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Voici les 10 signes que le cancer se développe dans votre corps

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Le cancer est un véritable fléau qui se développe de plus en plus à notre époque et qu’il est souvent difficile de déceler sans examens et analyses ciblés. Plus il est diagnostiqué tôt et plus vous avez de chances de le combattre. Sachez néanmoins qu’il est possible de déchiffrer certains symptômes facilement repérables et souvent méconnus qui vous pousseront à consulter un médecin rapidement.

Le cancer se caractérise par le développement incontrôlé de cellules qui attaquent l’organisme. Ces cellules cancéreuses donnent naissance à des tumeurs malignes plus ou moins grosses qui circulent librement en détruisant les organes qui les entourent. Ces tumeurs peuvent se multiplier et devenir mortelles. Avant d’en arriver là, il est essentiel d’être à l’écoute de son corps, d’observer attentivement les moindres symptômes qui pourraient apparaître et de réagir rapidement s’ils persistent.

Voici une liste non exhaustive de ces symptômes.

Une sensation d’essoufflement

Si vous vous sentez constamment essoufflé(e) sans avoir fourni d’efforts particuliers, il est alors possible que vous soyez atteint(e) d’un cancer du poumon. En effet, les sifflements et l’essoufflement sont des signes qui doivent vous pousser à tirer la sonnette d’alarme et à consulter un médecin pour ne pas prendre de risques et espérer que ce soit uniquement de l’asthme.

Une toux chronique

Si vous souffrez d’une toux chronique, d’une bronchite récurrente et de douleurs thoraciques, ces symptômes peuvent être provoqués par plusieurs types de cancers tels que le cancer du poumon et certaines maladies du sang du type leucémie ou maladie d’Hodgkin. Si ces symptômes apparaissent constamment durant une certaine période, consultez immédiatement un médecin.

Des infections à répétition

Si vous souffrez fréquemment d’infections, cela peut être le signe d’une leucémie car l’un des effets de cette maladie est la production insuffisante de globules blancs dont la quantité réduite ne permet pas de lutter contre l’infection. La majeure partie des adultes pour lesquels une leucémie est diagnostiquée, sont ceux qui souffrent souvent de fièvre et de symptômes identiques à ceux de la grippe.

Des difficultés à déglutir

Si vous avez du mal à avaler durant une certaine période et que ça ne passe pas, ne le prenez pas à la légère en pensant à un simple mal de gorge. Consultez un médecin car ces symptômes peuvent être associés au cancer de l’œsophage  ou au cancer du poumon.

Des ganglions sous l’aisselle ou l’aine

Les ganglions font partie du système lymphatique et sont répartis dans différentes parties du corps. Ces derniers peuvent s’enfler et se gonfler suite à une inflammation ou une tumeur. Si un ganglion indolore apparaît sous l’aisselle cela est souvent relié à un cancer du sein, s’il apparaît sur l’aine ou au niveau du cou cela peut faire référence à une maladie du sang.

Apparition de bleus

Si vous remarquez l’apparition d’ecchymoses sur différentes parties de votre corps, cela peut indiquer la perturbation des fonctions des globules rouges, liées à la leucémie. Il ne faut surtout pas ignorer ces symptômes.

Des douleurs abdominales

Pour les femmes qui souffrent de fortes douleurs à répétition au niveau du bas ventre, il faut consulter un gynécologue rapidement car les douleurs pelviennes sont souvent liées à la présence de kystes dans les ovaires.

Des saignements au niveau du rectum

Si vous remarquez un saignement au niveau de votre rectum ou la présence de sang dans vos selles de manière récurrente, contactez immédiatement votre médecin car vous souffrez peut-être d’un cancer du côlon.

Une perte soudaine de poids

Personne n’est contre le fait de perdre quelques kilos pour avoir une belle silhouette, cependant si vous remarquez une perte importante et qu’elle est indépendante de votre volonté car vous n’avez absolument pas changé vos habitudes alimentaires, allez voir votre médecin. La perte de poids est un symptôme du cancer du côlon car cette affection réduit l’appétit et empêche l’organisme de se débarrasser efficacement des « déchets » et des toxines.

Des ongles qui changent de couleur

L’apparition de lignes ou de points noirs sur vos ongles peut être liée à un cancer de la peau. Des ongles trop blancs quant à eux indiquent un dysfonctionnement du foie.
Observez attentivement vos ongles et si vous remarquez un quelconque changement ou un de ces symptômes consultez sans plus attendre.


USA/ Voici Comment le roi Mohammed VI a été humilié par le président américain Donald Trump

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Le roi du Maroc vient de subir une humiliation en Floride, où il fait le pied de grue depuis plusieurs jours dans l’espoir d’être reçu par le président Donald Trump, ne serait-ce que de manière informelle et pour seulement quelques minutes. Le successeur de Barack Obama à la Maison-Blanche a non seulement refusé de lui consacrer un peu de son temps, mais il a, semble-t-il aussi, fait comprendre à son entourage qu’il n’avait pas l’intention de le faire dans un proche avenir. D’ailleurs, aucune activité publique ou politique n’était prévue ce matin dans son agenda. Le président Trump prévoit de regagner Washington en début de soirée.

Mohammed VI, qui comptait sur ses «amis» israéliens et saoudiens pour siroter tranquillement un jus de fruits avec Donald Trump à l’ombre d’un palmier, est actuellement pris de panique à l’idée de rentrer bredouille à Rabat, alors que ses services ont fait circuler dans de nombreuses rédactions de journaux européens et africains (dont celle de Jeune Afrique, son sous-traitant médiatique privilégié) qu’il allait être le premier chef d’Etat africain à être reçu par le président Trump.

Connu pour être totalement inféodé au Makhzen, le magazine Jeune Afrique s’était même hasardé la semaine dernière à dire avec certitude que Mohammed VI allait être l’hôte d’un déjeuner offert par le président américain, le dimanche 16 avril. «Le roi du Maroc sera ainsi le deuxième chef d’Etat africain à rencontrer Donald Trump, après le président égyptien Abdelfattah Al-Sissi», avait, par ailleurs, écrit avec assurance Jeune Afrique. Pour lui donner toutes les chances d’échanger quelques mots avec le président américain, le roi Salman ben Abdelaziz Al-Saoud d’Arabie Saoudite lui avait donné un message des monarchies du Golfe à lui transmettre. Ça n’a pas marché. Du moins pas au moment où nous mettons en ligne cet article. Le roi du Maroc se trouve depuis mercredi à Miami, où il a posé ses valises, après un séjour d’une semaine à Cuba.

Le camouflet que vient de recevoir Mohammed VI intervient à un moment où le dossier du conflit du Sahara Occidental est de retour dans l’agenda du Conseil de sécurité. En voulant à tout prix rencontrer Donald Trump, Mohammed VI voulait certainement essayer d’infléchir la position des Etats-Unis sur la question et de connaître les intentions de la nouvelle Administration américaine à ce sujet. Le Département d’Etat sous John Kerry a donné à plusieurs reprises des sueurs froides au Makhzen, surtout lorsqu’il a soutenu la nécessité de doter la Minurso d’un mécanisme de surveillance et de protection des droits de l’Homme dans les territoires sahraouis occupés.

Au-delà du fait que le Maroc ne pèse rien dans le jeu géopolitique mondial ou même africain, il est toutefois à parier qu’en demandant à ses services d’éconduire le roi du Maroc, Donald Trump a dû se rappeler que le Makhzen, dont les recettes proviennent à 25% de la vente de la drogue, a soutenu financièrement sa rivale, Hillary Clinton, lors de la présidentielle de novembre dernier. C’est que le nouveau président américain est connu pour être revanchard. Et donc, pour lui, ça devait être une raison de plus pour ne pas faire confiance à Mohammed VI, surtout que tout le monde sait qu’il a plus d’un fil à la patte.

Khider Cherif

algeriepatriotique

Côte d’Ivoire/ Les fonctionnaires ivoiriens reconduisent leur grève/les raisons

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A l’issue de la grève d’avertissement lancée du 11 au 15 avril 2017, les fonctionnaires ont reconduit le mot d’ordre de grève, lors de l’assemblée générale extraordinaire, le samedi 15 avril 2017, à Adjamé.

Les fonctionnaires réunis au sein de la Coordination des syndicats de la fonction publique (COSYFOP) ont tenue une assemblée générale extraordinaire au cours de laquelle ils ont reconduit le mot d’ordre de grève et adopté de nouvelles résolutions.

Durant la grève d’avertissement lancée du 11 au 15 avril 2017, les fonctionnaires ont eu des négociations avec le gouvernement.

Mais l’assemblée générale a noté l’absence totale de solutions concrètes proposées à la COSYFOP.

Elle a par conséquent réaffirmé son opposition à tout accord de trêve sociale conclue de façon unilatérale, sans solutions concrètes des préoccupations majeures.

Relativement à la conduite à tenir, l’assemblée générale a décidé de reconduire le mot d’ordre de grève à compter du lundi 24 avril 2017 et d’intensifier la sensibilisation et la mobilisation massive des fonctionnaires et agents de l’Etat, dans toutes les administrations et les établissements publics des secteurs de la santé et de l’éducation-formation. De rendre la grève totale, devant toute arrestation ou sanction de leaders et de militants, du fait de la grève légale et légitime etc…

Par ailleurs, pour le succès retentissant de la grève à venir et l’obtention de résultats concrets et satisfaisants, l’assemblée générale a recommandé, une semaine de tournée d’information, de sensibilisation et de remobilisation des camarades dans toutes les administrations et dans les sections des syndicats engagés dans la COSYFOP, la large diffusion et permanente des documents et informations expresses sur les motifs et la conduite de la grève, la collaboration stratégique avec d’autres syndicats en grève, dans un objectif de synergie d’action dynamique sur l’Employeur. L’interpellation de l’ensemble des fonctionnaires et agents de l’Etat, à la prise de conscience sur la précarité des récents acquis, la menace de la trêve sociale sur l’avenir des travailleurs du secteur public etc…

Mélèdje Tresore (stg)

linfodrome

Magic System, Goudé brise le silence et dit tout : « Il y a des moments où c’est chaud entre A’Salfo et nous »

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« Oui, j’ai eu l’envie de partir du groupe »

Membre du groupe Magic System, Goudé n’a pas fait la langue de bois. Le chanteur a fait des révélations sur ses relations avec A’Salfo et les autres membres du groupe Magic System.

Et oui, il fut un moment où à la suite d’une brouille, Goudé a voulu partir du groupe. Le chanteur qui n’appréciait pas certaines façons de faire a manifesté son envie de quitter le groupe avant de se ressaisir. Lesdites révélations ont été faites au magazine Allo Police par le chanteur au détour d’une interview.

 

« Oui, j’ai eu l’envie de partir du groupe », a-t-il confié au magazine. Situant le contexte de cette volonté de départ du groupe, Goudé apprend que cela est arrivé à la suite d’une brouille. « Il peut arriver des moments où, suite à une brouille, tu as envie d’aller chercher ailleurs, de faire carrière solo », a précisé le chanteur.

Même si par le passé, l’idée de partir du groupe l’animait, Goudé estime qu’avec beaucoup plus de recul, cette option est loin d’être envisageable en ces temps. « L’idée passe vite. Aujourd’hui, je n’envisage même pas cette éventualité. Je suis un Magicien et je le demeurerai », a-t-il soutenu.

 

À propos de ses relations avec A’Salfo, lead vocal du groupe, Goudé ne manque pas de reconnaître qu’il y a des moments où la tension monte vraiment. Et pour lui, cela est tout à fait normal. Parce que pour lui, les hauts et les bas font partie des relations humaines. « Dans toute relation humaine, il y a des hauts et des bas », a-t-il mentionné.

À l’en croire, ils ne manquent pas de faire souvent des remontrances à A’Salfo quand ils ne sont pas contents de lui. Selon le chanteur, il peut arriver des moments où à la suite d’échauffourées ou prises de becs, ils se boudent avant de se reparler. « Il y a des moments où c’est chaud entre A’Salfo et nous », a-t-il confié à Allo Police.

À quelques jours du Femua 10, Goudé se veut rassurant quant à la qualité du festival de cette édition. Il a par ailleurs appelé à une mobilisation massive à cette cause pour la réussite du Femua 10.

Philip KLA

linfodrome

Côte d’Ivoire /Congrès annoncé du Rdr: Ce qui n’a jamais été dit sur ….

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Côte d’Ivoire /Congrès annoncé du Rdr: Ce qui n’a jamais été dit sur les probables successeurs d’Amadou Soumahoro

La date du 3ème congrès ordinaire du Rassemblement des républicains (Rdr) n’est pas encore connue. Pour l’heure, on sait qu’en prélude à ces assises, des pré-congrès régionaux auront lieu du 27 au 30 avril 2017.

Par ailleurs, il est, de plus en plus, question du retour officiel d’Alassane Ouattara à la tête du parti. Bien de cadres du Rdr en parlent. Publiquement. La Constitution de la 3ème République, contrairement à la précédente, ne dresse pas d’incompatibilité entre la fonction de chef de l’Etat et celle de président de parti. Rien n’empêche donc le numéro 1 ivoirien de reprendre, officiellement, sa « chose »…

Quid alors du prochain Secrétariat général du parti ? A ce niveau, aucun cadre n’a, pour l’instant, clairement affiché ses ambitions par une déclaration de candidature. Toutefois, des noms de cadres reviennent, de façon récurrente, qui pourraient succéder, lors de ce 3ème congrès ordinaire, à l’actuel Secrétaire général par intérim, Amadou Soumahoro. 

Des militants et cadres du « parti à la case », réagissant, au téléphone, pendant le week-end pascal, à un article paru dans notre publication du jeudi 13 avril 2017 sur le sujet, ont donné d’autres précisions sur les probables successeurs d’Amadou Soumahoro dit « Tchomba » qui pourrait être appelé, a-t-on appris, à un autre poste de responsabilité. En plus des deux noms (Kafana Koné et Cissé Bacongo) évoqués dans notre papier titré : « Prochain congrès du Rdr/ La bataille du Secrétariat général a commencé/ Ceux qui sont pressentis pour occuper le poste », nos interlocuteurs ont cité aussi Adama Bictogo. 

Dans les conversations, nous avons amené nos sources à aborder, outre les qualités des probables futurs Secrétaires généraux du Rdr, leurs défauts ou handicaps. 

Détails…

Gilbert Kafana Koné est présenté comme un cadre qui pourrait occuper ce poste hautement stratégique. Ancien ministre d’État, ministre de l’Emploi, des affaires sociales et de la solidarité, actuel député-maire et président de l’Union des villes et communes de Côte d’Ivoire (Uvicoci), on met en avant sa fidélité et le combat politique qu’il représente et qui lui vaut le surnom de « Mandela » chez les républicains ivoiriens. 

Cependant, des cadres et militants le rendent directement responsable, en sa qualité de Secrétaire général adjoint (Sga) chargé de l’organisation, du « désordre » qui prévaudrait au sein du parti comme l’attesterait, entre autres cas, l’existence de deux sièges du Rdr à Bondoukou. On trouve aussi qu’il est d’une « extrême rigidité dans sa manière de gérer les rapports avec les cadres et les militants ». 

On dit de lui qu’il ne respecte pas les statuts et règlement intérieur du parti. Et qu’il n’a pas le sens de la contradiction ou du débat contradictoire. 

En plus de Gilbert Kafana Koné, le nom de l’ex-ministre de l’Intégration africaine, Adama Bictogo, est revenu au cours de nos échanges. 

La question qui divise…

Appelé affectueusement le « diamant noir », Adama Bictogo est le Président directeur général (Pdg) du groupe Snedai. Secrétaire général adjoint (Sga) du Rdr chargé des questions et mouvements politiques, et Président du comité d’organisation (Pco) des pré-congrès du parti d’Alassane Ouattara, l’actuel député d’Agboville commune est présenté comme un cadre dynamique et généreux. 

Autre atout majeur : sa proximité avec le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly. Mais de l’avis de certains militants et cadres, la gestion de ses entreprises ne lui permettra pas de consacrer le temps nécessaire à la direction efficace du parti dans la perspective des enjeux de 2020.

Par ailleurs, on lui reproche « un certain équilibrisme » entre le Rdr et les régimes qui se sont succédé avant l’arrivée d’Alassane Ouattara au pouvoir d’Etat. Ainsi, on rappelle sa présence auprès de feu le général Guéï et ses rapports étroits avec Laurent Gbagbo et feu Désiré Tagro quand ils étaient au pouvoir. 

Outre ces deux cadres, le nom de l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique puis de la Fonction publique et de la réforme administrative, Cissé Ibrahim Bacongo (CIB), a été cité plusieurs fois par nos interlocuteurs. Directeur de cabinet de feu Djéni Kobenan, Directeur de cabinet adjoint d’Alassane Ouattara dans l’opposition, Porte-parole du Rdr dans les moments de braise, de nombreux militants de base et cadres du Rdr disent le soutenir. 

Ils trouvent cet universitaire généreux, dynamique et courageux. L’actuel député de Koumassi est présenté par ceux avec qui nous avons échangé, comme celui qui peut porter la contradiction à  n’importe quel adversaire du Rdr. « Il a le verbe haut pour porter haut la voix du Rdr. Son choix sera judicieux comme Secrétaire général dans le contexte dans lequel, nous nous trouvons », soutient un « éléphant » du Rdr. « Mais, il traîne comme un boulet, son indépendance d’esprit qui pourrait être un handicap majeur si la haute direction du parti a besoin d’un homme docile », fait savoir un Secrétaire départemental du Rdr. 

Pour sûr, le choix d’Alassane Ouattara, véritable chef du Rdr, sera déterminant dans la désignation du prochain Secrétaire général (Sg) de son parti. Sera-t-il nommé comme cela a toujours été le cas jusqu’à maintenant ou élu au même titre que son président ? La question continue de diviser au sein de « la case ». Certains souhaitent que le Sg continue d’être nommé par le président du parti. D’autres veulent, au contraire, qu’il soit élu. En tous cas, les deux camps opposés ne manquent pas d’arguments.

linfodrome

France« Offrir un passeport français à de vieux tirailleurs sénégalais est un geste de terrible condescendance »

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Notre chroniqueur dénonce la naturalisation concédée par François Hollande à une poignée d’hommes qui n’ont jamais choisi d’être colonisés.

La naturalisation, samedi 15 avril, de vingt-huit « tirailleurs sénégalais » afin de leur permettre d’avoir une fin de vie plus décente est un triste retour en arrière pour nos pays dans leur entreprise de décolonisation définitive. Après des décennies de diverses revendications, plaintes, pétitions, la France accorde enfin sa « reconnaissance » à une poignée de survivants africains de guerres auxquelles ils ne comprenaient rien et dans lesquelles, souvent, ils ne se sont pas engagés volontairement.

En naturalisant ces anciens combattants, François Hollande évoque leur retour dans la « nation française ». Faux. La France n’a jamais été la nation de ces hommes, elle s’est imposée à eux. Ces messieurs représentent pour notre génération le visage de ce que furent plusieurs siècles de négation de la dignité de l’homme africain par l’inique système de la colonisation, dont le caractère ou non de crime contre l’humanité a encore récemment fait polémique. Le travail de mémoire de la France est de faire face à ses propres démons en assumant enfin sa responsabilité sur tous les crimes commis, comme celui, justement, du massacre de tirailleurs démobilisés à Thiaroye, dans la banlieue de Dakar, en 1944.

Ce décret est une maigre pitance, une condescendance terrible de mépris pour une poignée de vieillards seuls et fragiles. François Hollande, qui a violé sa parole sur le vote des étrangers avant de promouvoir la déchéance de nationalité durant son mandat, vient instrumentaliser la misère de pauvres personnes âgées en guise de baroud d’honneur.

Une honte pour la France et pour l’Afrique

Cette naturalisation n’honore personne : ni la France qui s’en vante, ni les Africains qui s’en félicitent comme la réparation d’une vieille injustice.

La France n’a pas à offrir son passeport comme récompense à de vieux étrangers pris en otages sur son sol puisqu’un retour au pays leur ferait perdre de facto leur maigre pension. La France a mieux à accorder à ces gens : justice et dignité. Un document d’identité n’est pas une simple attestation de reconnaissance ni un certificat de bonne conduite, mais il est l’inscription pleine et entière dans l’histoire d’un pays et dans son destin. On ne devient pas Sénégalais ou Français pour arrondir ses fins de mois.

« On ne devient pas Sénégalais ou Français pour arrondir ses fins de mois »
Voilà pour la France. Pour nous autres Africains, l’indépendance ne consiste pas seulement à parader chaque année en chantant les gloires du « pays acquis », de la nation et de la patrie. Elle doit stimuler l’orgueil national et permettre l’exercice complet de la souveraineté.

Ces « tirailleurs sénégalais » ne sont pas seulement l’affaire de l’ancienne puissance coloniale, ils sont aussi la nôtre ; et nos Etats ont l’obligation de ne pas se calfeutrer dans l’irresponsabilité en se murant derrière l’excuse coloniale. Etre indépendant, c’est aussi se donner les moyens de faire vivre décemment ceux dont on s’honore. De surcroît, dans chaque débat entre Africains, nous aimons vanter ces « braves tirailleurs sénégalais qui ont libéré la France » en oubliant bien souvent qu’ils ont aussi aidé le général Alfred Dodds à vaincre Béhanzin, le roi du Dahomey, et à piller ses trésors.

Je suis convaincu que Ndongo Dieng, Alioune Mbodji et tous leurs frères d’armes seraient mieux traités chez eux, auprès de la chaleur de leurs familles, dans l’affection et la vénération qu’inspire le privilège de l’âge en Afrique. Vivre dans des foyers vétustes et peu accueillants, à la merci d’une instrumentalisation politique, n’a rien de gai.

Mais hélas, il faut reconnaître qu’eux-mêmes ne font pas confiance à nos dirigeants en choisissant de consacrer leurs ultimes forces à… devenir français. Soixante ans après nos indépendances, quel échec !
.lemonde.fr

Côte d’Ivoire: Grand Bassam /Disparition de deux baigneurs sur les bords de la plage

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Les sinistres enregistrés lors des fêtes de la pâque n’ont malheureusement pas encore fini de livrer leurs bilans.

Allant des accidents de la circulation, agressions, rapportés par KOACI, le Groupement des Sapeurs-Pompiers Militaires GSPM a signalé la disparition deux baigneurs sur les bords de laplage de Modeste  (sur la route de Grand Bassam), le lundi de pâque sans décrire les circonstances du drame.

« Les recherches sont toujours en cours sur le littoral », ont affirmé les sapeurs-pompiers qui avaient toute de même, dans le cadre de ces fêtes de pâques, mis en place du vendredi 14 avril au lundi 17 avril 2017, un plan de lutte contre les accidents nautiques sur les plages de Jacqueville, Petit-Bassam, Modeste Azuretty et Assouindé.

Casimir Boh, Abidjan

Abidjan la deuxième ville « la plus chère d’Afrique »

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A l’issue d’une enquête sur le coût de la vie réalisée par The Economist Intelligence Unit (EIU), filiale du groupe britannique The Economist, un top 10 des villes les plus « chères » d’Afrique a été réalisé. Abidjan, capitale de la Côte d’Ivoire se trouve en bonne place de ce classement

Diffusé par l’Agence Ecofin, le classement des métropoles d’Afrique « les plus chères » selon The Economist place Abidjan en deuxième position. 99è au plan mondial, la métropole ivoirienne est ex-æquo avec Le Caire, capitale de l’Egypte.

Au premier plan de ce classement, on retrouve Nairobi, capitale du Kenya. Derrière Abidjan se situent notamment Dakar la sénégalaise et Casablanca la marocaine. A l’échelle mondiale, les villes asiatiques se taillent la part du lion avec 5 villes présentes dans le top 5 dominé par Singapour.

Top 10 des villes africaines les plus chères selon The Economist

1-Nairobi (75è rang à l’échelle mondiale)

2-Le Caire (99è)

3-Abidjan (99è)

4-Casablanca (107è)


Grand love/Arafat ou Molare ? Pour qui bat le cœur d’Emma Lohoues ?

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Emma Lohoues a célébré son anniversaire sur deux jours. Le dimanche 16 avril (dimanche de Pâques), c’était au Mixx night club. Et le lendemain, lundi 17 avril, c’est au Haut Niveau discothèque sis à Angré qu’elle était célébrée. Et dans ces deux espaces, Le Molare et DJ Arafat étaient à ses côtés.

Au Mixx night club, DJ Arafat était en effet l’animateur et le maillon fort de cette soirée baptisée « Chicha Mix Night Party ». Arafat était aussi présent au second show en l’honneur de celle qui a été baptisée la « Kim Kardashian » ivoirienne.

 

Quant à Molare, lui était aux côtés de la belle pendants ces deux soirées. L’on raconte même que c’était lui le parrain des deux shows. Et en plus, c’est au bras de ce dernier qu’elle est arrivée lors de ces soirées. A la dernière soirée de célébration de notre « Kim » le lundi dernier, Arafat DJ arrivé en dernier, a rejoint Molare et Emma dans le salon réservé pour celle qui était à l’honneur.

DJ Arafat qui a trouvé Molare et Miss Emma qu’on célébrait sur les lieux, semblait vouloir passer un message alors qu’il saluait le Molare, à son arrivée. La présence de ces deux artistes célèbres du Coupé Décalé aux cotés d’Emma Lohoues pendant ces deux jours a suscité quelques interrogations dont « ce qui les lie réellement. »

AK

Malgré leur séparation,l’ex mari Wissam Al Mana adresse un emouvant message à Janet Jackson

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Malgré la séparation entre Janet Jackson et Wissam Al Mana, il y a encore des signes forts qui attestent que l’amour n’est pas totalement fini du côté de l’homme d’affaire et peut être aussi chez Janet Jackson. D’après nos confrères de 20minutes.fr, le richissime homme d’affaires a adressé un message très touchant à la chanteuse. Un message qui laisse bien voir que malgré la procédure de divorce engagée, Janet reste fortement présente dans le cœur du père de Eissa.

C’est sur son compte instagram que Wissam Al Mana a choisi de faire cette belle déclaration d’amour à la mère de son fils, Eissa. « A la plus belle personne du monde, merci pour ton amour divin, ton soutien éternel et pour être ma meilleure amie. Je t’aime tellement. Inch’Allah, nous serons réunis dans l’au-delà », peut-on lire.

Pour sa part, Janet Jackson s’est juste contenté de partager la première photo de leur fils né en janvier dernier. « Moi et mon bébé après la sieste », avait-t-elle simplement posté en légende.

Gil Duldulao l’un des amis de la chanteuse a défendu la chanteuse via un post sur instagram (ci-dessous). Il a mis en mal la folle rumeur qui laisse entendre que Janet Jackson avait divorcé pour se faire de l’argent. « Je veux dire ce que j’ai à dire en tant qu’ami. Même s’il y avait la possibilité que mon amie empoche 500 millions [grâce à son enfant]. Ce n’est pas dans sa personnalité de vouloir ou d’accepter 500 millions […]. Elle n’accepterait jamais d’être payée comme ça. C’est l’être humain génial que je connais. Ceux qui racontent des c*nneris allez-vous faire f*utre. Mon amie n’est pas comme ça et elle ne le sera jamais. Un point c’est tout », a-t-il écrit.

 

VIDÉO /Un match de tennis perturbé par… les cris d’un couple en plein ébat

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 Le match de premier tour du tournoi Challenger de Sarasota (Floride) entre Frances Tiafoe (19 ans, 87e) et Mitchell Krueger a été marqué par une scène surréaliste.

Au milieu du deuxième set, la rencontre a été brièvement interrompue en raison de gémissements prononcés, venant visiblement d’un appartement situé juste à côté du court. Pour faire cesser les cris intempestifs, Krueger a d’abord balancé une balle dans la direction d’où venait le bruit.Quelques instants plus tard, Tiafoe a de nouveau été perturbé sur son jeu de service par la même partie de jambes en l’air qui se prolongeait. “Mais ça ne peut pas être aussi bon!”, a alors laché la jeune Américain, provoquant l’amusement général dans les gradins.

Rassurez-vous, le match est finalement allé jusqu’à son terme et s’est soldé sur une victoire sans appel de Tiafoe (6-3 6-2).

7sur7.be

Côte d’Ivoire:fonction publique/ L’Etat propose, les syndicats rejettent…les discussions… dans l’impasse?

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Côte d’Ivoire: Le gouvernement propose, les syndicats rejettent…les discussions entre l’État et ses fonctionnaires dans l’impasse?
Les discussions se poursuivent entre le gouvernement et les syndicats de la fonction publique après leur mouvement de grève du mois de janvier. Mais après plusieurs semaines de négociations, aucun accord n’a pour l’heure été trouvé sur le paiement de leurs arriérés de salaires.

Les discussions entre l’État ivoirien et ses fonctionnaires seraient-elles dans l’impasse ? Après plusieurs semaines de discussions, aucune entente n’a pour l’heure été trouvée quant au paiement de leurs stocks d’arriérés de salaires, estimés selon les syndicats à 249,6 milliards de francs CFA (près de 380 millions d’euros, ndlr).

«Le gouvernement nous a proposé un programme immobilier à destination des fonctionnaires en lieu et place du paiement des arriérés », affirme Théodore Gnagna Zadi, président de la plateforme nationale des syndicats des organisations professionnelles du secteur public, contacté vendredi 14 avril par Jeune Afrique.

Un échéancier de paiement sur 4 ans

« Nous rejetons cette proposition que nous estimons peu détaillée et qui nous laisse dubitatifs. Nous proposons au gouvernement le paiement de nos arriérés sur un échéancier réparti sur quatre ans, jusqu’en 2020 », poursuit le responsable syndical, à l’origine de l’appel à la grève de trois semaines en janvier au sein de la fonction publique.

Le 27 janvier, la plateforme qu’il dirige avait finalement suspendu son mouvement social après avoir obtenu gain de cause sur plusieurs revendications, notamment liées à l’intégration des travailleurs journaliers du secteur public, ou encore sur certaines dispositions de la réforme des retraites. Mais plus de deux mois après leur suspension et le début des discussions, les négociations restent bloquées sur la sensible question des arriérés salariales.

« Les discussions vont se poursuivre, mais nous voulons que le gouvernement nous propose quelque chose de plus acceptable pour parvenir à la trêve sociale », ajoute Théodore Gnagna Zadi, confronté à la grogne de certains militants, exaspérés par l’absence d’accord et prêts à reprendre le mouvement social. Une nouvelle assemblée générale des fonctionnaires est d’ailleurs attendue dans les prochains jours à Abidjan.

Par Claire Rainfroy – à Abidjan

Jeune-Afrique

Côte d’Ivoire/Véritable Coup de théâtre: le president Ouattara réintroduit l’ivoirité de même que la carte de séjour pour étrangers.

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Véritable coup de théâtre que le Communiqué du Conseil des Ministres du 13 avril 2017 qui a fait revenir en force l’ivoirité en Côte d’Ivoire par ceux-là même qui se disaient les principales victimes de ce concept crée par Henri Konan Bédié, alors Président de la République.

Ce communiqué lu par le Ministre Bruno Koné, porte parole du gouvernement réintroduit officiellement l’ivoirité en Côte d’Ivoire en émettant des doutes sur la nationalité de milliers d’ivoiriens (11.000), en annonçant des fraudes à grande échelle sur la nationalité ivoirienne, et en réintroduisant la carte de séjour pour les ressortissants étrangers de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

L’ivoirité pour lequel le chef de l’Etat Alassane Ouattara affirmait s’être battu lorsqu’il était opposant, revient par la grande porte en Côte d’Ivoire par le fait de son propre gouvernement.

Le RDR, le parti d’Alassane Ouattara, qui traitait de xénophobes et d’ivoiritaires tous ceux qui doutaient de la nationalité d’autres ivoiriens et tous ceux qui osaient aborder la question de la fraude sur la nationalité ivoirienne, vient de se parjurer en réintroduisant l’ivoirité en Côte d’Ivoire. Un revirement spectaculaire qui choque fortement l’opinion.

Aujourd’hui au pouvoir, le Président Alassane Ouattara, qui se disait lui-même victime de l’ivoirité, fait volte-face et accuse d’autres ivoiriens de fraude sur la nationalité, et réintroduit la carte de séjour pour les étrangers de la Cedeao, laquelle avait été supprimée par le Président Laurent Gbagbo.

Nous vous livrons l’extrait du communiqué du Conseil des Ministres du 13 avril 2017 marquant le retour en force de l’ivoirité sous le régime d’Alassane Ouattara.

 

Eric Lassale

«…3- Au titre du Ministère d’Etat, Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, en liaison avec le Ministère auprès du Président de la République, chargé de la Défense, le Ministère des Affaires Etrangères, le Ministère de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, le Ministère du Budget et du Portefeuille de l’Etat et le Ministère de l’Economie et des Finances ;

Le Conseil a adopté une communication relative au phénomène migratoire en Côte d’Ivoire.

L’Ambassade d’Italie en Côte d’Ivoire fait état de l’arrivée de treize mille (13 000) immigrés ivoiriens sur les côtes italiennes au cours de la période du 1er au 31 décembre 2016. Face à cette situation, le Gouvernement a dépêché une mission en Italie afin d’évaluer la situation et de faire l’état des lieux de ce phénomène migratoire. A la suite des conclusions de cette mission, il convient de noter que le phénomène migratoire a atteint des proportions inquiétantes en Afrique en général et en Côte d’Ivoire en particulier.

Toutefois, seuls environ deux mille (2000) immigrés ont formellement été identifiés comme étant réellement des Ivoiriens, sur les treize mille (13 000) présumés ivoiriens.

Les autres migrants présumés Ivoiriens, sont en réalité des nationaux d’autres Etats de la sous-région ou des personnes non originaires de l’Afrique de l’Ouest qui, pour certaines, ont seulement résidé en Côte d’Ivoire.

Aussi, le Conseil a arrêté les mesures suivantes en vue d’apporter une réponse à ce phénomène :

– l’organisation de campagnes de sensibilisation afin de prévenir les populations contre les phénomènes migratoires illégaux ;

– l’établissement d’un cadre technique de coopération entre l’Italie et la Côte d’ Ivoire pour l’identification des migrants présumés Ivoiriens dès leur arrivée sur les côtes italiennes;

– le renforcement des moyens de répression et de détection des réseaux de passeurs ;

– la réactivation, dans un délai de six (6) mois, de la carte de résident biométrique pour les ressortissants hors CEDEAO ;

– l’accélération de la mise en œuvre de l’identifiant unique, pour une meilleure traçabilité biométrique des citoyens ivoiriens.… ».

Fait à Abidjan, le 13 avril 2017

Bruno Nabagné KONE

Ministre de la Communication, de l’Economie Numérique et de la Poste,

Porte-parole du Gouvernement

porteparoledugvt@egouv.ci

lecridabidjan.

Côte d’Ivoire:Emmergence/ Décathlon le géant du sport français rate son implantation à Abidjan

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Début d’activité difficile pour le géant du sport français en Côte d’Ivoire.

Ouvert depuis fin 2016 à Abidjan, les activités de Décathlon s’enlisent au constat du peu d’affluence observé par KOACI.. Une réalité ivoirienne aux antipodes de celle en France que nous avons tenté de comprendre.

En effet, plusieurs facteurs pourraient expliquer ce qui apparait comme un raté et une totale déception pour qui prendrait en référence les magasins de la marque ailleurs.

Premièrement, faut vraiment avoir envie d’y aller, emplacement sur un axe dangereux d’accès pour les piétons (boulevard VGE) et offrant qu’une dizaine de place de parking pour les automobilistes dans un contexte urbain d’un carrefour surchargé de comportements désinvoltes sujets à risquer, dans votre manœuvre, de vous faire tamponner.

Deuxièmement le bâtiment en lui même peu attrayant avec sa façade quelconque reprenant les formes d’Amobla, son intérieur proche de celui d’un entrepôt et enfin troisièmement, le peu d’articles proposés et leur gamme peu attrayante. Cet ensemble qui laisse un sentiment de vide et d’inhospitalité au visiteur ivoirien, étranger à consommer du Décathlon, qui bien souvent se limitera à un seul passage.

La comparaison avec la concurrence Go Sport et City Sport, aux accents modernes, plus raffinés, aux références plus chics, située juste en face dans le centre commercial CAP SUD et qui jouit, de fait, de son dense parking sécurisé, suffit d’achever Décathlon.

Une implantation ivoirienne mal maitrisée ou trop rudimentaire qui traduirait le manque d’ambition africaine pour Décathlon qui, selon nos informations, aurait déjà renoncé à implanter un second magasin en Côte d’Ivoire comme initialement envisagé.

Amy Touré, Abidjan

Sous le feu des critiques, les dirigeants du Crédit Suisse forcés de « renoncer à 40 % de leur bonus »

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Plusieurs cabinets de conseil aux actionnaires avaient fustigé le montant des bonus proposé par la banque suisse.

Credit Suisse veut éteindre l’incendie. La deuxième banque helvète a annoncé vendredi que ses hauts dirigeants avaient proposé de baisser « volontairement » leurs bonus de 40 % .

Ce geste intervient après que plusieurs cabinets de conseil aux actionnaires ont appelé les investisseurs à voter contre les rémunérations proposées, lors de l’assemblée générale du 28 avril prochain. Ceux-ci avait jugé le montant prévu par le conseil d’administration – 78 millions de francs suisses au total (73 millions d’euros) – disproportionné alors que Credit Suisse a accumulé deux années de lourdes pertes (2,7 milliards de francs en 2016 et près de 3 milliards en 2015).

Dans une lettre adressée aux actionnaires, le président du conseil d’administration, Urs Rohner, a expliqué qu’il avait, « comme chaque année », mené avec le président du comité des rémunérations des discussions « approfondies » avec beaucoup d’actionnaires.

Tidjane Thiam confiant sur la stratégie

Au final, Tidjane Thiam, le directeur général, et les membres du comité exécutif ont proposé de réduire leurs rémunérations variables de long terme pour 2017 et leurs primes à la performance de court terme pour 2016 de 40 % chacune. Quant au conseil d’administration, il a décidé de maintenir sa rémunération totale au niveau de 2015 et 2016, et de renoncer à l’augmentation proposée pour 2017.

(…)

Continuez sur https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/0211974326110-credit-suisse-les-dirigeants-renoncent-a-40-de-leur-bonus-2080014.php#HGroM3FHJ2zkd1i2.99

@laurentthevenin


Côte d’Ivoire: Présidentielle 2020: Les dessous de la sortie de Soro/Toute la verité

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Dans un communiqué publié par son cabinet, le président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro s’est prononcé sur ses supposées ambitions à la présidentielle 2020.

L’ambition de Guillaume Soro de se présenter à l’élection présidentielle de 2020 n’a jamais été autant sujette à débats. Muet depuis plusieurs mois sur cette question, le chef du parlement à travers son directeur de cabinet s’est fendu ce 17 avril 2017 d’un communiqué sur la question.

 

Dans le document publié notamment sur les réseaux sociaux et son site web personnel, l’ancien chef rebelle a une nouvelle fois choisi de botter en touche. « Pour l’heure, il considère qu’il est indécent et inopportun de s’incruster dans un débat sur d’hypothétiques et évanescentes ambitions obsessionnelles pour 2020 qui n’apporte et n’améliore en rien le quotidien des Ivoiriens », peut-on notamment lire dans la note signée de Daho Bakary qui rappelle également que pour Guillaume Soro, « 2020 se décidera avec messieurs Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié »

Mais, qu’on ne s’y trompe pas. Ces propos ne sont pas le signe d’un renoncement de la part du l’ancien leader estudiantin. Loin de là. Habitué depuis son entrée en politique à faire le dos rond à chaque turbulence, Guillaume Soro à travers ce communiqué reste simplement fidèle à sa position: se retirer pour mieux être mis en avant. Ce, d’autant plus que cette agitation décriée par Guillaume Soro est en grande partie entretenue par des cadres du Rassemblement des Républicains (RDR) qui font partie de son premier carré.

 

Guillaume Soro sera donc très certainement candidat en 2020. Et, la propension du jeune leader à mettre en avant Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara vise selon des sources proches du chef du parlement à ne pas se mettre à dos les deux poids lourds du RHDP. Dans tous les cas, Guillaume Soro devrait bel et bien être dans les starkings blocks en 2020. Il s’y prépare activement…

Abraham KOUASSI

lecridabidjan

Après le départ de ses dirigeants: Comium-Ci fait l’objet de l’un des plus gros scandales qui a précipité sa faillite-en savoir..

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.Un scandale financier découvert à Comium-Ci

Comium-Ci fait l’objet de l’un des plus gros scandales qui a précipité sa faillite.

On savait Comium-Ci en difficulté financière, depuis l’épisode de la guerre des actionnaires qui a opposé deux clans : celui de Joseph Diomandé, Pca et celui du Dr Nizard Dalloul, président-fondateur de Comium.

Mais il aura fallu le bras de fer qui oppose les responsables de cette société à l’Etat de Côte d’Ivoire, et qui a occasionné la “fuite” de 6 de ses dirigeants, pour se rendre compte de l’un des plus grands scandales financiers jamais enregistrés dans le secteur de la téléphonie mobile. Entreprises “écrans”, rapatriements illégaux de fonds, blanchiment, tout y est passé.

Ce qui s’apparentait, depuis quelques années, à des rumeurs sur le rapatriement de fonds occultes par les dirigeants de Comium-Ci, fait désormais place à une réalité implacable. Du moins, à l’analyse des documents confidentiels de Comium-Ci sur les flux financiers, mis à notre disposition. Nous avons reconstitué, avec l’aide de certains cadres financiers et juridiques de l’ex-opérateur, le puzzle de ce scandale financier.

En effet, tout débute en février 2007, avec l’octroi d’une licence d’exploitation Gsm N°06/Gsm_900-1800/Atci au groupe Comium-Ci. Koz, la marque commerciale de l’opérateur, pénètre sur un marché de la téléphonie mobile déjà concurrentiel à cette période. Mais l’approche commerciale et la flexibilité du marché permettent à Koz de s’imposer en tant que quatrième opérateur (avec environ 820.887 abonnés et 4,23% de parts de marché) sur les sept que compte le marché. Malheureusement, en 2011, juste le temps d’un bref succès commercial, que l’opérateur affiche ses premières difficultés. Une crise administrative née d’une guéguerre entre les actionnaires minoritaires et majoritaires du groupe ouvre la boite de pandore.

Une recapitalisation en trompe-l’œil

Le dénouement de la crise entre actionnaires se solde par une recapitalisation de Comium. Doté initialement d’un capital de 200 millions de F cfa, l’opérateur réussit, par un tour de passe-passe, à se recapitaliser à hauteur de 50 milliards de F cfa, soit au total 50 milliards 200 millions de F cfa de capital social. Une mesure salutaire qui devait, en principe, renflouer les fonds propres de l’entreprise devenus négatifs. Mais non, cette recapitalisation en trompe-l’œil avait pour principal objectif de maquiller la mauvaise santé financière de l’opérateur. Mieux, à rassurer les créanciers que sont l’Etat, les banques et les fournisseurs qui se faisaient de plus en plus menaçants. Dès lors, la machine des montages financiers illégaux et occultes se met en place. Les premiers mouvements de transfert de fonds de l’entreprise à des destinations inconnues des services comptables de Comium-Ci sont diligentés par M. Laurent Dada, alors premier directeur administratif et financier chez l’ex-opérateur. L’analyse des documents financiers révèle que les détournements vont s’enchaîner et prendre une tournure inquiétante avec des méthodes allant des transferts e-Koz, estimés à des centaines de millions de F cfa, à des sociétés-écrans. Pour rappel, une société écran est une société fictive, créée pour dissimuler les transactions financières d’une ou de plusieurs autres sociétés. Dans le cas d’espèce, l’ex-opérateur crée plusieurs sociétés écrans dont l’une d’entre-elles est la société Essenci chargée d’assurer le parc automobile de Comium-Ci. Autrement dit, tout le parc automobile de l’ex-opérateur était composé essentiellement de véhicules de location.

Sci Comium Real Estate Sal : le cœur du scandale

A côté de la société “Essenci”, les responsables de Comium-Ci prennent soin de constituer une Société civile immobilière (Sci) dont la mission est de gérer le patrimoine immobilier du groupe et d’en préparer la transmission. Si la création d’une Sci est légale, dans le cas d’espèce, l’ex-opérateur faisait l’objet d’un redressement judiciaire. Ce qui, vraisemblablement, ne lui permettait pas de créer une société civile immobilière. Mais en 2014, est créée la Société civile immobilière (Sci) Comium Real Estate Sal, dotée d’un capital d’1 million de F cfa avec pour siège social à Abidjan Km8, boulevard Valéry Giscard d’Estaing. Seulement voilà, quelques mois après sa création, la nouvelle Sci dont le directeur n’est autre que M. Elie Khalife, par ailleurs administrateur chez l’ex-opérateur, procède à son premier acte d’achat (Voir fac-similé 1). Une vente de Comium-Ci au profil de la Sci Comium Real Estate Sal portant sur le siège social de l’opérateur sis à Marcory- Zone 4C. La transaction porte sur le montant d’1 milliard 825 millions 460 mille de F cfa. Après l’acte de vente, Comium-Ci devient ainsi locataire de son siège et reverse mensuellement un loyer de 100 millions de F cfa dans les comptes de la Sci Comium Real Estate Sal domiciliés à la Banque atlantique sous le numéro 0113686200004 (Voir fac-similé 2 et 3). Ce tour de passe-passe financier a pour but final de transférer malicieusement tous les actifs de Comium-Ci vers une nouvelle entité qui échapperait au fisc et à une saisine de l’Etat de Côte d’Ivoire ou des fournisseurs, en cas de non-paiement des créances dues par l’opérateur. Ainsi, de mars 2014 à mars 2016, ce sont environ 759 millions de F cfa qui ont été transférés des comptes de Comium-Ci vers le compte de la Sci. Le solde du compte arrêté au mois de février 2016 affichait le montant ci-dessus. En outre, toutes les semaines, depuis 2014, ce sont près de 250 millions de F cfa qui sont transférés à partir de plusieurs banques vers Beyrouth au Liban, dans des comptes dissimulés du holding. Mieux, au lendemain (le jeudi 29 mars 2016) de la décision de retrait de la licence d’exploitation par l’Artci, plusieurs mouvements suspects ont été enregistrés sur plusieurs comptes. Et ce, malgré les courriers d’interpellation en date du 1er et du 6 avril 2016 émis par l’ensemble du personnel de Comium-Ci à l’intention du procureur de la République, du directeur de la police économique et du président du tribunal du commerce. Dans ce courrier, les employés, tous postes confondus, expliquaient les mouvements illégaux de retraits d’argent liquide ou de transferts d’argent vers des comptes bancaires étrangers. A cela, il faut ajouter les mutations tous azimuts de la carte grise de certains véhicules Comium, 40 au total, au nom de la Sci Comium Real Estate, ainsi que des mutations des contrats de bail du domicile du Dg, Hassan Dhaini, et de son directeur commercial marketing au profit de la même Sci.

Aussi, dans les comptes de Comium-Ci logés à la Bgfi bank, le solde initial arrêté au 31 mars 2016 à 111 569 262 F cfa, a-t-il été débité de fortes sommes sans aucune autorisation du Trésor public comme cela est généralement de coutume. Sur la période du 01 avril au 06 avril 2016, plus de 99 404 388 F cfa ont été retirés. Dans la seule journée du 05 avril 2016, pendant que l’étau se resserrait autour des dirigeants de Comium-Ci, environ 70 millions de F cfa ont été retirés par les soins de Mme Etté, caissière à Comium-Ci . Bien avant, c’est-à-dire à la date du 29 mars 2016, date officielle du retrait de la licence par l’Artci, 65 millions de F cfa ont été transférés des comptes de Comium-Ci vers le compte de la Sci domicilié à la Biao. Le même jour, environ 86 millions de F cfa ont été transférés du compte d’Ecobank de Comium-Ci sous le numéro 3043486 vers le compte de la Sci comium Real Estate Sal. Un autre ordre de virement portant sur une dizaine de millions de F cfa a été fait depuis le compte de Comium-Ci à la banque Cofipa sous le numéro 6412805 vers celui de la Sci logé à la banque Atlantique. L’accélération de ces mouvements sur les différents comptes, s’expliquent par le fait que la décision du régulateur stipule qu’à partir du 30 avril 2016, Comium-Ci cesse toute activité et ses biens mobiliers et immobiliers pourraient être saisis par l’Etat de Côte d’Ivoire pour apurer sa créance. Les pylônes et autres centres de relais qui étaient eux aussi loués à des privés, ont tous été démantelés par ces derniers. Le siège social de Comium-Ci n’étant plus la propriété du groupe, sans oublier le parc automobile et une bonne partie des équipements. Pourtant au titre de ses créances, Comium-Ci reste devoir environ 17 milliards de F cfa à l’Etat de Côte d’Ivoire. Malheureusement, la “fuite” des 6 dirigeants, dont Hassan Dhaini, Haissam Abbsas, Ali Al Moussawi, Ali el Husseny complique davantage la situation de l’Etat et celle des 320 employés. Notamment sur le volet juridique et financier. Pour ce qui est du volet juridique, le retrait de la licence d’exploitation de l’opérateur laisse comprendre de facto “la mort” de l’entité morale qu’il représentait. Ensuite, s’agissant de l’aspect financier, le rapatriement des actifs de Comium-Ci vers des sociétés écrans, crée l’insolvabilité de l’entreprise.

Au total, ce scandale financier soulève plusieurs interrogations : Comment de tels mouvements ont-ils pu être effectués trois ans durant, sans qu’aucun des mécanismes de surveillance des rapatriements illégaux des capitaux n’ait jamais été actionné, sachant toutefois les énormes sommes dues à l’État par cet opérateur ? Pourquoi malgré la procédure du redressement judiciaire de Comium, ordre n’a pas été donné pour que tous les comptes du groupe domiciliés dans les banques de Côte d’Ivoire soient mis sous scellés ? Pourquoi, avec une facilité agissante, le compte de la Sci Comium-Ci Réal Estate, domicilié à la banque atlantique, a bénéficié de transferts importants en provenance des comptes d’une entreprise placée sous redressement judiciaire, sans que cela interpelle les autorités bancaires ? Autant d’interrogations qui méritent d’être élucidées pour remonter le réseau de ce scandale financier.


Accusés de malversations: Les ex-dirigeants de Comium-Ci donnent leur version

Face aux accusations portées contre eux sur des cas de malversations et autres délits, Hassan Dhaini et son staff n’ont pas mis du temps pour répondre à ces accusations. Dans un communiqué publié par Linfodrome-ci, les ex-dirigeants estiment plutôt que toute cette cabale ourdie est l’œuvre d’un ancien responsable de Comium-Ci bien connu de l’opinion publique et membre d’un conseil régional. Ce dernier, selon eux, doit des dizaines de milliards de F cfa à l’entreprise. “Tout ce qui arrive aujourd’hui, c’est un complot pour que l’entreprise tombe en faillite. Il y avait beaucoup de fraudes. Beaucoup d’argent dont les employés pouvaient bénéficier a été détourné. Aujourd’hui, nous payons la colère des fraudeurs que nous avons réussi à neutraliser“, ont-ils déclaré. Pour ce qui est des actifs de l’entreprise, ces dirigeants ont révélé qu’ils ont été, en grande partie, « volés » “Plus de 40 véhicules ont été volés. Les sites techniques ont été vidés de leurs matériels », ont-ils déclaré, avant de préciser que malgré la mise sous redressement judiciaire, l’opérateur n’était pas loin de réaliser des bénéfices. “Nous avons bataillé pour sauver la société. Malgré qu’on était en redressement judiciaire, les salaires et les gratifications étaient payés à temps.Grâce ce travail, ”Koz’’ marchait à nouveau. On avait même recommencé à faire des bénéfices.


Octroi de la 4ème licence: Le gouvernement dans un dilemme

Dans un souci de consolider le secteur de la téléphonie mobile, le gouvernement a lancé un appel à manifestation d’intérêt pour une licence d’exploitation de type global, d’une valeur marchande de 100 milliards de F cfa. Cet appel à manifestation, dont l’objectif est de redynamiser le marché des services de Télécommunications/Tic, plus particulièrement le segment de la téléphonie mobile, avec une meilleure optimisation de l’emploi des ressources spectrales, est revenu malheureusement infructueux. En clair, les compagnies étrangères de téléphonie mobile n’ont pas été attirées par un marché local en panne de croissance. Quand bien même, certaines ont manifesté l’intérêt avant de se rétracter. En 2015, Orange-Ci, Mtn-Ci et Moov-Ci concentraient, elles seules, environ 95,78 % des parts de marché selon le nombre d’abonnés. Pour ce qui est du chiffre d’affaires, les trois opérateurs mobiles pré-cités concentraient environ 96,67% des parts de marché. Les signes d’essoufflement du marché sont patents pour un secteur qui enregistre 109% de taux de pénétration. Le dilemme de l’Etat se situe à deux niveaux. Le premier est que le gouvernement entendait réaliser une plus-value dans la vente de la 4ème licence. Une manière de compenser le manque à gagner engendré par les nombreuses créances des ex-opérateurs. Toutefois, le manque d’intérêt à la faveur de la 4ème licence a contraint le gouvernement à revoir ses ambitions. La deuxième raison qui fonde le dilemme de l’État, c’est la main tendue aux ex-opérateurs pour matérialiser le projet de fusion. Ce projet, récusé principalement par les ex-dirigeants de Comium, pourrait être remporté, au final, par l’opérateur GreenN qui en manifeste le désir. Sans véritable challenger, le groupe libyen des postes et des technologies de l’information et de la communication (Lptic), actionnaire majoritaire chez GreenN, met les bouchées doubles pour obtenir le fameux sésame. Surtout avec la mise en œuvre du plan global d’investissements et de relance de GreenN en Côte d’Ivoire, l’ex-opérateur Gsm pourrait soulager la trésorerie de l’Etat en revoyant à la hausse ses intentions.

Check KONE

linfodrome

PHOTOS /Une ex-​​star du football américain condamné à vie s’est suicidé en prison

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L’ancienne star du football américain Aaron Hernandez, condamné à vie pour meurtre en 2015, s’est suicidé et a été retrouvé mercredi pendu dans sa cellule, cinq jours après avoir été acquitté dans une autre affaire de meurtre.

L’ex-vedette des New England Patriots, 27 ans, a été découverte pendue avec ses draps vers 3h00 du matin par des surveillants, a précisé le centre pénitentiaire de Shirley (Massachussets) dans un communiqué. Aaron Hernandez, qui vivait seul dans sa cellule, purgeait une peine de prison à vie pour le meurtre d’Odin Lloyd Jr, un joueur semi-professionnel tué par balles en juin 2013.

A l’époque, le jury avait retenu la préméditation et l’extrême cruauté à l’encontre de l’ex-star de de la Ligue nord-américaine de foot US, qui au moment du meurtre, avait un contrat de 40 millions de dollars sur cinq ans avec les New England Patriots. Son suicide intervient cinq jours après son acquittement dans une autre affaire, celle d’un double meurtre remontant à 2012.

Un jury réuni dans la banlieue de Boston avait estimé vendredi que l’ex-star déchue n’était pas coupable d’avoir tué, en juillet 2012, Daniel de Abreu et Safiro Furtado, abattus par un tireur en voiture à la sortie d’une boîte de nuit.

(L’essentiel/AFP

Côte d’Ivoire: Après «Canal Pluie», «Startimes pluie»le nouveau arrivé..tout savoir..

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A chaque tombée de pluie suffit sa peine satellitaire, et l’arrivée de la concurrence n’inverse la tendance, tous logés à la même enseigne.

Si les abonnés aux services des bouquets satellites étaient rompus à subir les foudres de «Canal Pluie», ceux qui espéraient mieux en se tournant vers la récente concurrence subissent à leur tour  «Startimes pluie» comme constaté mardi soir par KOACI.COM.

En effet, dès que l’orage laisse éclater ses abondantes pluies et ses violents vents, vos programmes télés tous services, parfois chèrement souscrits, confondus, sont soudainement interrompus.

Il vous faudra patienter jusqu’à l’accalmie pour retrouver le signal sur votre téléviseur, entre temps vous ferez face au bandeau du français Canal + ou à l’écran noir de son concurrent chinois Startimes.

Contacté, le nouveau arrivé et très cordial Startimes, moins cher que l’historique Canal + qui depuis peu s’active à afficher des promotions, évoquera un environnement technologiques mis en difficulté quand des pluies fortes et soudaines, à l’image de celles qui s’abattent sur la Côte d’Ivoire, viennent dérouter les antennes paraboliques.

Il faudrait attendre la promesse d’un pays câblé d’ici à 2020 avec l’annoncée TNT, pour peut être à cette échéance voir disparaitre les antennes paraboliques et mettre ainsi un terme aux perturbations relevées liées aux aléas climatiques.

En attendant, se poser sur un livre, faire un peu de sport, surfer sur internet ou engager une discussion avec un proche pourrait palier pertinemment la rupture télévisuelle aussi bouleversante de ses habitudes soit elle.

Amy Touré, Abidjan

Si vous avez l’habitude de tirer la chasse après pipi, lisez ceci SVP… Beaucoup de gens ne le savent pas…

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Après chaque passage aux toilettes, nous avons ce reflexe de tirer la chasse au moment de nous lever ! Nous nous sommes tellement habitués à faire ce geste que nous ne prenons jamais le temps d’évaluer s’il comporte des risques ou pas. La réponse est oui ! Tirer la chasse sans baisser l’abattant des toilettes peut avoir un effet néfaste sur la santé. On vous explique tout.

Nous utilisons les toilettes de nombreuses fois par jour et lors de chaque passage, nous ne manquons jamais de tirer la chasse. Un geste devenu tellement habituel que nous le faisons presque sans réfléchir.

Seulement, cette habitude n’est pas sans inconvénients. Pour l’environnement ou pour la santé, les effets sont multiples et non négligeables.

Tirer la chasse : un danger pour la santé ?

Le fait de tirer la chasse en lui-même ne présente pas directement un danger pour la santé, mais c’est le fait de ne pas rabattre le couvercle qui l’est.

En effet, selon une étude publiée dans le Journal of Hospital Infection, tirer la chasse de cette manière entraine la production d’aérosols (fines particules), ce qui peut à son tour conduire à une contamination des toilettes.

Les chercheurs ont fait un test en utilisant la suspension fécale du Clostridium difficile (C. difficile), pour simuler la contamination bactérienne trouvée pendant une maladie, afin de mesurer l’aérosolisation de cette bactérie. Ils ont également mesuré l’étendue des éclaboussures qui ont lieu quand on tire la chasse.

Les résultats de cette étude ont démontré que tirer la chasse sans rabattre le couvercle augmente les risques de contamination par la bactérie C. difficile. Celle-ci a été retrouvée dans  l’air prélevé à une hauteur de 25 cm au-dessus de la cuvette des toilettes. La plus grande concentration de C. difficile  a été enregistrée dans l’air prélevé juste après avoir tiré la chasse et a baissé plusieurs minutes après. La contamination de la surface a, quant à elle, eu lieu 90 minutes après la chasse.

Verdict : veillez toujours à baisser le couvercle de vos toilettes avant de tirer la chasse pour éviter toute contamination par C. difficile ou d’autres bactéries. 
Rappelons que C. difficile est une bactérie causant différents problèmes digestifs et intestinaux, comme la diarrhée ou l’inflammation du côlon.

Pour les plus courageux, nous recommandons d’éviter de tirer la chasse après avoir uriné, pour des raisons écologiques.

Ne pas tirer la chasse, c’est écolo et économique !

Il est assez connu que la chasse est l’une des facilités ménagères qui  gaspillent le plus d’eau. À chaque fois que vous finissez votre petite affaire et tirez la chasse, vous évacuez près de 6 litres d’eau. Sachant qu’une personne peut uriner 6 fois par jour en moyenne, on se retrouve donc avec un total de 36 litres d’eau évacués chaque jour par personne (ceci sans compteR les grosses commissions). Par an, 13 140 litres d’eau sont perdus.

À titre individuel, ces chiffres ne paraissent pas vraiment alarmants, mais quand on pense au nombre de personnes qui font ce geste plusieurs fois par jour à travers le monde, le problème de gaspillage d’eau devient important !

L’eau est une ressource de valeur qui se raréfie jour après jour. Il est donc important de la préserver. Commencer par tirer la chasse de moins en moins est un premier pas pour cela !
Pour les personnes qui s’inquiètent quant à l’hygiène de leurs toilettes, sachez que l’urine est stérile. Vous ne risquez aucun désagrément si vous la laisser un peu dans vos toilettes.

santeplusmag

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