pour tous les passagers. Hier, dans un car qui a quitté Abidjan, en partance pour Odienné, une bagarre a mis aux prises deux dames.

A l’origine de la rixe dans le véhicule qui continuait de rouler, une affaire de place. L’une n’aurait pas apprécié la présence d’un bagage gênant de sa voisine sous son siège. Et, malgré le fait que le carton gênant ait été déplacé, la ‘’victime’’ a continué de se plaindre, injuriant sa ‘’mauvaise’’ voisine.

Ce sont donc ces échanges de méchants mots qui ont dégénéré. Mais avant que les autres passagers ne parviennent à séparer les bagarreuses, l’une, sans doute déterminée à mettre au tapis son adversaire, a eu l’idée de lui mordre une oreille jusqu’au point de l’arracher. Malgré la douleur, la victime s’est résolue à garder son calme, jusqu’à Man. Là, à un check-point, elle alerte des éléments de la gendarmerie.

Le procureur, que ceux-ci saisissent, leur ordonne de bloquer le car, le temps de faire prodiguer les premiers soins à la blessée. Dans la foulée, celle qui a été inspirée par le boxeur américain, Mike Tyson, a été appelée pour s’expliquer devant les agents des forces de l’ordre. Quant au conducteur du car et son apprenti, ils ont aussi reçu leur ‘’convocation’’ à s’expliquer, pour n’avoir pas conduit la victime dans un centre de santé pour y recevoir les soins appropriés. L’immobilisation du car a eu lieu à 15 heures et, jusqu’à ce que nous mettions sous presse, l’escale forcée à Man, se poursuivait pour les passagers.

autre presse

un père prend toujous un bain dans les toilettes publiques après le travail avant d’aller à la maison/la raison va vous surprendre

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Ceci est l’histoire d’un père. Un papa qui n’a jamais eu la chance d’aller à l’école. Tous les jours, il lutte pour avoir assez d’argent pour donner à sa fille la chance d’être éduquée.

Voici sa triste histoire :

Je n’ai jamais dit à mes enfants quel travail que je faisais. Je ne voulais pas qu’ils aient honte de moi. Quand ma plus jeune fille m’a demandé ce que je faisais, je disais que j’étais laboureur.

Avant de retourner à la maison, chaque jour, je prenais un bain dans les toilettes publiques pour qu’ils ne soupçonnent pas la nature de mon travail. Je voulais envoyer mes filles à l’école, pour les éduquer. Je voulais qu’elles aient de la dignité. Je ne voulais pas que les gens les regardent de la même façon dont ils me regardent. Les gens m’humilient.

J’ai investi tout mon argent dans l’éducation de mes filles. Je n’ai jamais acheté de nouveaux vêtements. À la place, j’ai acheté des livres pour eux. Le respect, c’est tout ce que je voulais qu’elles aient pour moi. J’étais éboueur.

La veille du dernier jour d’inscription à l’université pour ma fille, je n’ai pas pu trouver l’argent pour payer. Je n’ai pas pu travailler ce jour-là. J’étais assis à côté des ordures essayant de cacher mes larmes.

Tous mes collègues me regardaient, mais personne n’est venu me parler. J’ai échoué et j’avais le cœur brisé. Je ne savais pas comment affronter à ma fille qui allait me demander, quand j’allais rentrer à la maison, si j’avais pu payer les frais.

Je suis né pauvre. Je pense que rien de bon ne peut arriver à une personne pauvre. Après le travail tous les éboueurs sont venus vers moi, se sont assis et m’ont demandé si je les considérais comme des frères. Avant je n’ai eu le temps de répondre, ils m’ont remis leurs payes du jour.

Quand j’ai voulu refuser ; ils m’ont dit, « Nous serons affamés aujourd’hui si besoin, mais ta fille doit aller à l’université. » Je ne pouvais pas leur répondre. Ce jour-là, je n’ai pas pris de bain, je suis rentré à la maison en tant qu’éboueur.

WikimediaCommons

Ma fille va bientôt finir l’université. Trois d’entre elles ne me laissent plus aller au travail. Elle a un travail à temps partiel et trois d’entre elles donnent des leçons. Mais souvent, elle m’emmène là où je travaillais. Pour donner à manger à mes collègues avec moi.

Ils rient et demandent pourquoi elle leur apporte souvent à manger. Ma fille leur a dit, « Vous avez tous été affamés ce jour-là pour que je puisse devenir ce que je suis aujourd’hui. Priez pour moi, pour que je puisse vous nourrir tous les jours. » Aujourd’hui, je ne me sens pas pauvre. Avec de telles filles, comment peut-on se sentir pauvre ? – Idris

Côte-d’Ivoire /Voici pourquoi le nouveau pont Henri Konan Bédié va bientôt s’écrouler

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Voici pourquoi le nouveau pont Henri Konan Bédié va bientôt s’écrouler, si l’Etat et la société exécutrice n’agissent pas vite. Mais avant de vous démontrer cela, je vous prie de lire ensemble avec moi la vraie histoire de ce pont. Ensuite vous comprendrai pourquoi il s’écroulera car présentant trop de défauts et de mal formation.
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Nous sommes sous le règne du président Bedié.
BEDIE — Tidiane THIAM — BNETD — BOUYGUE

Le Pont Henri KONAN BEDIE dont la première pierre a été posée à Abidjan le mercredi 7 septembre 2011, à grand renfort de publicité, est un projet initialement connu sous le nom de Pont Riviera-Marcory, dans le cadre « des 12 travaux de l’Eléphant d’Afrique » du régime du Président Bédié déjà en 1996.

En 1996 donc, pour cet important projet, la maîtrise d’œuvre est confiée au Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD) dirigé à l’époque par THIAM Tidiane. Monsieur THIAM désigne alors son ingénieur, le plus expérimenté de ce secteur, pour la conduite technique du projet.
Compte tenu des difficultés financières que rencontrait l’État de Côte d’Ivoire, une équipe technique entièrement ivoirienne, composée de juristes, d’économistes, d’ingénieurs, d’environnementalistes, de sociologues et de spécialistes de marché, proposa un BOT (Built, Operate and Transfert ; le BOT consiste à attribuer un projet par le biais d’appel d’offres à un opérateur privé qui le finance. Ce dernier se rembourse à travers une concession pour une période déterminée). Le projet est alors confié à un opérateur privé en charge de mobiliser le financement nécessaire à la réalisation du projet, et le remboursement devait par conséquent être assuré par un péage imposé aux automobilistes.
Un appel d’offres est lancé à cet effet et le Groupe BOUYGUES est choisi comme l’opérateur technique et financier du projet. Une convention de concession est signée après plus de deux ans d’études et de négociation. Le coût du projet est négocié à 91.8 milliards de FCFA avec une concession de 30 ans intégrant les frais financiers, les assurances et les différentes marges bénéficiaires.

Pour la réalisation du projet, le Groupe Bouygues crée une société privée de droit ivoirien (SOCOPRIM) conformément à la convention de concession. Le capital de SOCOPRIM est fixé à 28 milliards de FCFA, détenus par le groupe Bouygues (16 milliards de FCFA), l’Etat de Côte d’Ivoire (4.9 milliards de FCFA), la CAA (1.2 milliards de FCFA), le groupe TOTAL (1.25 milliards de FCFA), et le groupe DEG (4.65 milliards de FCFA). Des bailleurs de fonds sont contactés pour mobiliser le reste du financement nécessaire pour couvrir le coût du projet dont la SFI (21 milliards de FCFA), la BAD (18 milliards de FCFA), la CAA (2.8 milliards de FCFA), la BOAD (6 milliards de FCFA), le groupe PROPARCO (10 milliards de FCFA).
Le BNETD propose en outre un échangeur sur le boulevard Giscard d’Estaing pour éviter tout engorgement sur le pont Riviera-Marcory et faciliter ainsi, l’accès au dit boulevard. Coût de l’échangeur : 10 milliards de FCFA financés par l’AFD (4 milliards de FCFA) et la BOAD (6 milliards de FCFA).

L’étude d’impact environnemental et le plan de déplacement et de réinstallation de la population occupant l’emprise du projet (l’emprise est l’emplacement du pont, des voies de raccordement et de l’échangeur) sont évalués à 6 milliards de FCFA entièrement à la charge de l’État de Côte d’Ivoire.

Le projet final comprend donc un pont de 2 fois 3 voies avec un trottoir, une digue, une voie de raccordement au boulevard Giscard d’Estaing, une voie de raccordement au boulevard MITTERAND. Le délai de réalisation est estimé à 24 mois, le début des travaux est fixé à fin décembre 1999.

La mobilisation du financement du projet « Pont Riviera-Marcory » étant bouclée, la mise en œuvre du projet pouvait alors démarrer et démarre justement par le plan de déplacement et de réinstallation des occupants de l’emprise du projet. Ce volet prend fin avant le 24 décembre 1999.

Cette opération de déplacement et de réinstallation qui touche le secteur informel, permet de réinstaller de petits commerçants, de petits artisans et des propriétaires de maquis qui deviennent par une juste compensation des pertes, des petites et moyennes entreprises prospères. Ce qui est différent, aujourd’hui, des destructions massives sans contrepartie du pouvoir actuel qui accroît la pauvreté.
C’est dans l’attente du démarrage effectif des travaux que le coup d’État du 24 décembre 1999, des “jeunes gens” dirigés par le regretté Robert GUEI, a eu lieu.

A la suite de ce coup d’État qui chassa le Président Bédié du pouvoir, les bailleurs de fonds suspendent bien évidemment leur financement. Le projet est ajourné pendant la période de transition.
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Nous sommes sous le règne de Laurent Gbagbo​
GBAGBO — AHOUA DON MELLO — BNETD — BOUYGUE

Après l’élection du Président Laurent GBAGBO, en Novembre 2000, notre modeste personne est nommée à la tête du BNETD.( Nous choisissons de reconduire l’équipe projet pour son expérience inestimable et les compétences avérées de ces membres.

Le projet est aussitôt relancé. L’équipe-projet le réévalue en tenant compte de l’inflation. Cette réévaluation a mis en évidence un surcoût de 10 milliards de FCFA qui risquait d’avoir un impact sur le prix du péage et le délai de concession. Pour absorber le surcoût l’équipe projet propose une solution alternative : la construction d’un pont semi-métallique.

La proposition technique validée, elle est aussitôt présentée au Président Laurent GBAGBO qui émet, somme toute, des réserves sur un pont à péage au cœur d’Abidjan ! Il demande néanmoins de reprendre les négociations avec l’opérateur technique et financier BOUYGUES et d’étudier parallèlement une solution sans péage.

Les bailleurs de fonds demandent que les relations entre la Côte d’Ivoire et le FMI soient rétablies avant de donner leur feu vert. Le Ministère de l’Economie et des Finances conduit avec succès le programme intérimaire arrêté avec le FMI. Un programme triennal est conclu en mars 2002. Sa bonne exécution devait conduire à la conclusion du PPTE à la fin du programme. Une mission est prévue pour le 20 septembre 2002 à Washington pour poursuivre les échanges avec le FMI.

C’est alors q’un autre coup d’État en Septembre 2002 est tenté avec comme objectif des conspirateurs d’emmener Alassane Dramane OUATTARA au pouvoir. Le coup d’État manqué se transforme alors en rébellion et suspend une fois de plus le démarrage du Pont Riviera-Marcory. Les bailleurs de fonds suspendent encore évidemment, leur collaboration avec la Côte d’Ivoire.

Après toutes ces péripéties, le Président Laurent GBAGBO demande qu’une solution interne de financement soit trouvée et que le péage soit définitivement écarté.

Le BNETD s’en remet au Ministère de l’Economie et des Finances qui a en charge la recherche de financement. Le Ministère propose donc un compte séquestre à la BNI alimenté par un prélèvement sur le pétrole et un appel public à l’épargne garanti par le compte séquestre.

Un opérateur chinois propose au BNETD une solution technique à 60 milliards de FCFA.

Le BNETD se propose, sur cette base, de négocier avec l’opérateur BOUYGUES soit la transformation du contrat de concession en marché public soit la rupture du contrat et l’évaluation des dommages et intérêts.

Au vu, de la proposition chinoise, la rupture du contrat est avantageuse pour l’État ivoirien. D’une pierre la Côte d’Ivoire peut réaliser deux coups : 1/réaliser un projet moins cher sur fonds propres 2/ éviter le péage en plein cœur d’Abidjan dans un contexte de pauvreté accentuée.

À la faveur du point de décision du processus PPTE avec les bailleurs de fonds obtenu en 2009, le Ministère de l’Economie et des Finances marque son accord pour la mobilisation interne du financement. Cela suppose la réévaluation du projet pour définir le montant à mobiliser, la constitution d’un dossier de consultation des entreprises et la rupture du contrat de concession.

La réévaluation du projet est achevée en 2010. Le gouvernement ivoirien décide de maintenir l’opérateur BOUYGUES sur la construction de l’échangeur du boulevard Giscard d’Estaing et de négocier la rupture du contrat de concession sur le pont. Une avance de démarrage est payée par l’État ivoirien pour la construction de l’échangeur.

Le démarrage des travaux est plusieurs fois reporté avec à chaque fois différents prétextes jusqu’au coup d’État de la France du 11 avril 2011.

Pour écarter l’expertise ivoirienne, ADO fait revenir, SEREY EIFFEL, le dernier Directeur Général français du BNETD (1990-1994) comme conseiller spécial à la Présidence de la République pour les affaires économiques après son passage au GABON où il a dirigé la société écran d’Alassane OUATTARA : l’Institut International pour l’Afrique (IIA). Le projet du Pont Riviera-Marcory est relancé en écartant la solution sans péage du Président Laurent GBAGBO. Alassane OUATTARA reconduit le projet initial réévalué à 125 milliards de FCFA avec à la clé un péage de 700 FCFA par véhicule et par passage, dans un contexte de pauvreté généralisée. La mise à l’écart des solutions du BNETD signe certainement le retour de l’expertise française en Côte d’Ivoire avec pour corollaire le renchérissement des coûts de tous les projets en portefeuille pour lesquels les études ont été déjà bouclées par le BNETD durant les années de crise, sur ressources propres issues du déploiement du BNETD en Afrique. Ces dossiers « prêts à porter » constituent une « banque » de près de 200 projets et ont permis de gagner du temps lors de la mise en œuvre du pont de Jacqueville, de l’autoroute du nord, de la route Boundiali-Tingrela, du transfert de la capitale, de la réhabilitation de l’Hôtel Ivoire et du programme d’urgence dans le cadre du rétablissement des relations avec les bailleurs de fonds en 2009.

Dépouiller le peuple ivoirien pour garantir les intérêts de la France-Afrique, lutter contre la concurrence des pays émergents, le Pont Henri KONAN BEDIE est l’expression de cette nouvelle alliance entre la France et la Côte d’Ivoire et à terme, entre l’Occident et l’Afrique et le retour en force des conseillers occultes français car on n’est mieux servi que par soi-même, dit l’adage. Le mode opératoire de ce pont marque le point de départ de la Solution ADO dans le secteur des Grands Travaux en Côte d’Ivoire et le futur visage français de l’économie ivoirienne avec le financement françafricain occulte de l’Elysée. Nous sommes en plein dans la devise de la France-Afrique : “Ce qui est bon pour la France est obligatoirement bon pour l’Afrique”.

Au moment où les Ivoiriens souffrent d’une pauvreté accentuée par l’incapacité du régime de Monsieur Alassane Dramane OUATTARA à payer les salaires, d’une extermination des micro-entreprises, d’un affaiblissement du portefeuille des petites et moyennes entreprises qui accroît chaque jour le nombre de chômeurs et ne parlons pas de l’insécurité chronique. Au moment où les ivoiriens sont soignés gratuitement mais sans médicaments. C’est ce moment que Monsieur Alassane Dramane OUATTARA et le Groupe BOUYGUES choisissent pour construire un pont à péage à 700 F CFA le passage et par voiture, là où le Président GBAGBO propose un projet deux fois moins cher et sans péage. Pour faire avaler la pilule au PDCI, ils ont donné le nom du Président Bédié au pont. Comme par hasard, le déblocage de fonds qui a suivi pour lancer les travaux et toute cette effervescence autour du pont coïncident avec l’approche des élections en France, cela rappelle étrangement toutes ces affaires de France-Afrique avec leurs rétro-commissions.

Les divergences d’approche du développement de la Côte d’Ivoire et la prise en compte stricte des intérêts des Ivoiriens par le Président Laurent GBAGBO sont la cause fondamentale de l’emprisonnement du Président légal et légitime de la République de Côte d’Ivoire par la Françafrique.

Source /Par Ahoua DON MELLO, Docteur-Ingénieur des Ponts et Chaussées de Paris, ex DG du BNETD 2000-2010, Ministre de l’équipement et d’assainissement du gouvernement Gilbert AKE Ngbo​

Contraint par la fonction,il a été obligé de faire un choix ! le Président de Gambie choisit sa « First lady » parmi ses deux femmes !

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Pas du tout facile de concilier la fonction de Chef d’Etat avec le régime polygamique de nos jours Wanda People. En pleine tournée européenne, Adama Barrow vient d’être confronté à cette dure réalité ! Dans l’impossibilité de muter ces différentes épouses d’un pays à l’autre, il a été obligé de faire un choix ! Une situation compliquée pour le nkounkouma* qui aime vraisemblablement ses deux épouses…

Il n’avait vraiment pas le choix Wanda People ! Adama Barrow le nouveau président de la Gambie se devait de trancher qui de sa première ou sa deuxième femme deviendrait la First Lady du pays. En effet, cette situation embarrassante s’est surtout posée parce que le président s’apprêtait à débuter sa tournée européenne.  Le kongossa dit que les chefs d’Etat occidentaux ne peuvent pas recevoir un président qui arrivent avec deux femmes… (Et le respect des traditions des autres alors ? Comment font-ils avec les Cheicks saoudiens ?)

Face à cette problématique,  Adama Barrow a tranché lors d’une récente interview sur la RTS. A la question de savoir laquelle de ses deux femmes il choisit comme First Lady de la Gambie, Barow s’est montré très clair. C’est « Awoo » la reine de la maison avant d’ajouter que la deuxième n’y verrait aucun inconvénient ! Assia pour la deuxième femme qui connait désormais sa place…

En clair, lors de toutes ses visites officielles, il ne pourra aller qu’avec sa première femme Awoo. Ce qu’il a d’ailleurs fait lors de sa récente visite officielle au Sénégal ainsi qu’en France oú il a rencontré François Hollande.

Critiquée par les occidentaux, la polygamie est encore un régime qui est bien pratiquée en Afrique ! Si les jeunes filles modernes du continent le contestent de temps en temps, il est loin d’être en voie de disparition. Dans tous les cas, c’est un choix qui appartient à tout un chacun…

*président, chef

jewanda-magazine

Scandale sexuel aux USA: Un diplomate de l’ambassade de Côte-d’Ivoire convoqué devant la justice américaine

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Un diplomate en service à l’ambassade de Côte-d ivoire à Washington cité dans une affaire de scandale sexuel devant la justice américaine se pourvoirait de son statut diplomatique.
Une affaire qui fait grand bruit en ce moment au sein du monde diplomatique et judiciaire aux USA.
Plus d’infos suivront, restez connectés.

.connectionivoirienne

Ouattara et Soro, divorce inévitable (Par Ferro M. Bally)/ce qui se passe

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La coupe est pleine. A la veille du dixième anniversaire (29 juin 2007 – 29 juin 2017) de l’attaque à la roquette à Bouaké, siège de la rébellion armée, du Fokker 100 de la République de Côte d’Ivoire transportant une délégation conduite par Soro Kigbafori Guillaume, alors secrétaire général des Forces nouvelles et Premier ministre de Laurent Gbagbo, Affoussiata Bamba-Lamine est sortie, ce 26 juin 2017, de la réserve qu’elle observait depuis sa défaite aux législatives du 18 décembre 2016 et sa sortie du gouvernement le 11 janvier 2017.

Elle bat le rappel des troupes pour la commémoration de cet événement où on a dénombré quatre morts et plusieurs blessés. En 2014, Soro prévenait sur sa page Facebook: «Nous ne devons pas oublier, nous ne devons pas accepter que le bourreau se déguise en victime». Mais l’ex-ministre de la Communication en a profité pour annoncer qu’elle ferait «bientôt une déclaration en qualité de porte-parole des Forces nouvelles». «Face à tous ces événements qui dénotent de tensions évidentes, je ne peux rester indifférente», assure-t-elle.

C’est un coup de tonnerre. Qui traduit les profondes divisions entre le RDR et les alliés de l’ex-rébellion armée qui veulent retrouver leur autonomie. Devant le choc des ambitions irréconciliables, le divorce s’annonce irréversible tout simplement parce qu’il ne peut y avoir deux capitaines dans le même navire.

A la chute du pouvoir Gbagbo en avril 2011, les Forces nouvelles qui avaient pris les armes depuis septembre 2002 pour cet objectif précis, ont organisé un conclave les 10 et 11 septembre 2011 à Bouaké. Cette assemblée n’a pas voulu mettre tous les œufs dans le même panier.

Elle a d’une part acté la dissolution des Forces armées des Forces nouvelles (FAFN, la branche militaire de la rébellion armée) conduite par le général Soumaïla Bakayoko et son intégration aux Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI, forces armées régulières). D’autre part, elle a maintenu en état de latence la branche politique qui n’a jamais officiellement été désagrégée. Un pied dehors, un pied dedans.

Car alors que la direction du RDR, comblée d’avoir les rênes du pouvoir d’État, voulait faire de cet ancien homme de gauche sa plus grosse prise du mercato politique, Soro a voulu temporiser. Dans son discours à ce conclave de septembre 2011 et de manière très subtile, Soro Guillaume a, en effet, écarté l’idée de créer un parti devant la pléthore de formations politiques, ou de se jeter automatiquement dans le RDR, mais il a suggéré à ses compagnons de la lutte armée, celle de maintenir les Forces Nouvelles en «mouvement politique» pour peser sur l’échiquier en restant une force inéluctable de la vie politique ivoirienne.

L’intégration des FAFN aux FRCI est un franc succès: le général Bakayoko a été le chef d’état-major général ou CEMAG des FRCI et tous les anciens seigneurs de guerre appelés commandants de zone ou com’zone sont des responsables de premier plan du dispositif sécuritaire ivoirien. Mais la gestion politique du pouvoir d’État, quant à elle, est l’objet de nombreux couacs; chacun, sur ses gardes, surveillant l’autre comme de l’huile sur le feu dans la guerre de succession à Ouattara.

Soro et le RDR, sans baisser la garde, se livrent alors à des tours de passe-passe. Reconduit comme Premier ministre dès 2010 dans la «République du Golf», Soro Guillaume cumulait le portefeuille ministériel de la Défense. Il était l’homme fort du régime Ouattara.

Au même moment, le RDR ne voulait pas être le parti de recyclage des ex-rebelles. S’il parrainait donc la candidature aux législatives du 11 décembre 2011 de Soro Guillaume dans la circonscription électorale de Ferkessédougou (région du Tchologo, au nord), il refusait l’investiture à d’autres lieutenants de l’ex-secrétaire général des Forces nouvelles dont Mme Traoré Fatoumata épouse Diop (circonscription électorale de Bouaké ville, région du Gbêkê au centre) et surtout Alain-Michel Lobognon Agnima alias adjudant Beugré (ex-porte-parole de la rébellion armée) dans la circonscription électorale de Dahiri, Fresco et Gbagbam (région du Gbôklè, au sud-ouest).

Présent dans la Case (symbole du RDR) où il compte de nombreux fidèles et où il a tissé des réseaux, Soro va alors lancer son dévolu sur le parti. Candidat déclaré à la succession d’Alassane Ouattara à la tête du parti et de l’État, ce “jeune et pressé” avait besoin d’une machine politique. L’ex-rébellion armée aurait ainsi la mainmise et sur l’armée et sur le parti au pouvoir, les deux pieds joints.

Dans ce jeu du chat et de la souris, le RDR manœuvre, lui, pour deux objectifs: le premier, le pouvoir Ouattara n’est ni de près ni de loin impliqué dans la rébellion armée que le chef de l’État qui veut apparaître blanc comme neige, n’a d’ailleurs jamais voulu assumer. Le second objectif est de réduire, à défaut de neutraliser, les capacités de nuisance de Soro Guillaume afin de le laisser à la périphérie et ne pas faire ombrage à Alassane Ouattara, le monarque républicain.

Car l’ex-chef de la rébellion armée s’est mis dans la position de l’objecteur de conscience du chef de l’Etat. Avec un brin de chantage, il a rappelé à Ouattara qu’il est celui à qui il doit sa prise de pouvoir, le 11 avril 2011. «Je crois que la confiance que m’accorde le président (Alassane Ouattara) repose sur deux choses. Le 28 novembre (2010, second tour de la présidentielle ivoirienne entre Gbagbo et Ouattara), après avoir confisqué le pouvoir, Gbagbo a voulu passer un deal avec moi. Si j’avais accepté, l’histoire aurait été différente. Or, j’ai refusé. Puis j’ai engagé les Forces nouvelles, mes troupes, dans la bataille. Nous avons gagné, nous avons pris Yamoussoukro puis Abidjan et j’aurais bien pu, dans la foulée, ramasser la mise pour moi. Or, je ne l’ai pas fait», s’est-il confié pour laisser planer l’épée de Damoclès sur la tête de Ouattara (Cf. Jeune Afrique n°2671 du 18 au 24 mars 2012).

Dans cette même veine, Soro Kanigui Mamadou, président du Réseau des Amis de la Côte d’Ivoire (RACI) vient de monter au créneau pour dire ses quatre vérités à Ouattara et au RDR, les mettant sévèrement en garde. Ce candidat indépendant, élu député de Sirasso contre le candidat du parti au pouvoir qui a rejeté sa candidature alors qu’il était député sortant, en a gros sur le cœur.

Il estime que les Forces nouvelles sont payées en monnaie de singe. En rappelant tous les faits de guerre de l’ex-rébellion armée à la présidentielle de 2010 (meilleurs scores du RDR sont venus de la zone tenue par les ex-rebelles, CEI noyautée par l’ex-rébellion sous la primature de Soro Guillaume, parti-pris pour Ouattara dans le litige électoral, etc.) pour dérouler le tapis rouge à Alassane Ouattara, il a conclu, menaçant: «Alors question: Qui a pissé qui?’Si Guillaume Soro s’amuse, on va le briser’. Brisez-le on va voir ! Ou bien c’est parce qu’on veut de la modération pour sauver les meubles!»

Ceci expliquant cela, des cadres au RDR, avec la bénédiction du chef de l’État et président du parti qui tacle ses adversaires, ne cachent plus leur aversion pour le président de l’Assemblée nationale et ses camarades. Traité de tous les noms d’oiseaux, Soro que l’on soupçonne ouvertement d’entretenir des milices dormantes, n’est plus le bon allié.

Surtout que se démarquant désormais de la politique jusqu’au-boutiste du pouvoir Ouattara qui veut casser du FPI et faisant créer un mouvement baptisé l’Alliance du 3 avril, Soro fait ouvertement campagne pour la réconciliation nationale. «Il n’y a aucun intérêt à garder des gens en prison», revendique-t-il pour exiger la libération des prisonniers politiques de la crise post-électorale, et embarrasser le RDR.

De ce fait, les ennuis ont commencé à se multiplier dans un mouchoir de poche: Koné Kamaraté Souleymane dit Soul To Soul, directeur du protocole du président de l’Assemblée nationale, est l’objet d’une enquête judiciaire pour des tonnes d’armes lourdes et légères découvertes chez lui à Bouaké le 16 mai 2017; Alphonse Soro Tiorna a été prié de rendre le tablier de ses fonctions de conseiller en charge du Travail et du Dialogue social à la Primature le 14 juin 2017, etc.

Et Soro Guillaume lui-même n’est pas en odeur de sainteté auprès du pouvoir. Le Conseil des ministres du 07 juin 2017 a ouvert le feu. Son imposante résidence au quartier Zone industrielle de Bouaké, bâtie sur un espace dit d’utilité publique et qu’il a acquis avant 2011 «à des prix dérisoires et dans des conditions jugées opaques», va être détruite.

Mieux, «le Conseil, sur instruction du Président de la République, a décidé, au-delà des sanctions administratives qu’encourent les intéressés, de saisir la Justice afin que soient engagées des poursuites judiciaires à l’encontre des responsables qui, usant des prérogatives de leur fonction, posent des actes illégaux au détriment de l’État et de l’intérêt public».

Tout le monde se regarde ainsi en chiens de faïence. Et tout le monde joue à se faire peur. Jusqu’à quand? Car, dans ce bras de fer à fleuret moucheté, il suffit de la moindre étincelle pour que le fragile édifice explose et parte en fumées.

Ferro M. Bally

eburnienews.


Utilisation du logo du parti de Gbagbo : Le FPI saisit le Tribunal du commerce de Paris pour « usurpation »

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Les militants du Front populaire ivoirien (FPI) fidèles au Laurent Gbagbo ont saisi le tribunal du commerce de Paris pour « usurpation de logo » dans l’affaire qui les oppose à Pascal Affi N’Guessan. La saisine a été matérialisée, le lundi 26 juin 2007,  a appris letempsinfos des sources concordantes proches de ce parti.

Depui l’arrestation, le 11 avril 2011, de Laurent Gbagbo fondateur du Fpi et surtout depuis la sortie de prison deux ans plus tard, de son ancien Premier ministre, Affi N’Guessan, une crise est née au sein de la première force politique de l’opposition ivoirienne. L’ancien Premier ministre étant suspecté de faire le jeu de l’adversaire, Alassane Dramane Ouattara et son régime. Jusqu’à la veille du 3e congrès extraordinaire organisé le jeudi 30 avril 2015 à Maman village de l’ancien président ivoirien, Affi N’Guessan gardait la haute main sur le parti, ses ressources et son logo.

Mais les résolutions dudit congrès ont fini par le dépouiller, en plus de le radier des instances du Fpi, à l’unanimité des participants venus de toute la Côte d’Ivoire. Mais Affi n’a pas réussi à faire mentir ses anciens camarades, puisqu’il a bénéficié du soutien du pouvoir Ouattara qui l’a même nommé « chef de l’opposition », après sa participation à tout le processus électoral d’octobre à décembre 2015.

Avec le soutien de l’appareil judiciaire mis à sa disposition par le pouvoir ivoirien, la lutte pour l’utilisation du logo du Fpi a déjà tourné à l’avantage de l’ancien Premier ministre y compris tous les autres combats, contre l’aile restée fidèle à la doctrine du parti dirigé par Laurent Gbagbo dont l’intérim est assuré au quotidien par son vieil ami l’inusable Sangaré Abou Drahamane.

Le tribunal du commerce de Paris est-il compétent pour juger cette affaire ? Rappelons que la justice ivoirienne s’était dessaisi pour « incompétence « . Le temps qu’Affi Nguessan se frotte les mains et nargue ses camarades d’hier.

Par S.A-G

Source: letempsinfos.com

CPI-Affaire Gbagbo: A la fin de son témoignage, Coulibaly exprime un voeux: « Je souhaite que le président Gbagbo rentre chez lui »

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Le témoin Coulibaly qui comparaissait ce jeudi à la CPI dans l’affaire Gbagbo-Blé Goudé contre le procureur, s’est montré à la fois exceptionnel et conciliateur. A la fin de son interrogatoire par l’Avocat de Blé Goudé Me Zokou Séri, Il a marqué son souhait de voir libre l’ex chef d’Etat ivoirien.

« Me Zokou je suis content de vous rencontrer ici et j’espère qu’on se reverra au pays. Le fait que le président Gbagbo soit retenu ici ce n’est pas une bonne chose. Je souhaite qu’il rentre chez lui et qu’on puisse se retrouver et se parler frère, vivre ensemble comme avant », a-t-il émis comme vœu.

Zimbabwe: Il tue sauvagement sa patronne et brûle son corps à cause de ses avances refusées

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Au Zimbabwe, un domestique de 25 ans a été arrêté pour avoir tué et brûlé le corps de son employeuse de 68 ans, après que cette dernière a rejeté sa proposition d’amour.

Emmanuel Sibanda, a comparu le lundi 26 juin, devant le magistrat de Gweru, Musaiona Shortgame, sur une accusation de meurtre.
Il n’a pas été invité à plaider et a été placé en détention préventive jusqu’au 7 juillet pour confirmation de sa déclaration préventive et mise en garde. Il lui a été recommandé cependant, de faire une demande de mise en liberté sous caution à la Haute Cour.
Le Procureur, Daniel Tapfuma, a déclaré au tribunal que le 21 juin, Sibanda avait eu un malentendu avec sa patronne, Mme Jerina Chipato, lorsque celle-ci a refusé sa proposition d’amour.
« Drôle de dragueur… »
« Sibanda a violenté la victime en la frappant une fois sur sa tête avec une bûche sèche, et elle est tombée inconsciente sur le sol. L’accusé a continué à traîner la défunte dans sa cabane de cuisine et a allumé le toit de chaume « , a t-il dit.
La femme a été brûlée à mort. Sibanda appela alors une aide affirmant que Mme Chipato avait accidentellement été brûlée à mort dans sa cabane de cuisine.
Il a déclaré que les voisins suspicieux qui ont répondu à l’appel, se sont mis à fouiller la chambre de l’accusé pour avoir des indices sur ce qui aurait pu se produire.
« La question est apparue lorsque la cabane qui sert de chambre à l’accusé a été fouillée, et a permis la récupération de vêtements de Sibanda qui étaient tachés de sang. Le téléphone portable de la défunte a également été caché dans ses vêtements « , a déclaré M. Tapfuma.
« Ce n’était pas mon intention de la tuer »
Sibanda, dans sa déclaration, a avoué avoir tué sa patronne. Il a dit avoir fait, le jour du meurtre, une proposition d’amour à Mme Chipato, et elle l’a refusée.
« Elle m’a ensuite demandé d’aller chercher de l’eau la nuit. Nous avons eu un malentendu et je l’ai frappée avec une bûche à la tête. J’ai ensuite traîné son corps dans sa cabane de cuisine et j’y ai mis le feu pour couvrir le crime puisque ce n’était pas mon intention de la tuer « , a déclaré Sibanda.
On suppose que ce n’était également pas son intention d’aller en prison, mais il y séjournera probablement pendant longtemps!

Ivoiremantin

Cpi : “Depuis Akouédo, j’ai entendu le bombardement du marché d’Abobo”, soutient un témoin (Sergent au Bataillon d’Artillerie Sol-Air)

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Le Sergent Sékongo Zié (Sergent au Bataillon d’Artillerie Sol-Air, au nouveau camp d’Akouédo) était le témoin du procureur de la Cpi, le mardi 27 juin 2017, face à Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. Tireur de pièces d’artilleries au moment de la crise postélectorale, pour le compte des FDS, le sous-officier a été invité à témoigner sur l’affaire du bombardement du marché d’Abobo.

À la question de Me Garcia (le substitut du procureur Fatou Bensouda) de savoir si, à sa connaissance, le marché avait été effectivement bombardé, le sous-officier répond par l’affirmatif.

Le juge-président lui demande alors de retracer pour la chambre, le film du bombardement. Le témoin explique à la cour qu’il n’avait pas participé ni assisté au bombardement, en personne, mais qu’il avait entendu la déflagration depuis le nouveau camp d’Akouédo où il était en poste ce jour-là. « C’est du camp commando d’Abobo qu’est parti l’obus qui bombardé le marché. C’est vrai que j’ai participé à des missions dans ce camp, mais, ce jour-là, je n’y étais pas. J’étais de garde au nouveau camp d’Akouédo (Route de Bingerville. Ndlr). Et c’est depuis là-bas que j’ai entendu la déflagration de l’obus qui est tombé sur le marché d’Abobo. C’est un l’obus du canon d’un Mortier 120 mm. La puissance de l’explosion était telle que la terre a tremblé», a-t-il lâché.

Lorsque le juge-président lui demande comment il fait pour être sûr que l’explosion provenait effectivement d’un bombardement du marché d’Abobo, et surtout, pour reconnaitre le calibre de l’arme utilisé, le sous-officier se perd dans ses réponses. Dans un premier temps, il soutient que le soldat qui a bombardé le marché est entré à la base (au BASA) deux jours après le bombardement. Et que c’est ce dernier qui aurait avoué. «Il l’a avoué. Il a dit avoir bombardé le marché, parce que le commando invisible s’y était réuni », a-t-il répondu. Non satisfaite de cette réponse, l’accusation lui lit sa déposition. « Non Monsieur le témoin. Dans votre témoignage, vous avez confié aux enquêteurs que, quelques heures après le bombardement du marché, un de vos collègues a joint par téléphone, un militaire présent au camp commando d’Adobo. Et que c’est ce dernier qui vous a confirmé ce bombardement du marché, en raison d’une présence du Commando invisible. C’est bien cela la vérité ? », l’a interrogé l’accusation.

« Oui ! C’est la vérité. Pour ce qui est de l’arme, je l’ai reconnue par la puissance de l’explosion. En effet, seuls le mortier de 120 mm et un char peuvent produire une telle détonation », a répondu le témoin.

Jean-Hubert Koffo

afrikipresse.fr

Mort de Kadhafi /Vladimir Poutine brise enfin le silence et fait des révélations troublantes..c’est …

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Le président russe Vladimir Poutine s’est pour la première exprimé sur la mort de son ami Mouammar kadhafi. Le chef du Kremlin a d’abord rappelé qu’il aurait des remords concernant l’assassinat du Guide Libyen, survenu en 2011.  Selon le journaliste chroniqueur français, Eric Zemmour, la mort de Kadhafi c’est le remord de Poutine qui vire à l’obsession.

Vladimir Poutine ne se pardonne pas d’avoir laissé Nicolas Sarkozy faire abattre Kadhafi. Il estime que l’ex-dirigeant libyen se contenterait de protéger les populations civiles.

Le journaliste français qui a rapporté les propos de l’homme fort de la Russie n’a pas manqué de pointer du doigt les remords ressentis par Poutine. Selon Eric Zemmour, le président Syrien ne laissera pas faire, car le renforcement de la présence russe en Syrie pour lutter contre l’État islamique en est la preuve.

« Kadhafi massacré par les rebelles libyens, Kadhafi bombardé par les avions français et anglais, Kadhafi dont l’absence laisse un pays déchiré par la guerre civile et où s’engouffre une immigration innombrable qui fonce vers l’eldorado européen », a déclaré M. Zemmour.

  • par Christ Boli
  • autre presse

Du beau monde au mariage de Messi

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Le capitaine de l’équipe d’Argentine et sa compagne Antonella Rocuzzo se diront oui vendredi à Rosario, ville natale du quintuple ballon d’or, devant plusieurs stars du football et de la musique.

C’est l’hôtel Pullman Casino Center qui va abriter la cérémonie civile et la noce du couple. L’établissement situé près de la favela Las Flores hébergera ses invités prestigieux.

Environ 260 personnes ont reçu un carton d’invitation. La chanteuse colombienne Shakira et son mari Gerard Piqué, défenseur du FC Barcelone, ainsi qu’une vingtaine de joueurs de l’équipe catalane, dont le Brésilien Neymar et l’Uruguayen Luis Suarez entre autres.

Les ex-partenaires de Messi au Barça, Cesc Fabregas et Xavi Hernandez seront aussi présents.

Si presque tous les joueurs du Barça, les médecins, préparateurs physiques et kinés seront présents, aucun dirigeant du club n’a été invité ni l’entraîneur sortant Luis Enrique et son staff ni Pep Guardiola ou Diego Maradona.

Le capitaine du Barça, Andrés Iniesta, qui vient d’être papa pour la troisième fois, est excusé.

Ses coéquipiers dans l’Albiceleste Sergio Agüero, Ezequiel Lavezzi et Angel Di María, Javier Mascherano, participeront également à la fête.

Antonella Roccuzzo, 29 ans, portera une robe créée par la Catalane Rosa Clara, spécialiste des robes de mariée et qui habille la famille royale espagnole.

Les deux enfants du couple, Thiago, 4 ans, et Mateo, un an, assisteront au mariage de leurs parents.

A la demande de Lionel Messi, le menu est simple: les traditionnelles empanadas, un locro (plat argentin à base de maïs) et un abondant barbecue de viande de boeuf argentine. Des sushis sont également prévus.

Le complexe hôtelier-casino sera placé sous haute sécurité. La police de la province de Santa Fe, où se situe Rosario, est mobilisée.

bbc

 

Une Belge “pendue” et dévorée par des lézards” en Thaïlande/les raisons

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 Le corps sans vie d’Élise Dallemagne a été retrouvé dans la jungle de Koh Tao, une île thaïlandaise à la réputation peu flatteuse. Selon la police locale, la Bruxelloise de 30 ans s’est “pendue” à un arbre et a été “à moitié dévorée par des lézards”. Sa maman ne croit pas une seule seconde à cette théorie. Sa fille ne montrait aucun signe de dépression et avait même prévu de revenir en Belgique après un tour du monde de deux ans entre la Thaïlande, l’Inde, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Nous redoutons qu’une autre personne soit impliquée dans cette affaire. Nous ne croyons pas à la police. Elle dit que ma fille s’est pendue dans la jungle. Je ne sais pas pourquoi elle aurait fait ça. La dernière fois où je me suis entretenue avec elle, tout allait bien. Je n’ai constaté aucun signe de dépression chez elle

Michele van Egten, la maman d’Élise Dallemagne

D’après son profil LinkedIn, Élise Dallemagne, originaire de Bruxelles, se décrivait à la fois comme naturopathe et professeur de yoga. Depuis deux ans, elle faisait un tour du monde entre l’Inde, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Elle revenait à chaque fois en Thaïlande.

Dans la région de Koh Phangan, elle aimait suivre des séances de yoga. Elle était disciple du controversé Sathya Sai Baba (un maître spirituel indien décédé en 2011) et séjournait, avec deux amies, chez Raaman Andreas, un gourou allemand.

“Tout allait bien”
Le 28 avril dernier, le corps sans vie d’Élise Dallemagne a été retrouvé sur l’île de Koh Tao. Sa maman, Michele van Egten, ne croit pas une seule seconde à la thèse prônée par la police thaïlandaise. Elle assure que la Bruxelloise de 30 ans a été retrouvée “pendue et à moitié dévorée par des lézards” en pleine jungle. Certains affirment que les autorités thaïlandaises tentent de dissimuler la mort de touristes étrangers. Des journalistes locaux déclarent être sous pression pour ne pas relayer ce genre de faits divers.

“Nous redoutons qu’une autre personne soit impliquée dans cette affaire. Nous ne croyons pas à la police. Elle dit que ma fille s’est pendue dans la jungle. Je ne sais pas pourquoi elle aurait fait ça. La dernière fois où je me suis entretenue avec elle, tout allait bien. Je n’ai constaté aucun signe de dépression chez elle”, a précisé Michele van Egten. La maman a ajouté au magazine allemand “Der Farang” qu’une autopsie lui a été promise. En vain… (continuez à lire sous la photo)

Le 17 avril, soit onze jours avant la découverte de son corps, Élise Dallemagne avait appelé sa maman via Skype. Deux jours plus tard, la Bruxelloise avait pris un ferry. Selon sa maman, elle a utilisé le nom “Élise Dubuis” pour séjourner dans un complexe de bungalows situé près du quai de Koh Tao.

Un incendie a ravagé le complexe, y compris la hutte en bambou dans laquelle séjournait Élise Dallemagne. Elle a été obligée de traverser la jungle et fuir vers Tanote Bay (à 2,5 km de Koh Tao) où elle a réservé une chambre au Poseidon Resort. Là-bas, elle a acheté un billet d’avion pour Bangkok qu’elle devait rallier le 24 avril.

Aucune photo
La police thaïlandaise a expliqué à Michele van Egten que sa fille s’était “pendue” à un arbre. Aucune lettre d’adieu ou aucun message de suicide n’a été retrouvé autour du corps d’Élise Dallemagne. La Bruxelloise portait un vieux t-shirt et son corps était enveloppé dans un foulard en coton, ont ajouté les policiers thaïlandais. Le mystère reste entier et la maman commence à désespérer dans cette affaire

“Je ne vois pas pourquoi elle aurait réservé un vol pour Bangkok pour ensuite se suicider dans la jungle. J’attends toujours l’autopsie, nous voulons davantage d’informations”, a ajouté la maman. (continuez à lire sous l’article)

Autre mystère: Michele van Egten trouve étrange qu’il n’existe aucune photo de sa fille “pendue”. © Facebook.
Autre mystère: Michele van Egten trouve étrange qu’il n’existe aucune photo de sa fille “pendue”. Pourtant, c’est bel et bien la procédure à suivre pour les agents de police en Thaïlande. Élise Dallemagne a été incinérée 14 jours après la découverte de son corps.

Et le gourou?
La maman continue ses investigations avec l’aide d’un enquêteur allemand. Elle espère également avoir le son de cloche du gourou allemand, Raaman Andreas. La police a rouvert l’enquête autour du décès, rapporte la presse locale. Le ministère des Affaires étrangères a été avisé de ce décès. “Nous sommes en contact avec la famille. L’enquête est en cours et l’ambassade sera tenue informée”, a indiqué un porte-parole.

“L’île du meurtre”
Selon le Mirror, sept touristes sont morts sur l’île de Koh Tao (“L’île du meurtre”) au cours des trois dernières années: Hannah Witheridge, David Miller, Luke Miller, Christina Annesley, Nick Pearson, Valentina Novozhyonov et Dimitri Povse.

7sur7


Affaire « tuerie des femmes d’Abobo » : Un soldat accable Gbagbo/ce qu’il a dit

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Dans l’affaire du massacre des femmes d’Abobo, les témoignages d’un soldat du Bataillon de l’artillerie sol-air (BASA) à la CPI enfoncent Laurent Gbagbo.

Coulibaly Joseph, élément de la BASA, n’est pas passé par quatre chemins pour mettre en lumière la responsabilité de Laurent Gbagbo dans la tuerie des femmes d’Abobo lors de sa comparution à la Cour pénale internationale. « Il nous a été dit lors de nos stages et formation par nos instructeurs que pour utiliser les obus en pleine agglomération, il faut un accord du président de la République, parce que ce sont des armes de destruction massive », a argué le soldat.

Pour lui donc, la responsabilité de l’ex chef d’Etat est clairement engagée dans le largage des obus sur Abobo. Même s’il poursuit pour dire que ce sont les maréchaux de logis  Kaménan Brice et Péga ont directement donné les ordres.

Pour rappel, le jeudi 3 mars 2011, des femmes pro Ouattara avait initié une marche à Abobo dans le but de réclamer le départ de Laurent Gbagbo du pouvoir. Six femmes ont été tuées après le largage d’un obus.

par Richard Konan

Emmergence -Divertissement/ L’hôtel Ivoire ouvre son casino « Barrière Eléphant » (Officiel)

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Jeudi 22 juin dernier, a eu lieu à l’Hôtel Ivoire, l’ouverture officielle du casino « Barrière Eléphant ». La cérémonie s’est tenue en présence   de Alain le Gars, directeur général du Casino,  Aphing Kouassi, directeur de cabinet du ministère du Tourisme et Diarrasouba Maferima, directrice de la société des palaces de Cocody.

 En présence de la chefferie de Cocody, et des grands amoureux des jeux de hasard et d’autres invités,  Alain le Gars a expliqué à la presse que sa structure avait signé en décembre 2015, une convention avec l’Etat Ivoirien qui lui cédait l’exploitation et la gestion du casino Barrière Eléphant, pour une durée de 10 ans de concert avec une société ivoirienne. Pour lui, l’État ivoirien reste propriétaire du casino et son entreprise, l’exploitante.

Le Directeur Général du casino a expliqué que l’entrée à la salle de jeux est réservée aux personnes majeures ayant au moins 21 ans, sur présentation d’une pièce d’identité. Un couac, cette salle est également interdite aux Ivoiriens. « Les personnes de nationalité ivoirienne peuvent avoir accès au restaurant, bar et autres mais, la salle de jeux reste strictement interdite aux Ivoiriens », avait-t-il précisé. La salle de jeux est composée de 2 parties. Une partie ‘machines à sous”, ouverte tous les jours de 10h à 3h et à 4h pour les week-ends et veille les jours fériés et dont les mises commencent à partir de 10 francs CFA. L’autre est réservée aux, ”jeux additionnels ” ouverts tous les jours de 20h à 3h du dimanche au jeudi et de 16h à 4h les vendredis et samedis et veille les jours fériés. Selon le maitre des lieux, cette salle de jeux reste à ce jour ”la seule en Afrique de l’Ouest à proposer 4 tables de poker de contrepartie connectées à un jackpot progressif commun, dont le montant initial minimum est de 5.000.000 de FCFA. Le  Dg et son équipe rassure veiller à la bonne marche de cette entreprise. Diarrasouba Maferima et Aphing Kouassi ont quant à eux, soutenu que le Casino barrière l’Eléphant d’or d’Abidjan” va offrir de emplois directs, indirects et de la valeur ajoutée sur l’économie ivoirienne et surtout propose à sa clientèle (nationale et internationale), un restaurant, un bar lounge et une salle de spectacles (salle Cocody).

La petite question que nous posons, est : Si le casino ne reçoit pas de clients ivoiriens, comment offrira-t-il des emplois aux « ivoiriens » ?

aip

VIDEO/Judy est finalement décédée après avoir été brûlée par son compagnon,malgré ses 52 opérations chirurgicales

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Suite à une violente altercation survenue en août 2015, Judy Malinowski était restée 16 mois à l’hôpital afin de se remettre de ses blessures. Son compagnon l’avait aspergée d’essence avant de lui faire prendre feu. Mardi dernier, malgré ses 52 opérations chirurgicales, la femme de 33 ans est décédée des suites de l’attaque.

“Je ne savais pas qu’un être humain pouvait être si diabolique. Il était juste là et n’a rien fait du tout”. Sur son lit d’hôpital en décembre dernier, Judy Malinowski ne s’était pas encore débarrassée de son cauchemar. En aôut 2015, elle avait été gravement brûlée quand, de passage à la station d’essence de Gahanna (dans le comté de Franklin, Ohio), elle s’était violemment disputé avec son compagnon de l’époque.

Michael Slager, entré dans une colère noire, l’avait aspergée d’essence avant de lui faire prendre feu. Accusé, l’homme de 41 ans avait maintenu avoir provoqué l’incident après avoir tenté d’allumer une cigarette, rappelle Metro.

52 opérations chirurgicales
“Faites-vous aider. Fuyez”, avait encore déclaré Judy Malinowski en s’adressant aux victimes de violences conjugales.

Maman de deux enfants, Judy Malinowski avait passé 16 mois à l’hôpital afin de récupérer après avoir été brûlée au cinquième degré. Elle avait perdu ses oreilles, deux doigts et la majorité de sa chevelure. Malgré tout, la citoyenne de l’Ohio était prête à affronter son agresseur au tribunal, jusqu’à ce que celui-ci négocie afin de ne pas avoir à se confronter à sa victime devant le juge. Elle a finalement succombé à ses blessures après deux ans de combat acharné et 52 opérations chirurgicales.

11 ans de prison
Plaidant la non-contestation pour un incendie criminel aggravé, Michael Slager avait écopé de 11 ans de prison. Cette sentence pourrait évoluer depuis la mort de Judy Malinowski. Il pourrait être aujourd’hui poursuivi pour meurtre.

“C’est ce que nous souhaitons depuis le début de cette affaire, et notamment dans le cas où Judy serait décédée de ses blessures, de poursuivre (Michael Slager) pour homicide volontaire. Ce n’était pas prévu au programme (la mort de Judy, ndlr), et maintenant, c’est vraiment triste, parce que c’est finalement le cas”, a déclaré le procureur du comté de Franklin.

7sur7

PROCÈS: Gbagbo et Blé Goudé: 29 Juin 2017, ce que dit le temoin un expert en obus Charles Finch

Kumasi : Un journaliste échappe de justesse à un lynchage

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Un journaliste a échappe de très près à un lynchage ce mardi 27 juin à Kumasi  grâce à l’intervention de plusieurs chauffeurs de bus qui se trouvaient dans les environs.

Isaac Nsiah Foster, journaliste à Otec Fm une station radio de Kumasi enquêtait sur la construction d’une station d’essence sur un site dit « illégal » lorsque le propriétaire du lieu et ses travailleurs se sont lancés à sa poursuite tenant leurs outils de travail pour le lyncher.

Selon lui, le propriétaire de la station d’essence l’a abordé en lui demandant de s’identifier au risque d’être tué. Après avoir décliné son identité, il a ordonné aux manœuvres  de s’occuper de lui prétextant qu’il était un criminel.

M. Foster a été sauvé d’un éventuel lynchage grâce à l’intervention des résidents et de certains chauffeurs venus à sa rescousse après qu’ils l’aient entendu crier: «Je ne suis pas un voleur, je suis journaliste».

Il y a exactement un mois, le jeune Major Maxwell Mahama avait trouvé la mort entre les mains d’une foule déchaînée. Cet incident malheureux avait choqué plus d’un sur toute l’étendue du territoire ghanéen. Mais il semblerait que cette pratique soit imprégnée dans les gènes de nombreux compatriotes.

Lise Bivigou

infosdaccra

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