
Selon la description des faits et les témoignages du voisinage, tout porte à croire que la victime aurait eu des rapports sexuels, à la fois avec sa copine ivoirienne, ensemble directement arrivés de France et, la sœur de cette dernière résidente à Abidjan. Le soir du drame, les trois personnes partageaient un appartement de 4 m2 dans un établissement hôtelier.
La police qui a procédé à l’examen du corps, a constaté des traces de sperme au niveau du sexe, également une mort causée par un arrêt cardiaque. Le corps a bien avant été transporté dans un hôpital privé par la jeune femme où, le décès a été confirmé par les médecins présents la soirée.
Accablée par cette réalité, la compagne qui n’a pas voulu avouer directement les faits, a certes reconnu que son homme, quelques minutes avant leurs ébats, avait avalé une grande quantité d’aphrodisiaque. Le tout pour s’employer à des coups de reins fracassants à n’en point finir, si ce n’est évidemment la mort pour l’arrêter.
La police qui a alors ouvert une enquête, a reconnu la plausibilité de ces explications. Mais elle a décidé de pousser sa curiosité encore un peu plus loin, en étudiant les autres pistes.
L’un des inconvénients avec les aphrodisiaques c’est la tachycardie, bien souvent les hommes en font usage excessivement.
Adriel, Abidjan