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Saison 2/Téléfilm«Ma Famille»de grands noms du cinéma africain dont des acteurs Mauritaniens

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delta akissi

Tout est fin prêt pour Akissi Delta pour lancer la saison 2 de son téléfilm «Ma Famille». Dans cette nouvelle aventure, de grands noms du cinéma africain dont des acteurs Mauritaniens sont annoncés.

Après plusieurs années d’interruption du téléfilm à succès «Ma Famille», due à plusieurs crises internes et autres incompréhensions, Akissi Delta est désormais prête pour lancer la saison 2 de sa production. Cette 2ème saison compte 261 épisodes.

Même si plusieurs acteurs de la saison 1 du téléfilm font partie de la nouvelle aventure, d’autres moins chanceux, n’y seront pas. Ils ont tout simplement été mis à l’écart et remplacés par d’autres talents. Le téléfilm ayant séduit toute l’Afrique, Akissi Delta a jugé bon de faire appel à des acteurs de différents pays. C’est dans ce choix pour l’expression de la diversité culturelle que la saison 2 de «Ma Famille» enregistrera des acteurs Mauritaniens, burkinabés, maliens…Aussi, la Côte d’Ivoire ne sera plus le seul lieu de tournage. Delta et son équipe se déplaceront au Bénin, Sénégal, Togo…pour faire des tournages.

Delta se dit prête à livrer une production de qualité avec des contenus beaucoup plus intéressants à l’Afrique. Et, à l’en croire, le long moment d’attente se fera vite oublier des téléspectateurs tant ils seront émerveillés par la saison 2. Le lundi 23 mai, elle est même allée remettre le scénario de la saison 2 au ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandama, à son cabinet.

Pour cette nouvelle aventure, Delta bénéficie de la confiance et du soutien du ministère de la Culture et de la Francophonie, de la Rti et de plusieurs autres partenaires.

Philip KLA
 linfodrome.com

 


ViDeo /Bill Gates : qui est l’homme le plus riche du monde /retour sur son itineraire

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Bill Gates, est l’invité de Laurent Delahousse, ce dimanche 26 juin sur le plateau du 20h. Mais comment en est-il arrivé là ? À 13 ans, l’adolescent rebelle crée son premier programme informatique. Il plaque Harvard à 20 ans et fonde Microsoft en 1975. Surdoué et frondeur, 20 ans plus tard, il équipe 90% des PC avec ses logiciels. En 2000, il crée une fondation et se consacre à la philanthropie. En 2008, il quitte même Microsoft.

“Le monde est plus ouvert aujourd’hui”

Selon lui, la France est “super importante” pour l’innovation dans le monde. Il évoque notamment la recherche médicale, en lien avec sa fondation qui tâche d’apporter des avancées dans le secteur de la santé. Bill Gates estime également que le monde est “plus ouvert aujourd’hui”, et qu’il est “difficile pour les pays de tout contrôler”, ce qui donne de “nouveaux pouvoirs aux gens“, mais “sans qu’une seule entreprise soit en pointe“.

Francetv info

La fortune du clan Sassou-Nguesso dans le viseur de la justice américaine /les raisons

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sassou

En plus du dossier des « biens mal acquis » qui vise le président congolais Denis Sassou-Nguesso et ses proches à Paris, une autre affaire inquiète Brazzaville. Cette fois, c’est entre les Etats-Unis et la France que se déroule l’offensive judiciaire de l’homme d’affaires anglo-libanais né au Nigeria, Mohsen Hojeij, 60 ans, actionnaire majoritaire de la société de BTP Commissions Import Export (Commisimpex) qui fut l’un des plus grands groupes privés du Congo. Cette société est détenue à 89 % par M. Hojeij, le reste du capital étant entre les mains d’un associé américain, John Grosso.

La dette vertigineuse que le créancier réclame au petit pays pétrolier d’Afrique centrale remonte à des travaux impayés réalisés entre 1983 et 1986. De près de 100 millions d’euros en 1992, le montant s’élève à 675 millions d’euros en 2013 pour atteindre aujourd’hui un milliard d’euros. Une créance qui équivaut à 17 % du budget de l’Etat congolais. De quoi faire vaciller le régime et gâcher le séjour américain de la première dame, Antoinette Sassou-Nguesso.

« Prête-noms et conseils de Sassou-Nguesso »

Jeudi 9 juin, alors qu’elle séjournait à l’hôtel Four Seasons de Washington, Mme Sassou-Nguesso, 73 ans, s’est vu signifier en main propre par un officier de la cour du district de Columbia une assignation à comparaître au cabinet d’avocats White & Case, défendant M. Hojeij. Ainsi l’épouse du chef de l’Etat, connue pour son train de vie fastueux, sera-t-elle contrainte de livrer des d’informations relatives aux sources de revenus et aux biens de sa famille aux Etats-Unis lors de sa convocation, le 27 juin, à 10 heures précises.

L’assignation détaille les documents escomptés : comptes bancaires, titres de propriété, sociétés détenues, avoirs et actifs, preuves et origines de dépenses en espèces, dettes et contrats liant le Congo à des partenaires étrangers. Et ce, pour la première dame et pour plusieurs autres membres du clan Sassou-Nguesso, dont certains occupent des fonctions officielles.

Cette fois, la première dame est priée de livrer tous les éléments dont elle dispose sur les avoirs et les activités du président, du fils de celui-ci, Denis Christel Sassou-Nguesso – issu d’un premier mariage. Egalement député, le quadragénaire est l’administrateur général de l’unique raffinerie du pays, la Coraf. Habitué des clubs de Miami, où il disposerait d’un vaste appartement, il aime aussi y louer des bateaux de luxe. Surnommé « Kiki le pétrolier », Denis Christel Sassou-Nguesso voit également certains de ses amis figurersur la liste, comme les traders pétroliers Lucien Ebata et Jean-Philippe Amvame Dong. Tous trois apparaissent dans les « Panama papers ».

Antoinette Sassou-Nguesso sera également interrogée sur certaines des filles du président, comme Claudia, chargée de la communication de la présidence, Judith Cendrine qui préside le comité de direction de l’Agence pour la promotion des investissements, et Julienne, soupçonnée d’orchestrer les affaires pétrolières du clan et elle aussi visée par l’enquête des « biens mal acquis ».

Sur la liste établie par le cabinet d’avocats de M. Hojeij sont aussi inscrits les noms du neveu du président et puissant chef des services de renseignement depuis quinze ans, Jean-Dominique Okemba, le ministre des grands travaux, Jean-Jacques Bouya, ou encore l’homme d’affaire français et ami proche du président, Jean-Yves Ollivier. En tout, 63 personnalités sont visées. « Que des gens connus pour avoir été des prête-noms ou des conseils de M. Sassou-Nguesso », explique-t-on dans l’entourage de M. Hojeij.

Six millions récupérés sur un milliard

Cette stratégie désormais plus agressive fait suite à un jugement rendu le 16 décembre 2015 par les autorités judiciaires américaines ordonnant à l’Etat congolais de lui livrer la liste de ses biens et actifs à l’étranger, en vue d’éventuelles saisies. Ce que n’a pas respecté Brazzaville. « Cette demande procède d’une ingérence qui n’appelle donc pas de réponse, explique Simone Bernard-Dupré, avocate de l’Etat congolais. Et je ne pense pas que Mme Sassou-Nguesso se rende à cette convocation, qui me semble particulièrement déplacée, s’agissant d’une première dame d’un pays souverain et indépendant. »

Antoinette Sassou-Nguesso peut toujours faire valoir son immunité diplomatique et contester cette assignation. Mais l’étau judiciaire américain se resserre encore un peu plus sur le clan Sassou-Nguesso qui apprécie pourtant les fastes de l’hôtellerie de New York et des manoirs de Miami.

« Nous n’avons jamais dérogé à notre conviction que nous devons protéger nos droits et, tout en cherchant une solution à l’amiable, nos équipes légales ont cherché les moyens qui nous permettraient de recouvrer le montant total de notre créance le plus rapidement possible, confient M. Grosso et M. Hojeij. La semaine dernière, elles ont franchi la dernière étape de ce processus. »

Le dossier Commisimpex empoisonne Denis Sassou-Nguesso, 72 ans, et son entourage, tout en menaçant l’économie du pays. D’autant que le Congo a déjà été condamné à deux reprises, en 2000 et en 2013, par la cour d’arbitrage de la Chambre de commerce internationale (CCI) de Paris. Des sentences arbitrales reconnues par la justice américaine.

Une saisie de 6 millions d’euros puisés dans les comptes en banque des autorités congolaises en France a déjà été permise par le tribunal de grande instance de Paris en juillet 2015 et en décembre 2015. De quoi grever le fonctionnement de l’ambassade du Congo à Paris, dont le crédit du compte à la Société générale a été saisi, sans pour autant être gelé, conformément au droit français. Pas suffisant pour M. Hojeij. Les experts qu’il a mandatés continuent méthodiquement leur traque aux biens et actifs du Congo à l’étranger.

Entre-temps, la justice congolaise a tenté d’inverser les rôles en déclarant en faillite Commisimpex en 2012. Et de lui attribuer une dette fiscale de 700 millions d’euros. Une décision rejetée par les tribunaux américains et français. « La liquidation orchestrée par la justice congolaise est grossièrement frauduleuse, tranche Jacques-Alexandre Genet, avocat français de Commisimpex. Faute de négociation possible, M. Hojeij a été contraint à mener ces actions judiciaires qui se prolongeront tant que sa dette n’aura pas été réglée. »

Toutefois, pour Me Simone Bernard-Dupré, c’est bien la République du Congo qui est créancière de 700 millions d’euros dus par la société de M. Hojeij et M. Grosso. « La liquidation de la société Commisimpex a été confirmée de façon définitive au Congo, mais aussi par la Cour commune de justice et d’arbitrage [CCJA, composée de 17 Etats africains, sous l’égide de l’ONU] le 29 février 2016 », veut justifier l’avocate.

Déstabiliser l’économie congolaise

Au Congo, pays d’Afrique centrale riche de son pétrole et de son bois, plus de la moitié des 4,7 millions d’habitants vit toujours avec moins d’un dollar par jour, selon la Banque mondiale. Après avoir fait modifier la Constitution pour se maintenir au pouvoir et réprimé ses opposants, Denis Sassou-Nguesso, qui cumule plus de trente-deux ans à la tête de l’Etat, a été réélu en mars dès le premier tour lors d’une élection contestée par la communauté internationale.

Denis Sassou-Nguesso gouverne entouré de son clan, régulièrement accusé par les organisations non gouvernementales de confisquer la richesse du pays et de détourner massivement des revenus du pétrole qui assurent 69 % des recettes publiques. Plusieurs membres du premier cercle du président pourraient être prochainement inquiétés par la justice française dans le cadre de l’affaire des « biens mal acquis », une enquête débutée en 2007 et diligentée par les magistrats Roger Le Loire et René Grouman. Mais cet autre front judiciaire entretenu par l’opiniâtre M. Hojeij menace clairement le budget de l’Etat congolais, miné par la chute des cours du pétrole et en baisse de 8 % en 2016. S’il parvenait à ses fins, M. Hojeij pourrait déstabiliser l’économie du pays et fragiliser encore un peu plus son ancien ami le président.

lemonde.fr

VIDEO/Euro 2016 : La France ,’les bleus “qualifiée pour les quarts de finale

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Entre la France, pays organisateur de l’Euro 2016, et l’Irlande, match comptant pour les huitièmes de finale de la compétition, les choses sont allées très vite avec un pénalty obtenu par les Irlandais après une minute et quarante secondes de jeu.

Paul Pogba accroche involontairement l’attaquant Shane Long. Robbie Brady se charge d’exécuter la sentence et prend à contre-pied le gardien de but français, Hugo Lloris.

À partir de là, les joueurs de Didier Deschamps se ruent sur leurs adversaires et leur imposent une domination dans tous les compartiments du jeu. Ils seront récompensés puisque l’attaquant français de l’Atletico de Madrid, Antoine Griemann, marque coup sur coup deux buts aux 58e et 61e minutes.

Idéalement lancé par Olivier Giroud, Griezmann qui allait seul aux buts est fauché à l’entrée de la surface de réparation par le défenseur central irlandais, Duffy, qui sera exclu. Qualifiée pour les quarts de finale, la France affrontera la semaine prochaine le vainqueur de Angleterre-Islande.

 

Auteur: Abdou Diawara

Surpris en flagant deli dans le lit, il est poursuivi nu dans la rue par le mari de la femme

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homme nu

Un homme a été filmé, le week end dernier, en train de poursuivre un autre dans la rue d’une cité de logements, à Londres. Et ce, après qu’il se soit rendu à l’appartement de sa petite amie et l’a surprend avec un autre homme dans son lit.

a été surpris tout nu, a pris la poudre d’escampette à travers la rue. Il avait comme seul instrument pour cacher ses parties intimes ses mains, tandis que le petit ami le poursuivait en tenant ses vêtements.

Le Cocu n’a pas été violent, quand il a rattrapé son ”rival”, il l’a juste poussé au sol avant de lui redonner ses vêtements. Et le mec par terre ne cessait de répéter au petit ami de la fille: “Elle a dit qu’elle était célibataire…” 

 

Auteur: Isaac marie – Web-News

Côte-d’Ivoire: Voici pourquoi Soro met la pression sur Ouattara

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soro et ouatara

Sorties du chef du Parlement: Guillaume Soro met la pression sur Ouattara

Les Ivoiriens ont dû constater, depuis près d’une semaine, la présence, dans les médias, du président de l’Assemblée nationale, Guillaume Kigbafory Soro.

D’abord, vendredi 17 juin, dans le journal français ”Le Monde”, ensuite le mardi 21 juin, sur Radio France internationale (Rfi). Le natif de Kofiplé ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. D’autres actions sont prévues. Sa sortie s’apparente à une sorte de couronnement de la campagne de communication menée par les nombreux mouvements de soutien acquis à sa cause.

Qu’est-ce qui motive ces actions ? Qu’y a-t-il pour que Soro entreprenne brusquement de communiquer ? La réponse à ces questions s’imagine aisément au regard du contexte politique dominé par la rédaction d’une nouvelle Constitution, avec la création d’un poste de vice-président auquel sera rattaché le dauphinat constitutionnel. En effet, le chef de l’État, Alassane Ouattara, dans sa volonté de doter la Côte d’Ivoire d’une nouvelle Constitution, a annoncé la création d’un poste de vice-président. Celui qui occupera ce poste, dans son entendement, sera de facto son dauphin constitutionnel. Le président de l’Assemblée nationale, à qui ce privilège échoit, deviendra un simple président d’institution. Il aura le même statut que le médiateur de la République, la grande chancellière, le président du Conseil économique et social… Le vice-président sera considéré comme le successeur légal du président de la République, si celui-ci termine son second mandat.

Depuis l’annonce du poste de vice-président, les supputations vont bon train. Dans les salons feutrés des gourous de la politique, on pronostique sur le successeur d’Alassane Ouattara. D’aucuns rêvent d’être à ce poste pour conduire la destinée de la Côte d’Ivoire pendant les prochaines années. La Lettre du continent, dans sa récente parution, a lâché un nom, celui d’Amadou Gon Coulibaly, comme le futur occupant du poste. Le bimensuel panafricain avait même révélé le réseau de celui qu’on nomme ”AGC”. Un secret a-t-il été trahi ? Difficile, pour l’instant, de l’affirmer. Même si au Palais présidentiel, la question n’est pas à l’ordre du jour, comme dans une compétition, le top départ a été donné. Et chaque athlète est lancé sur la piste. Guillaume Soro, au départ serein, est aujourd’hui confronté à l’équation AGC. Dans son camp, on n’envisage pas d’autre choix que lui. Tout autre choix serait considéré comme une trahison.

Séisme dans le ”Soroland”

Les révélations de la Lettre du continent avaient provoqué un séisme dans le Soroland. Les cyberactivistes dévoués à la cause de l’ex-chef de la rébellion n’ont pas manqué de ruer dans les brancards, s’attaquant durement parfois à Amadou Gon Coulibaly. Guillaume Soro lui-même ne serait pas prêt à céder, si d’aventure Ouattara lui préférait quelqu’un d’autre.

La rumeur de la création d’un parti politique pour l’adouber circule. Ses sorties doivent donc être interprétées comme celles d’une personnalité ”qui refuse de mourir”. Mieux, comme un appel du pied, un ”lobbying” auprès ”du boss”. Et les mots pour exprimer cette ”ambition” sont éloquents, comme ceux qu’il a utilisés dans son interview sur Rfi : « Je sais que j’ai des ressources pour avancer. J’ai pour moi, comme on dit à Abidjan, mon Cv (curriculum vitae). Et j’ai pour moi les amitiés et la confiance du président de la République, ce qui n’est pas rien ».

A propos de la présidentielle d’octobre 2020, le chef du Parlement ne fait plus de mystère sur ses intentions, quand bien même il tente de les diluer dans une volonté collective. « En Côte d’Ivoire, tout le monde pense à la présidentielle 2020. Mais en ce qui me concerne, je privilégierai l’ambition collective à l’ambition individuelle », fait-il savoir. Le fait que dans ses interviews, le patron des députés se présente comme un ”homme de mission” n’est pas un hasard. Soro veut laisser entendre que durant toute sa carrière politique, il n’a agi que conformément aux instructions de ses mandants. Une manière pour lui de dire que les tares dont on l’affuble ne sont pas de son seul fait. Cette phrase est aussi valable pour ses bons actes que ses mauvaises actions.

Quand, par exemple, le confrère de ”Le Monde”, tente de lui faire porter le chapeau de l’assassinat du sergent-chef Ibrahim Coulibaly dit IB et de Désiré Tagro, l’homme brandit le chiffon rouge de la menace : « J’étais à l’époque Premier ministre et ministre de la Défense, mais pas le chef suprême des armées (…) ». Soro s’inscrit donc dans la droite ligne des exécutants et non des concepteurs. Il estime qu’en ”bon soldat fidèle et loyal”, il a fait son devoir et que si le général devait penser à quelqu’un pour lui succéder, ça ne peut-être que lui, eu égard aux bons et loyaux services rendus. C’est une conception arithmétique de la politique, mais surtout une pression subtile qu’il met sur le chef de l’Etat qui, précise-t-il, l’honore de sa « confiance ». Une confiance que Soro caresse le secret espoir de voir traduite en acte en ce qui concerne le dauphinat au Palais d’Abidjan Plateau. Or, en la matière, la logique ne prime pas. Il y a des paramètres à prendre en compte. Et Guillaume Soro, qui n’est pas un novice, le sait.

Y. DOUMBIA

L’inter

Côte d’Ivoire: 7,5 millions disposent de comptes argent mobile contre 2,5 millions de comptes bancaires

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cfa cell phone

Digitalisation des paiements en Côte d’Ivoire: 7,5 millions de personnes disposent de comptes argent mobile
Le marché du mobile compte environ 7,5 millions de comptes argent mobile contre 2,5 millions de comptes bancaires

C’est ce qu’a indiqué la Gsma, l’association des opérateurs mobiles dans le monde, au cours d’un atelier organisé, le vendredi 17 juin 2016, à Abidjan sur : «La digitalisation des paiements gouvernementaux via l’argent mobile: Quelles opportunités en Cote d’Ivoire». Des chiffres que Bruno Nabagné Koné, ministre de l’Économie numérique et de la poste, a confirmés. « L’activité de paiement Mobile, auparavant inexistante, continue de croître de façon exponentielle. Le nombre d’abonnés utilisateurs de service du paiement mobile est d’environ 7 millions à ce jour, et il ne cesse de croître», a révélé le ministre Bruno Koné.

Aussi, a-t-il soutenu que le volume journalier des transactions enregistrées dans les réseaux mobiles de communication électronique, est passé, en l’espace de 3 ans, à près de 15 milliards de F Cfa par jour, principalement pour le paiement de factures (eau, électricité), le transfert d’argent entre particuliers, les achats en ligne d’airflow (crédits de consommation). Et , de plus en plus, le paiement de petits services, comme le passage du 3ème Pont… Aussi, a-t-il salué les responsables de cette organisation pour la tenue de ces assises.

Le ministre Koné a expliqué que l’organisation de cet atelier a été décidée en février, en marge du Mobile word congress 2016, à Barcelone en Espagne, où il a été demandé à la Côte d’Ivoire d’organiser une plateforme d’échanges sur la digitalisation des paiements gouvernementaux via le Mobile Money. Notons que cette association est représentée par 850 opérateurs de téléphonie mobile, à travers 218 pays.

J. BAIKEH

 linfodrome.com

Jermaine Jackson : sa femme demande le divorce/ce qu’elle a fait

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jermaine jakson

L’épouse de Jermaine Jackson demande le divorce. Le frère de Michael Jackson, 61 ans, s’apprête à divorcer pour la troisième fois comme l’a fait savoir le site TMZ qui précise qu’Halima Rashid a évoqué des “différends irréconciliables”pour se justifier en demandant au tribunal d’obtenir une pension alimentaire.

Le couple séparé depuis presque un an

Il semblerait que le couple ne soit plus ensemble depuis presque un an à la suite d’une violente altercation… malgré les apparences. Le 28 novembre 2015, la femme de 38 ans avait été arrêtée pour violences conjugales après avoir mordu la jambe de son mari. Halima Rashid n’était restée finalement que quelques heures en garde à vue avant d’être relâchée contre une caution de 50 000 euros. Pourtant, Jermaine Jackson avait sauvé les apparences en expliquant qu’il lui pardonnait son geste désespéré. “Ça fait onze ans que je suis avec Halima. Je l’aime toujours, ce sont des choses qui arrivent” assurait-il en décembre 2015 avant de continuer à s’afficher avec son épouse devant les photographes. Qui aurait crû qu’ils auraient divorcé quelques mois après?

Le couple qui semblait très uni n’avait pourtant pas eu d’enfants depuis leur rencontre en 2004 dans un Starbucks.


A peine libéré d’une prison au Sénegal, Paris ouvre une audience pénale sur les avoirs de Karim Wade

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karim wade

Karim Wade, le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade a été gracié par Macky Sall en fin de semaine dernière, après avoir purgé la moitié de sa peine. Karim Wade avait été condamné à six ans de prison et 210 millions d’euros d’amende pour enrichissement illicite. Aussitôt libre, l’ancien ministre d’Etat a pris la direction du Qatar. Les autorités sénégalaises insistent sur un point : «les sanctions financières et les procédures de recouvrement sont maintenues«. C’est dans ce cadre que s’ouvre ce lundi à Paris une audience pénale concernant les avoirs de Karim Wade.

L’audience se tient au Tribunal de grande instance de Paris. Elle concerne les avoirs en France de Karim Wade et de son ami, Bibo Bourgi, également concerné par la grâce présidentielle.

La procédure vise deux appartements parisiens, tous deux situés dans le 16e arrondissement, l’un appartenant à Karim Wade et l’autre à Bibo Bourgi.

Selon une source proche du dossier, le but de cette audience est de déterminer si l’arrêt de la Cour de répression de l’enrichissement illicite peut s’exécuter en France. En clair, il s’agit de savoir si les biens de Karim Wade et de Bibo Bourgi peuvent être saisis ou non, au profit des autorités sénégalaises.

Libération controversée

De leur côté, les conseils de Karim Wade n’ont pas souhaité s’exprimer depuis la grâce accordée à leur client. Une libération qui alimente bien des débats. Mais pour la présidence, le message est bien clair : pas question de transiger sur les intérêts civils. A ce titre, le ministre de la Justice avance la somme de 50 milliards de francs CFA déjà récupérés par l’Etat.

D’après les avocats de l’Etat sénégalais, sept appartements et des terrains ont ainsi déjà été saisis à Dakar. A cela s’ajoute la société aéroportuaire AHS, placée sous administration de l’Etat.
Outre la France, le gouvernement sénégalais a lancé des procédures afin de saisir des comptes gelés à Monaco et au Luxembourg.

Avec RFI

L’Onuci veut vendre ses voitures de travail avant de Partir de la Côte d’Ivoire

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Voiture Onuci

AVIS DE VENTE AUX ENCHÈRES DES VÉHICULES USAGÉS DE L’ONUCI ITB No. MITB16-200010
L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire, ONUCI en sigle, ayant son siège à Sebroko, Attecoubé, Abidjan, Côte d’Ivoire invite tous les tiers intéressés à l’exception des employés du système des Nations Unies à faire leurs soumissions pour la vente et liquidation des véhicules usagés “EN L’ETAT ET EN LEUR LIEU”.

AbidjanTVnews

 

Ly-Ramata, Ministre de l’Enseignement supérieur: Ses pairs ne veulent plus d’elle comme Présidente de l’Université de Cocody

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Ly Ramata

Par Anselme Blagnon

La Coordination nationale des enseignants et chercheurs du supérieur de Côte d’Ivoire (CNEC), principal syndicat des professeurs des universités publiques a exigé lundi le renouvellement des responsables de l’université de Cocody (Est d’Abidjan) dans un délai de deux semaines.

“La CNEC demande le renouvellement des responsables universitaires dans un délai de deux semaines à compter de ce jour”, a dit face à la presse son secrétaire général Johnson Kouassi, menaçant de “convoquer une assemblée générale si rien fait”.

Les enseignants “souhaitent une élection pour ce renouvellement et non une nomination du gouvernement”, a ajouté M. Kouassi selon qui “l’université traverse une léthargie jamais égalée en Côte d’Ivoire”.

Nommée en 2012 par le ministre de l’Enseignement supérieur d’alors, Ramata Ly-Bakayoko, l’actuelle présidente de l’université Félix Houphouët de Cocody a remplacé à ce poste le Pr Gilbert Aké N’Gbo, élu en 2010.

Le 12 janvier 2016, Mme Ly-Bakayoko, a été nommée ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique lors d’un remaniement ministériel.

“Le ministre ne peut pas à la fois gérer le ministère de l’Enseignement supérieur et l’université” qui sont “deux réalités différentes”, a indiqué le secrétaire général de la CNEC estimant que “d’autres personnes peuvent lui succéder”.

ABL
Alerte info/Connectionivoirienne.net

CNEC
COORDINATION NATIONALE DES ENSEIGNANTS DU SUPERIEUR ET DES CHERCHEURS DE CÔTE D’IVOIRE

Abidjan, le 23 juin 2016

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE DE LA CNEC À L’AMPHI B DU DISTRICT À l’UFHB LE JEUDI 23/06/2016

Sous la présidence du SG de la CNEC, le Professeur JOHNSON Kouassi Zamina, l’Assemblée Générale Extraordinaire de la CNEC a débattu de 14h35 à 16h45 de l’ordre du jour suivant :
1. Informations
2. Sécurité sur le campus de Cocody
3. Heures Complémentaires 2014-2015
4. Renouvellement des autorités des institutions universitaires
5. Divers

1. Informations

En débutant l’AGE, une minute de silence a été observé en hommage à l’étudiant Allaba Roland Bienvenu de Sciences Économiques percuté violemment le vendredi 17 juin 2016 à 6h15 par un cargo de la police en face du restaurant Bacongo à l’Université Félix Houphouët-Boigny. Les

1.1- Primes de recherches (PR)
Les collègues de l’INSAAC, de l’IPCI n’ont pas encore perçu leurs PR. Il leur a été demandé d’attendre la fin de l’AGE pour échanger avec le BEN afin de mettre en place une stratégie commune pour rentrer en possession de leur dû.

1.2- Orientation des bacheliers 2015 (Cas sociaux)
Plusieurs autorisations d’inscriptions officielles ont été affichées permettant aux cas sociaux de régulariser leur situation auprès de la scolarité. L’assemblée a été informée de ce que tous ceux qui sont concernés par les retards d’inscriptions officielles ainsi que ceux des cas ayant obtenu des orientations autres que celles demandées se signalent à la permanence de la CNEC (siège social).

1.3- Orientation d’étudiants à Bouaké refoulés
Alors qu’un accord a été pris d’accepter dans les différentes universités les choix d’orientation des cas sociaux, 21 étudiants ont été refoulés à l’UAO à Bouaké. Les raisons n’ayant pas été données, la Présidente de la Conférence des présidents et actuelle Ministre de l’ESRS a été informée de la situation afin qu’une solution idoine soit trouvée.

1.4- Opération 1 enseignant, 1 toit
Tout le monde est devenu sceptique aujourd’hui en ce qui concerne les opérations immobilières ; trop de risques encourus. Le DG d’une importante société immobilière chinoise a choisi 3 villes de 3 pays d’Afrique pour présenter les réalisations de son entreprise : le Mozambique, le Nigeria et la Côte d’Ivoire. C’est dans ce cadre que le SG s’est rendu à Pékin pour un séjour de 10 jours afin de se rendre compte des prouesses de ladite entreprise sur place. En Côte d’Ivoire, les enseignants et les magistrats sont les professions intéressées par ledit projet.

1.5- La régularisation des émoluments des promus au CAMES 2015
Malgré la constitution des dossiers en vue de la prise en compte dès août, la réunion de mise en route n’a pas pu se tenir. Elle a été reportée à une date ultérieure pour une question de calendrier des autorités.

1.6- Améliorations des rétributions au baccalauréat
Voici une décennie que la première amélioration des émoluments sous la férule du Professeur Traoré Flavien a été faite. Cela a provoqué un engouement qui a donné naissance à une forme de bisness non seulement de la part de certains agents de la DECO, mais également de certains dirigeants de nos UFR qui substituent les propositions de nom de Présidents et Vice-présidents de Jury par d’autres.
Par ailleurs, il est temps que dès l’an prochain, la CNEC rediscute du niveau des émoluments des Présidents et Vice-présidents de Jury du bac avec les autorités compétentes.

2. La problématique de la sécurité sur les campus

Pouvons-nous rester sans réagir face à la montée de la violence sur les campus notamment celui de Cocody ?
Concernant les affrontements entre étudiants (par syndicats interposés) d’une part et entre étudiants et policiers de l’autre sont légions et finissent souvent dans le sang :
– Les étudiants réunis en syndicat dictent leur loi sur l’espace universitaire et se montrent de plus en plus discourtois et menaçant à l’endroit de leurs maîtres (les enseignants) ;
– Les étudiants syndiqués procèdent à des regroupements dès que retentissent les sifflets sur les terrains vagues dans le but de procéder à des entrainements dans le style de ce qu’on observe dans les camps militaires ou dans les écoles de police et de gendarmerie ;
– Les étudiants s’affrontent dans le but de contrôler les cités universitaires (quota de chambres) ainsi que les terminus de la SOTRA. Ils procèdent à des prélèvement de taxes/impôts sur les petits commerces qui exercent sur le campus ;
Face au laxisme des autorités universitaires, le BEN a tenu une réunion et a sa petite idée sur la question. Cependant, pour ne pas enfreindre à nos principes de fonctionnement, il vient prendre la position de l’AG.
Sur cette question, l’AG a rappelé que :
– Les syndicats sont suspendus de leurs activités sur le campus par le conseil de l’université et ils ne sauraient avoir des souhaits encore moins dicter leur loi (« opération police dehors ») ni se rassembler sur l’espace universitaire.
C’est pourquoi la CNEC a décidé du maintien de la police sur le campus malgré les franchises universitaires avec de nouvelles recommandations :
– Protéger l’intégrité physique et morale des personnels enseignants, administratifs et techniques ainsi que les étudiants désireux d’accomplir leurs tâches quotidiennes dans le calme et la sérénité ;
– Repousser hors des cites universitaires toute force autres que celles légalement constituées ;
– Mettre aux arrêts les instigateurs aux désordres et à la violence ainsi que les collecteurs d’impôts non assermentés et leur remise à la justice ;
– Démanteler tous les QG des syndicats et leurs occupations par les forces de police.
Déjà dans la nuit du 6 au 7 avril dernier, il y a eu des affrontements avec des accusations de viols perpétrés par les agents de police après leur incursion en cités universitaires.
Les étudiants sont sur le campus pour avoir des diplômes et non pour régler des comptes ou se muer en affairistes. A ce titre, la présence sur le campus constitue un moindre mal face à la résurrection de la FESCI et à ses méthodes d’une autre époque.
Relativement à l’étudiant percuté violemment et qui a succombé suites suite à ses blessures, l’AG a regretté que :
– les vigiles laissent traverser le campus aux heures de pointe (embouteillage) ;
– les voies n’ont pas de trottoirs sur tout le campus alors qu’elles en disposaient avant la réhabilitation de sorte que les piétons se disputent les voies avec les automobilistes ;
– la réduction des parkings a généré le stationnement des voitures tout le long des voies de sorte à les rendre encore plus étroites
L’AG a décidé à ce niveau de protester en procédant à une conférence de presse assez rapidement pour prendre l’opinion publique nationale et internationale à témoins. Les jeunes gens agissent par procuration et sont le reflet de ce qui se passe dans la société. La CNEC refuse d’être complice de ce qui se passe sur le campus.

3. Les heures complémentaires 2014-2015
Deux situations déplorables ont été portées à l’attention de l’AG au niveau des HC
3.1- Taux prélevés sur les HC
Le mode opératoire est assez complexe. Les démarches entreprises depuis l’époque de Professeur Traoré Flavien n’ont jamais eu une suite favorable. La pratique est que les prélèvements se font sur les HC selon divers critères : Impôts sur le salaire (IS) ; Impôt Général sur Revenu (IGR) et la Contribution Nationale (CN)
C’est après ces ponctions que sont appliqués d’autres impôts variables selon la situation matrimoniale (exprimée en parts)
– 9,6 % pour les célibataires sans enfant (1 part). L’heure pour le rang A est à 7 572 francs alors que celle du Rang B à 5 532 francs.
– 7,5 % pour les mariés sans enfant ou les célibataires avec 1 enfant (2 parts ; pour l’homme, l’épouse représente une part comme le 1er enfant)
– pour chacun des autres enfants -0,5 % (après le 1er, les autres enfants représentent chacun une demie part)
Face à tous ces prélèvements, la CNEC a réaffirmé son désaccord et a décidé d’un seul prélèvement l’impôt sur le revenu comme l’ont suggéré les experts économiques présents à l’amphi B. Mais pour l’heure, les collègues devront signaler systématiquement leur situation matrimoniale au personnel afin d’éviter de se faire ponctionner inutilement et abusivement.

3.2- Informations sur le paiement des HC dans les différentes structures universitaires
– UPGC : le paiement est effectif
– UAO : le premier semestre est déjà payé et le second semestre en cours de paiement
– UJLoG : (HC 2013-2014 apurées) ; les documents comptables sont engagés
– UNA : les documents comptables sont engagés et le processus de paiement engagé
– UFHB : les taux d’imposition étant dénoncés par certains collègues, le processus de calcul des HC 2014-2015 a été suspendu à la demande de la CNEC.
Des discussions sont en cours pour définir un taux de prélèvement qui rencontre l’adhésion de toutes les parties (Direction des impôts, DAAF et DRH des structures universitaires et Syndicats). Le taux qui sera retenu fera l’objet d’une harmonisation au sein de toutes les structures de l’enseignement supérieur

3.3- La dévaluation du taux horaire des projets tutorés à l’EX-FAST
En Biosciences, dans le mois de mars 2016, le doyen n’a validé le projet tutoré qu’à 8h alors que la maquette le plaçait à 75h. Malgré les rencontres d’échanges, la situation n’a pas évolué. Les tractations se poursuivront jusqu’à la régularisation de la situation.

4. Renouvellement des autorités universitaires
C’est un point que le SG n’a pas souhaité que ce soit débattu en AG. En effet, ce sont les mêmes individus qui nous dirigent depuis presque deux décennies. Pendant ce temps, les universités, les centres de recherches ne fonctionnement selon aucune norme. Plusieurs parmi nos dirigeants sont à la retraite depuis plusieurs années (en criminologie, en sciences économiques, en communication, etc.). Des nominations sont faites mais les passations ne sont pas mises en application.
Certains poussent le toupet jusqu’à être les seuls à encadrer les étudiants (plus de 200 encadrements) voire à gérer les ressources des parcours de formation (Master Professsionnel).
La Ministre a expliqué le processus de nomination mis en œuvre par le Secrétaire du Gouvernement et les lenteurs engendrés. Mais sur la question, la CNEC veut mettre fin à la mauvaise gouvernance dans le milieu due à la sclérose des actuels tenants du pouvoir. Puisque les gouvernants ne veulent pas d’élection, la CNEC met en garde les autorités universitaires contre la mauvaise foi et compte bloquer le système dans un proche avenir si rien n’est fait dans le sens du management qualité de nos centres de recherches, nos instituts universitaires.
En outre, au Ministère des Sports et Loisirs pour l’équipement de l’INJS et la mise en place de parcours et profils de carrières pour les collègues chercheurs de cette structure de l’enseignement supérieur
Par ailleurs, en ce qui concerne l’Université Nangui Abrogoua en particulier, la nomination du deuxième vice-président a été suggérée par l’assemblée.

5. Divers
Deux points ont meublé ce dernier point à l’ordre du jour
5.1- Les primes de recherches de Juin 2016
La paperasse relative à la deuxième tranche des PR (juin 2016) est engagée. Le moment venu, le BEN ira chercher les moyens là où ils se trouvent comme d’habitude.

5.2- Les ressources de la CNEC
Le SG a longuement instruit l’AG de l’intérêt des cotisations dans le fonctionnement de la grosse machine que représente la CNEC. Il a fustigé le comportement des collègues qui font des calculs simplistes pour justifier le non paiement des cotisations exceptionnelles demandées par le BEN. Aujourd’hui, la trésorerie affiche 2 millions en caisse. Ce qui est insignifiant vu les projets en cours et les exigences que cela demande au niveau financier. Les 30 000 Fcfa obtenus au cours de la présente AG, la plus faible contribution depuis le congrès, en dit long sur les sacrifices que les collègues sont près à faire. C’est ce qui explique assurément le long silence syndical observé ces derniers temps.

5.3- La fréquentation du siège
Le SG a exhorté les syndiqués et les sympathisants à fréquenter leur siège et à ne pas attendre d’avoir des soucis professionnels pour rechercher le siège ou les membres du BEN. Cela devra de plus en plus être un reflexe que les uns et les autres fassent un tour à leur siège.

Pour le BEN de la CNEC

Le Secrétaire Général
Pr. JOHNSON Kouassi Zamina

Des secrétaires de sections du Pdci-Rda disent non à Paul Koffi Koffi aux Legislatives

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Paul-Koffi-Koffi-frci

 

Les 67 secrétaires de sections du Pdci-Rda à Bouaké ont réagi, le dimanche 26 juin à Bouaké lors d’un point de presse contre la désignation par consensus du ministre Paul Koffi Koffi et de trois autres candidats le samedi 25 juin au foyer Jeune Viateur pour représenter le Pdci-Rda aux élections législatives prochains.
« Nous disons non au choix du ministre Paul Koffi Koffi que le délégué communal, N’guessan Lambert veut nous imposer. À compter de ce jour, les secrétaires de sections à Bouaké que nous sommes, décidons de ne plus participer aux réunions convoquées et présidées par N’guessan Lambert à cause de son choix. À Bouaké, personne ne peut nous imposer un candidat. Surtout un candidat que nous ne connaissons pas. Le ministre Paul Koffi Koffi n’est pas de notre délégation communale. C’est le lieu d’interpeller le candidat Paul Koffi Koffi lui-même à la retenue, à la conscience et à la morale politique, mais surtout au bon sens. Il peut nous éviter un clash au sein du parti à Bouaké. Qu’il tire les leçons du passé», a dit Brou Duval, porte-parole des secrétaires de sections. Il a annoncé qu’une signature de pétition a lieu, dans laquelle, l’ensemble des secrétaires de sections protestent vigoureusement contre le choix des candidats par consensus comme l’a décidé le délégué départemental.

« Nous ne voulons pas de consensus, nous voulons que tous les candidats aillent aux élections primaires locales à Bouaké. Et de là, la base choisira par les urnes les candidats qui doivent nous représenter », a-t-il suggéré.

Dans sa déclaration, il a insisté pour dire que les secrétaires de sections rejettent catégoriquement la liste qui sera conduite par le ministre Paul Koffi Koffi, appelant les militants à soutenir massivement cette décision.

« L’incompétence du délégué N’Guessan Lambert à diriger les travaux du comité électoral nous emmène à une telle décision », soutient Brou Duval qui a invité le président du parti Henri Konan Bédié à suivre la situation du parti à Bouaké.

Dans l’après-midi, certains candidats malheureux avaient tenu une conférence de presse , dans laquelle ils ont aussi dénoncé le choix des candidats et le mode de désignation.

« Nous ne voulons plus de candidats parachutés comme cela a été fait le samedi 25 juin 2016 par le délégué Lambert N’guessan. Nous demandons que le comité électoral écoute la base. Car la décision du délégué communal risque de fragiliser le Pdci-Rda à Bouaké », a dit Yao Kouassi Guy Charles, candidat malheureux.

Aboubacar Al Syddick /L’IA à Bouaké

Côte d’Ivoire: Des “brouteurs” sur le dos de la Ministre Raymonde-Goudou-ce qui s’est passé

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raymonde goudou

La cybercriminalité prend de plus en plus de l’ampleur en Côte d’Ivoire. Malgré les moyens mis en place par le ministère de l’Intérieur à travers la plateforme de lutte contre la cybercriminalité (PLCC), certaines personnes s’évertuent à poursuivre cette infraction sans être inquiétés. La dernière en date est celle d’une personne qui se fait passer pour la Ministre de la Santé, Raymonde Goudou Coffie, pour arnaquer.

Nous ne savons pas si des individus ont piraté le compte Facebook de la ministre ivoirienne de la santé ou s’il s’agit d’une usurpation d’identité. Quoiqu’il en soit, des individus utilisent l’identité de la ministre Raymonde Goudou Coffie pour faire de l’aumône auprès des utilisateurs des réseaux sociaux.

A titre illustratif, nous vous publions la conversation que ces probables arnaqueurs ont eu avec l’une de leurs victimes.

 

SEnegal /Libération de Karim Wade: Le président Malick Sall montre le chemin à Ouattara

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macky sall en veste

Le président sénégalais, Malick Sall, a remis en liberté Karim Wade, le fils de son prédécesseur à la tête de l’Etat, Abdoulaye Wade.

Condamné à 6 ans d’emprisonnement suite à un procès pour enrichissement illicite, Karim a recouvré la liberté le vendredi 24 juin 2016, conformément à promesse faite, quelques jours plus tôt, par Malick Sall.

Cette libération du fils de l’ex-président sénégalais, intervenue plus tôt que prévue, sonne comme un geste de décrispation sociopolitique, dans ce pays où l’affaire Karim Wade était visiblement en train de pourrir le climat politique. En effet, depuis qu’il a été arrêté et jeté en prison après un procès pour enrichissement illicite, les partisans du Parti démocratique sénégalais (Pds) ne cessent de réclamer sa libération. Ils ne rataient aucune occasion de se faire bruyamment entendre, notamment durant toute la durée du procès.

Pour ne rien arranger, le père de Karim, Me Aboulaye Wade, a dû faire son come-back sur la scène politique pour prendre la tête de la bataille pour la libération de son fils ; alourdissant un peu plus l’atmosphère au pays de la Téranga. C’est pour désamorcer cette « bombe », qui menaçait de déstabiliser la fin de son mandat, que Macky Sall a ouvert les portes de la prison où Karim Wade purgeait sa peine.

Le faisant, le président sénégalais pose là un geste fort, qui ne fait pas que des heureux. Aussi l’ex-« ministre du ciel et de la terre » a-t-il été libéré sans bruit, presque en catimini. Direction : le Quatar. L’acte posé par Malick Sall devrait inspirer son homologue ivoirien, Alassane Ouattara. Il faut espérer qu’il imite l’exemple de son “collègue” en posant lui aussi un acte similaire, susceptible de booster le rapprochement avec le camp de l’ancien président Laurent Gbagbo.

Afin de décrisper le climat sociopolitique, il pourrait ouvrir les portes de la prison à des figures de proue de l’ancien régime, qui y croupissent pour une raison ou une autre. Des prisonniers de la trempe de Karim Wade, comme Assoa Adou, Hubert Oulaye, Lida Kouassi ou même Simone Gbagbo pourraient recouvrer la liberté. Un tel signal fort devrait soulager les cœurs encore chargés de nombre de partisans de l’ancien chef de l’Etat, aujourd’hui détenu à La Haye. Cela devrait contribuer, significativement, à briser le mur de défiance entre ceux-ci et les pro-Ouattara et partant consolider davantage la cohésion nationale. D’autant que des barons de l’ancien parti au pouvoir, le Front populaire ivoirien (Fpi), n’attendent que ce genre d’acte pour faire un pas sur le chemin de la réconciliation.

Certes, le besoin de réconciliation n’exclut pas l’impératif de justice, pour tenir compte des attentes des victimes, comme le veut la justice transitionnelle. Ce qui explique que le président Ouattara n’entend pas transiger sur la nécessité de traduire devant les tribunaux tous ceux qui sont soupçonnés d’avoir posé des actes répréhensibles durant la crise post-électorale. Comme pour leur faire payer ces exactions et autres crimes.

A l’instar de la peine infligée à Karim Wade, au terme d’un procès mouvementé. Il faut, toutefois, espérer qu’après que la justice aura joué sa partition, le chef de l’Etat entrera en scène. C’est en imitant l’exemple de son homologue sénégalais qu’il fera déplacer la montagne de méfiance qui se dresse aujourd’hui encore, entre lui et les partisans de Gbagbo. C’est par de tels sacrifices qu’il pourra gagner le défi de la réconciliation vraie.

Ouattara doit le faire, sans calcul politique, comme l’a fait Malick Sall, au risque de s’exposer à une redoutable candidature de Karim Wade à la prochaine élection présidentielle.

 

Assane NIADA

linfodrome.com

Chine: Une jeune fille béninoise accusée de trafic de drogue, risque la peine de mort

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aladja beninoise

L’information fait le tour des réseaux sociaux depuis la matinée de ce lundi 27 Juin. Une ressortissante béninoise connue sous le nom de Ciarath Aladja a été arrêtée le jeudi 23 Juin dernier en Chine. En cause, de la drogue a été retrouvée dans ses bagages, par la douane de l’aéroport. Même si la quantité de drogue est jugée assez faible, la jeune fille de 22 ans a été immédiatement conduite en prison. Pour sa défense  Ciarath Aladja dit ne pas savoir l’origine de cette quantité de drogue et ne pas pourvoir expliquer la présence dans ses effets.

Selon la rigueur de la loi chinoise, tout trafic de drogue est répréhensible d’une condamnation à mort. C’est donc la peine qu’encourt Ciarath Aladja qui est mère d’une fillette de 4 ans. Selon les informations en notre possession, les autorités béninoises ont été informées de la situation.  La jeune fille qui apparemment évolue dans le commerce de “mèches” et articles féminins avait annoncé sur sa propre page facebook un voyage vers la Chine.

                                                                                    Christ Boli


VIDEO-Cote d’Ivoire: MAN /Où sont passés les 3 milliards de fcfa du gouvernement

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Qui a volé les 3 milliards du bitumage de la Ville de Man?

ou sont passés les 3 milliards de fcfa qui auraient été débloqués par le gouvernement pour le butimage de la ville de Man? C’est la question que pose Tia André, le maire de la ville de Man.

Selon monsieur Tia André, des fonds destinés au butimage des rues de sa vile se seraient comme par enchantement volatilisés dans la nature de l’émergence en ouattarandie. «Des indiscrétions qui disent que les 3 milliards de Fcfa destinés au bitumage de Man auraient été décaissés. Mais nous ce que nous constatons c’est que nous n’avons pas encore de bitume à Man», a regretté le maire de de Man.

eburnienews

Procès Gbagbo et Blé Goudé du 27 Juin 2016 /Ce qu’il faut retenir du temoignage de Joël N’guessan

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joel n'guessan cpi

Procès du président Gbagbo: Premier mensonge de Joël N’guessan «le “ET” de la Constitution a été introduit quelques intants seulement avant le Référendum de 2000»

Le procès de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé a repris ce lundi 27 juin 2016. Lors de cette session, le témoin Joël N’guessan, porte-parole de RDR, a cru revenir sur l’adoption de la Constitution ivoirienne adoptée en 2000.

Dans sa déposition, Joël N’guessan, qui reconnaît pas avoir fait partie de la commission consultative de la rédaction de ladite Constitution, a pourtant fait savoir qu’il savait que le fameux “OU” aurait été remplacé subitement par le “ET” quelques temps seulement avant l’adoption. Un peu plus loin, monsieur Joël N’guessan a insinué que l’introduction du “ET” serait une initiative du camp Gbagbo, car dit-il le président Laurent Gbagbo aurait certifier que cette Constituion aurait été rédigée à l’effet d’éliminer Alassane Ouattara.

Là où Joël N’guessan tombe dans le mensonge avec cette insinuation opportuniste, c’est que le président Gbagbo faisait allusion à une phrase de l’article qui stipule que le candidat à la présidence de la république de Côte d’Ivoire ne doit pas s’être prévalu d’une nationalité étrangère. Ce qui était le cas de Ouattara.

La chose la plus surprenante dans l’insinuation de monsieur N’guessan c’est qu’il s’est gardé d’expliquer pourquoi monsieur Ouattara a appelé ses partisans à voter cette Constitution de 2000 qui, selon Joël N’guessan, aurait été rédigée contre lui.

Il reconnaît que les militants du RDR sont descendu dans les rues pour tanter de renverser les donnes. Mais Joël N’guessan maintient ne pas savoir qui a donné l’ordre à ces militants de descendre dans les rues. Il n’a même pas souvenance de la réaction de Alassane Ouattara suite à l’élection et l’investiture du président Gbagbo. Mais il revient sur son trou de mémoire lorsque le substitut du procureur Alexis Demerdjian lui a lu le rapport de Human Rights Watch.

Qu’à cela ne tienne, il faut reconnître à monsieur Joël N’guessan l’honnêteté d’avoir démenti les accusations du camp Ouattara selon lequelles le charnier de Yopougon serait l’oeuvre des pro-Gbagbo et que les victimes seraient des personnes d’ethnie du Nord de la Côte d’Ivoire. En effet, monsieur N’guessan a reconnu qu’aucun proces en Côte d’Ivoire n’a établi qui étaient les auteurs de ce charnier. Il a également été catégorique quant à l’origine ethnique des victimes. «Monsieur Le procureur, en toute sincérité, j’ignore sur la base de quelle considération on peut déterminer l’appartenance ethnique ou religieuse de personnes dont les corps sans vie ont été retrouvés a cet endroit precis», a-t-il précisé.

Procès Gbagbo et Blé Goudé du 27 Juin 2016 (1èrePartie)

Procès Gbagbo et Blé Goudé du 27 Juin 2016 (2èmePartie)

Procès Gbagbo et Blé Goudé du 27 Juin 2016 (3èmePartie)

L’Hommage de Gbagbo à son ami Boga Doudou alias “Djimy la Rigueur”

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gbagb lau

Boga Doudou. On l’appelait dans notre petit groupe, ’’ Djimy la Rigueur’’. Parce que quand tu as tort, Djimy disait que tu as tort. Et, quand tu as raison, il disait que tu as raison. Je l’ai rencontré en 1974. Il faisait partie de la même cellule qui comprenait, outre moi-même, Henry-Philippe Dacoury(Ndlr : alors Gouverneur de la BCEAO), et lui, Boga Doudou.

Un soir, on n’est venu nous annoncer que la Police avait arrêté Boga Doudou, dans sa chambre d’étudiant. Qu’avait-il fait ? Nous n’en savions rien. Mais toujours est-il que nous nous sommes mobilisés. Nous sommes allés dormir à la Police. Nous avons dit que tant qu’on ne nous rendait pas Boga, nous ne rentrions pas chez nous. Voir des Enseignants venir réclamer la libération d’un étudiant était quand même quelque chose d’inhabituel ! Les Policiers de Cocody nous l’ont donc rendu.

Il était courageux, brave. On disait toujours de lui que le mot peur, il l’avait découvert dans le dictionnaire. Parce qu’il ne savait pas ce que cela voulait dire.

À la fin des élections de 2000 – et, c’est une confidence amicale que je voudrais vous faire – je discutais avec mes filles qui avaient 17 et 18 ans, à l’époque. Je leur ai demandé : « A votre avis, quand je vais être élu, qui doit être Ministre de l’Intérieur ? » Les plus jeunes m’ont répondu en disant : « Papa, vu l’ensemble de ses qualités, nous pensons que la personne idéale pour ce poste, est Tonton Boga». Ceci, pour vous dire que, même les enfants, à la maison, chez moi, savaient qu’il devait être Ministre de l’Intérieur. Il était fait pour la profession.

Quelques Magistrats sont venus me le réclamer pour être leur Ministre de tutelle. Mais, finalement, la plus grande partie des gens le voulaient comme Ministre de l’Intérieur. Parce qu’il avait des idées très claires concernant l’Administration Territoriale, la Décentralisation, la Sécurité et la Police. Que son nom soit “donné” à la CRS 3 qui est installée chez lui, dans sa région, est un bel hommage à l’homme. Et, cela ne peut que me réjouir. Je ne pouvais pas ne pas être là. Cet homme, dont le nom est désormais porté par cette toute nouvelle Compagnie, était de valeur. Il a fait une thèse recommandée à la publication par les Universités françaises.

Après que Boga Doudou a été nommé Ministre de l’Intérieur, sa première reforme, n’a pas été celle de l’Administration. Sa première reforme a été celle de la Police. Il m’a dit : « Président, si nous voulons que la Police soit efficace, faisons une nouvelle loi, pour elle, et augmentons les traitements salariaux des Fonctionnaires de la Police ». On a fait cette réforme. Et, le projet de loi que nous avons adopté, qui est arrivé par la suite sur la table des Députés à l’Assemblée Nationale, à été voté à l’unanimité. Parce que Ouassénan Koné (ex-Ministre de la Sécurité) a dit ceci, à cette occasion : « quand j’étais Ministre de la Sécurité, j’ai longtemps voulu faire voter cette loi. Mais, à l’époque, j’ai été désavoué. Je pense que c’est cette loi qu’il faut. Car, cette loi que je voulais faire voter, à l’époque. Maintenant qu’elle arrive, ici, je demande à tout le PDCI (Ndlr : ex-Parti au pouvoir, aujourd’hui, dans l’opposition) de voter ce projet de loi ».

La loi a été votée à l’unanimité des Députés de l’Assemblée Nationale. Tel est cet homme. Il était mon Président de Groupe parlementaire, quand j’étais Député. Il avait l’air très dur. Mais, Boga Doudou négociait toujours. C’est lui qui faisait toutes les négociations. Il négociait à l’extérieur avec tout le monde. Et, quand, pour ma candidature en 2000, j’ai eu un appel de Lybie … c’est avec Boga que j’y suis allé. Lors de la rencontre, je n’ai pas parlé. C’est lui qui a parlé

eburnienews

Shekina : Les causes de la mort du chantre Alden Angui /une autre perte pour la musique ivoirienne

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Alden Angui

Alden Angui, membre du groupe gospel Shékina a rendu l’âme le lundi 27 juin dernier sur le chemin de l’hôpital. Selon des proches du défunt, il aurait succombé suite à une crise de diabète. « Il avait d’abord été victime d’un malaise dans la nuit du dimanche à lundi », confie cette source. Daniel Nessemon

abidjanshow

CPI: Gbagbo accuse Joel N’guessan de menteur dans cette video à 1H08mn

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Une scène insolite s’est produite lors du deuxième jour de témoignage du ministre Joël N’guessan dans le cadre du procès de Laurent Gbagbo à la CPI. En effet, l’ex-président ivoirien a désavoué en pleine le témoin Joël N’guessan.

« Le général Banny. Je me suis personnellement rendu à son domicile parce qu’il m’a appelé – j’ai des liens de parenté avec lui – pour me faire constater que toutes ses médailles et ses grandes décorations qu’il a eues à travers le monde en tant que Général ont été pillées. C’est là qu’il va me donner une information capitale. Il me dit ceci, ‘’j’ai appelé le Président Gbagbo pour lui demander de m’envoyer du secours pour que l’on ne pille pas ma maison’’. Le Président Gbagbo lui aurait rétorqué ceci. ‘’Mon général, trouvez des personnes pour assurer votre sécurité et vous m’en verrez votre facture », a affirmé le ministre Joël N’guessan devant la Cour Pénal internationale.

Devant ces propos, le concerné a réagi en faisant un geste qui en dit long. (voir la vidéo ci-dessous)

Selon nos observations, il apparaît évident que l’ex-président ivoirien désavoue le témoignage du porte-parole du RDR.

Qu’en est-il de la vérité ? Seul le Général Banny pourra clarifier la situation.

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